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 A crow in Heaven. [100% COMPLETE]

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MessageSujet: A crow in Heaven. [100% COMPLETE]   A crow in Heaven. [100% COMPLETE] Icon_minitimeVen 9 Oct - 20:27

¤ Identité ¤

A crow in Heaven. [100% COMPLETE] Avataarj

:: Nom :: Rakuen
:: Prénom :: Karasu, Bélial
:: Age :: 18 ans
:: Classe :: 2.B
:: Situation:: Lycéen


¤ Personnalité ¤

:: Description physique ::

- Euh… la narration ?
- Oui, quoi ?
- Tu peux me décrire s’il te plaît ? Je ne veux pas faire vantard…
- Bon, d’accord…

Karasu est un jeune homme que l’on pourrait classer dans la normalité. Il n’est pas trop grand, ni trop petit. Il n’est pas maigre, ni gros, ni musclé. Rien d’excentrique ne ressort sur lui. 1m70 pour 50 kilos, il se sent plus ou moins bien dans sa peau au sujet de son physique. Il est mince mais peut faire preuve de force malgré tout. Ses cheveux sont coupés courts, avec quelques mèches rebelles décorant son front. Ils sont d’un noir presque délavé et ses yeux vides sont de couleur marron, presque bordeaux. Il est capable de décocher des sourires magnifiques, mais le cœur y est rarement, et ce, justement à cause de son regard qui le trahit. Il a un visage fin, ce qui lui donne un air quelque peu efféminé. Ses lèvres semblent toujours douces et s’apparentent à deux pétales de rose. Au sujet de ses vêtements, il n’y a pas grand chose à déclarer ; il aime se sentir à l’aise, alors un simple T-shirt ainsi qu’un jean lui suffisent amplement. Karasu n’est pas quelqu’un qui jure par le style. Même s’il est beau sans trop faire d’efforts ; par moments on pourra constater qu’il n’est pas bien coiffé, que plusieurs épis ornent sa tête et qu’il s’en fiche. Il a aussi un méchant tic qui consiste à se gratter machinalement le poignet gauche, comme s’il creusait pour y trouver quelque chose. Mais à part ces marques de frottements, il n’y a rien de notable sur sa peau claire. Il fait pourtant en sorte de couvrir sa peau autant que possible, même par une chaleur étouffante. Au sujet de ses expressions faciales, elles sont pour la plupart du temps neutres. Il ne laisse presque rien transparaître qu’il pense vraiment, du moins. Sinon, il est aisé pour lui de se forcer à sourire, à pleurer (bien qu’il évite, ça peut se révéler utile dans certaines situations), à montrer sa colère, son exaspération, et tant d’autres ressentiments qu’il devrait ressentir mais que, la plupart du temps, il ne connaît plus. C’est un bon point pour lui car, avec son expression neutre, il peut réfléchir à la situation aisément et sans le montrer. Il a la grande capacité de détacher ses expressions de ses pensées.

:: Description morale ::

- Hm, Karasu, j’imagine que je dois encore t’aider ?
- Non, tu n’auras qu’à annoncer.
- Bien.

Solitude.

Ce n’est pas précisément ce qui peut me décrire le mieux, mais il est vrai que ma tête et mon cœur semblent très vides. Elle a toujours été là pour moi et si techniquement je n’ai jamais été seul, c’est grâce à elle justement. Mis à part ça, il y a ce petit jardin que je me suis créé en silence comme pour me protéger d’une menace que je sentais venir. Et là-dedans… J’étais seul. Enfin j’y suis toujours. C’est fou ce qu’on peut se créer comme barrière dans sa tête pour être tranquille un maximum. A errer dans ce lieu que moi seul connais, j’ai appris à détacher mon esprit de mon corps, en quelque sorte. Je sais mentir au monde entier car j’arbore fièrement ce masque qui est en fait ma seule force. Mais voyez-vous, un jardin aux murs et au sol noirs, avec vous au milieu, parfois, c’est effrayant.

Persévérance.

C’est ce qu’elle m’a toujours dit. Va de l’avant, Karasu. Je m’interdisais de me laisser abattre pour quoi que ce soit. Une mauvaise note, et alors ? Une bagarre, oui et ? Peu importe ce qu’il m’arrive, je n’ai pas le droit de me plaindre et encore moins d’en pleurer. Je ne suis plus un bébé. Bon, je l’admets, je m’accordais quelques moments de faiblesse. Qui n’en a pas ? Mais je me suis juré de ne plus pleurer après ‘cet’ évènement. Et de voir toujours devant moi. Bien que, parfois, je ne puisse pas m’empêcher de me retourner car je n’ai pas correctement fait face à mes démons.

Réflexion.
Tiens, ce mot aussi, je ne m’attendais pas à le voir. Je l’admets, j’ai tendance à trop réfléchir. Et pour tout et n’importe quoi, en plus ! Je me souviens qu’au collège cela exaspérait mes professeurs. Quand on devait écrire 25 lignes pour un sujet, il m’arrivait de trop débattre sur la chose et d’en écrire le double au moins. Même si au premier abord je ne vais pas trop me vanter de cette capacité et que je ferai profil bas, au fond de moi, quelque chose sera toujours occupée à calculer les probabilités et les indices. Je constate, j’analyse, je synthétise.

Instabilité.

Oui. Je me perds moi-même dans les méandres de ma propre carapace. J’ai tendance aussi à me remettre bien trop en question, et, de ce fait, je me sens pitoyable. Parfois je ne sais plus qui je suis. Un jour je suis sûr de moi, et rien ne m’effraie. Mais qui sait si le lendemain je ne serais pas terrorisé par tout et incapable de me protéger ? Je ne suis pas stable, pour ne pas dire pas fiable. Je peux aussi bien aduler l’être que je suis devenu que je peux l’exécrer. Je m’estime heureux de pouvoir prendre du recul juste maintenant pour le dire.


Dernière édition par Karasu B. Rakuen le Ven 9 Oct - 20:58, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: A crow in Heaven. [100% COMPLETE]   A crow in Heaven. [100% COMPLETE] Icon_minitimeVen 9 Oct - 20:56

¤ Biographie ¤

:: Histoire ::

Mécanisme en marche. Choisir entre ON/OFF. Clac, ON. Encore un jour où Karasu va morfler, ça va être fun. De toute façon, il doit avoir l’habitude ce petit, et ça ne fait que commencer. Let’s dance.


Témoignage de Gon.

« J’étais fou d’amour pour Haruko, la mère de Karasu. Elle avait vraiment un cœur en or et faisait tout pour encaisser les crasses que la vie lui avait réservées jusqu’à présent. Elle était tout de même réservée, et voulait préserver son fils qu’elle avait toujours élevé seule. Elle m’avait dit qu’il était assez fragile mentalement à cause de l’absence d’un père mais qu’ils étaient tous les deux très très proches l’un de l’autre. C’est pour ça qu’au début elle m’invitait à boire un verre chez elle, sans plus, quand son fils n’était pas encore rentré des cours. Puis un autre quand il était présent. Selon moi, les présentations s’étaient plus ou moins bien faites, le jeune Karasu était assez aimable bien que taciturne. Après plusieurs hochements de tête et un verre qu’il avait pris en se forçant, sans doute, il était parti dans sa chambre après avoir tendrement embrassé sa mère sur la joue. Tous deux avaient un lien qui les unissait d’une telle force… ça me retournait totalement. Les jours se succédaient et Haruko m’invitait de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps. Je commençais à me lier d’une grande sympathie pour son fils, et il me semblait qu’il ouvrait un peu plus son cœur. Enfin je crois. Parfois, je passais la nuit et le lendemain matin je m’en allais. Je faisais tout pour qu’Haruko ne soit pas déstabilisée. Ma présence devait mettre mal à l’aise Karasu au fond. Alors nous prenions tout notre temps. Mais nous ressentions le besoin de voir si la vie ensemble n’était pas mieux pour notre couple, alors j’ai fini par m’installer chez eux. (Silence) J’ai essayé de me lier d’amitié avec Karasu. Bon, je ne voulais pas remplacer son père illico presto, je ne pense pas que ç’aurait été la bonne solution, mais… J’ai été on ne peut plus sympa avec. Je… Je crois qu’il m’appréciait. Il a même approuvé le mariage entre sa mère et moi. Je suis sûr qu’il ne voulait pas au fond de lui, qu’il voulait garder sa mère pour lui. (Il fourre son visage dans ses mains) Mais qu’est-ce que j’ai fait… ? »

Témoignage d’un camarade de classe de Karasu.

« Si je connais Karasu ? Oui bien sûr, il était dans ma classe. Il était super doué en anglais, d’ailleurs, et il voulait absolument entrer dans le club de littérature, pour pouvoir exposer ses connaissances en français. Il était intéressé par les expériences de physique chimie, mais il avait des mauvaises notes, allez savoir pourquoi. Comment je le sais ? C’est simple, j’étais son binôme. Je sauvais un peu l’honneur car évidemment, il s’exprimait dans ses comptes rendus de sciences comme s’il s’agissait d’une dissertation. Alors je transformais tout ça à la sauce technique et nos notes se portaient mieux. Il était assez réservé, mais il n’était pas méchant, non… Il avait assez de mal à s’ouvrir aux autres, et n’encombrait pas les conversations avec sa vie privée. Lorsqu’on travaillait ensemble ou qu’on se croisait dans les couloirs, jamais il ne me parlait de lui. Il écoutait avec attention mes histoires ou alors nous parlions de nos devoirs. Je sais qu’il n’a jamais eu de père par contre. Je savais au moins ça. Et je trouve qu’il était vraiment très courageux justement d’encaisser une vie sans père. Je crois que sa mère y est pour beaucoup. Quoiqu’il en soit, un jour, je me souviens l’avoir vu arriver en cours avec un air atterré sur le visage. Comme si un bout de son âme venait d’être enlevé dans ses yeux, vous voyez, il avait les yeux un peu plus vides ! Sur le coup je dus émettre une hypothèse, qui était celle d’un beau-père, mais vous vous doutez bien qu’il ne m’en avait jamais parlé. Quelques temps plus tard, sa mine faisait vraiment peur à voir. On sentait qu’il encaissait comme il le pouvait, mais quand il marchait on le voyait fléchir, vaciller, flancher. Il avait bien plus de mal à regarder les autres en face aussi. Et ses notes chutaient, au grand étonnement des profs et de moi-même, qui étais son voisin de table. J’ai commencé à avoir peur de ses yeux, car ils ne reflétaient vraiment, mais vraiment plus rien. Et à cause de cela, les sourires qu’il décochait pour dire ‘tout va bien, ne t’en fais pas’ n’avaient plus aucun sens. On dit bien que les yeux sont le reflet de l’âme, pas vrai ? »

Témoignage de Haruko.

« J’ai toujours aimé mon fils. Toujours. (Silence) Bon, je l’admets, sur le coup, quand j’avais compris qu’il était dans mon ventre, je le haïssais. Je voulais m’en débarrasser au plus vite, le tuer, vous comprenez ? Oh oui, je voulais qu’il meure, et je voulais ensuite retrouver tous ces monstres et les tuer aussi, me venger, leur faire payer de m’avoir pourri la vie. Personne ne voulait m’aider, j’étais vraiment seule, et je ne me sentais pas capable d’avoir cet acte de bonté incommensurable. Seulement… J’avais peur, très peur. Je ne voulais pas que ce petit être qui était en train de grandir dans mon ventre m’en veuille et me hante toutes les nuits de ma vie pleine de poneys roses et de joie. Comprenez-vous le sens du mot ‘solitude’ ? Moi je me voyais déjà après avoir extrait mon fils de mon ventre avant qu’il ne soit à terme. Rejetée de tous et rejetant toute compagnie. La solitude, je la sentais planer, elle était comme un vautour qui attendait que je crève pour me bouffer les entrailles ! Je n’ai pas osé avorter. En travaillant comme je le pus en étant enceinte pour gagner suffisamment d’argent, je me sentais revivre. Et après l’accouchement, qui sait la joie mêlée à la peine que j’ai ressentie alors ? Il était tout pour moi, il m’avait donné une raison de vivre. Karasu. Puis Bélial. Pourquoi avais-je eu envie de lui offrir un second patronyme ? Je ne le savais pas. Bélial, si je me souvenais bien, était l’ange déchu rejeté du paradis. J’avais failli le rejeter et finalement c’était lui qui m’avait sauvée. Ce deuxième prénom était comme une preuve que la vie de Karasu serait sans doute difficile. Bien que j’eusse tout fait pour empêcher qu’il soit malheureux. Seule, je devais user et abuser des heures supplémentaires pour pouvoir subvenir à nos besoins présents mais aussi prévoir les besoins futurs. Karasu est un garçon intelligent, vous savez. Je le voyais dans une grande université, alors je commençais déjà à mettre de l’argent de côté. Je voulais que sa vie soit plus belle que la mienne. C’est un bon garçon, je l’aime plus que tout. Je ne voulais en aucun cas lui donner l’impression d’une trahison en me remettant avec un homme. J’étais heureuse quand Karasu l’était, mais quelque part au fond de moi, je voulais plus. Et j’ai rencontré Gon. On a tout mis en œuvre pour que mon fils ne soit pas déstabilisé. C’était normal, après tout, toute sa vie il avait vécu seul avec sa mère, je pensais deviner ce qu’il ressentirait si je trouvais quelqu’un. Après notre mariage, à Gon et moi, Karasu a clairement montré des signes de faiblesses, et à part ma présence il ne pouvait plus supporter celle des autres, et des femmes en particulier. J’étais morte de peur, je ne comprenais pas pourquoi il se renfermait ainsi. Il ne partageait plus rien, et je m’en voulais de ne pas comprendre. J’ai pensé qu’il était plus en quête de nouveau, qu’il avait besoin d’un nouvel air, alors je l’ai inscrit dans un Lycée de Nagoya pour que ça aille mieux. Enfin, je l’espère de tout mon cœur. »

Témoignage de Karasu.

« Quoi, vous voulez que je parle de moi ? Et dans quel intérêt ? Ahh je comprends, vous avez déjà interrogé mon entourage, alors finalement je n’ai plus vraiment de secret, pas vrai ? Bien, c’est d’accord, je vais vous parler de moi. Vous savez pourquoi je m’appelle Karasu Bélial Rakuen ? Déjà, Rakuen est le nom de famille de ma mère, parce que mon père, elle ne sait pas qui il est. Elle m’a eu après s’être fait violer par quatre ou cinq types. Donc autant dire que c’est pas du gâteau de savoir de qui elle tient l’enfant. Et puis ils se sont enfuis, et ils se sont bien cachés, donc je n’ai pas été reconnu du côté paternel, et je m’en contrefiche. Disons plutôt que j’ai l’habitude. J’adore ma mère. Elle a fait tant pour moi. Je pense même qu’elle m’a appelé Karasu en référence à son premier amour de jeunesse. J’en suis même quasiment sûr, bien qu’elle ne m’en ait pas apporté la preuve. Pour ce qui est de Bélial, j’avais fait des recherches avant qu’elle ne m’en révèle timidement la signification. Je sais qu’il s’agit d’un ange rejeté du Paradis. N’est-ce pas un peu paradoxal avec mon nom de famille ? Si, je vous l’accorde. Mais j’aime mes prénoms. C’est ma mère qui me les a donnés, je ne peux pas refuser ce qu’elle m’a offert. (Long silence) Vous savez, j’ai toujours souhaité qu’elle soit heureuse. Avant moi. Car avant que je naisse elle a vraiment vécu des choses horribles. Je dois être trop gentil. Et mauvais envers moi-même. Je laisse toujours passer les autres avant moi. Quand ma mère a rencontré Gon, j’étais vraiment très heureux pour elle, elle le méritait. Mais je redoutais qu’il soit un de ces méchants beaux-pères dont on entend parler à la télévision ou dans les livres, vous voyez, le genre d’homme amer qui vous met à la porte pour un oui ou pour un non. Quoique, si j’avais été mis à la porte pour le bonheur de ma mère, ç’aurait été fantastique ! Ils étaient heureux tous les deux, et j’admets que c’est gênant à avouer mais ils ne prenaient pas assez leurs précautions quand il s’agissait d’avoir… des rapports. Ils laissaient leur porte ouverte, et j’avais beau mettre de la musique pour couvrir ces sons, je les entendais quand même. Au début je ne pouvais rien leur reprocher, mais à force ça devenait lassant. Je dormais peu et je me rendais en cours en essayant de garder le sourire candide qui faisait mon intégrité. Vint le moment où ils se marièrent tous les deux. J’ai respecté les vœux de ma mère et j’ai tout fait pour être à ses côtés durant ce jour. Malgré la présence de Gon, ma mère travaillait toujours énormément, donc elle partait très tôt le matin et revenait assez tard le soir. J’essayais de me démener pour qu’elle soit fière de moi. Un jour, alors que je n’avais pas cours et que ma mère était partie travailler, Gon m’avait appelé dans sa chambre. (Il déglutit, l’air gêné) Il m’a fait tout un discours sur le fait qu’il aimait ma mère et il a directement enchaîné avec son manque de quelque chose. Bon, il avait toujours été sympa avec moi, je savais dans le fond qu’il voulait remplacer mon père un jour ou l’autre, et même si je ne désirais pas forcément avoir de paternel à cause de l’habitude, j’étais plus ou moins content qu’il essaie de recoller les morceaux de notre famille, à ma mère et à moi. Mais ce jour-là, il était bizarre, il me disait qu’il lui fallait plus qu’étreindre ma mère. Je ne comprenais pas ce qu’il sous entendait, et quand il a posé sa main sur ma joue tout s’éclaira. Je m’étais laissé faire. Je ne voulais pas détruire la belle vie qu’avait ma mère alors. Il s’est emparé de moi… dans le lit conjugal. Dans leur lit. Au début j’avais honte, mais j’avais aussi compris que ça durerait. Parce qu’il se permettait de me montrer son vrai visage. Les journées se succédaient sous ce rythme donc : Départ de Maman, viol, cours, viol, arrivée de Maman. Evidemment, il cachait ces obscénités en satisfaisant ma mère de temps en temps. Mais tous les matins je redoutais ce moment où il se glisserait dans mon lit pour me faire subir quelque chose de nouveau, une idée malsaine qui avait germé dans son esprit. A force, ça ne me faisait plus rien, tout ce que je voulais, c’était que ma mère soit heureuse, vous vous imaginez comme elle aurait sombré si elle avait su que son mari se tapait son fils ? Je ne prenais ni plaisir ni horreur à ce qu’il me faisait ; j’encaissais c’est tout. Je me suis rendu compte qu’à cause de lui, les filles ne m’attiraient plus. Et ma mère a trouvé juste de ’envoyer à Nagoya. Je l’en remercie d’ailleurs, elle m’a enlevé un sacré poids. Seulement, j’ai la sale manie de me soumettre, maintenant, bien que je sois terrifié à l’intérieur. »

Clac. BLACK OUT.


¤ Plus ¤

:: Code secret :: J’aime beaucoup le Japon.

:: Comment avez-vous connu le forum ? :: Multi compte ! \o/ Et je tiens à signaler que cette fiche m'appartient bel et bien, je l'ai remaniée il y a un mois pour un autre forum, mais c'est toujours de moi, donc aucun plagiat.
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MessageSujet: Re: A crow in Heaven. [100% COMPLETE]   A crow in Heaven. [100% COMPLETE] Icon_minitimeMer 14 Oct - 14:46

Superbe présentation :]

Bienvenue à toi, ou devrais-je plutôt dire RE-bienvenue (:
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MessageSujet: Re: A crow in Heaven. [100% COMPLETE]   A crow in Heaven. [100% COMPLETE] Icon_minitimeSam 17 Oct - 14:46

Merci Aika =)
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MessageSujet: Re: A crow in Heaven. [100% COMPLETE]   A crow in Heaven. [100% COMPLETE] Icon_minitimeSam 17 Oct - 18:25

(Re)bienvenue alors =o

Magnifique fiche, au passage :3
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MessageSujet: Re: A crow in Heaven. [100% COMPLETE]   A crow in Heaven. [100% COMPLETE] Icon_minitimeSam 17 Oct - 22:48

Thanks Eiji !
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MessageSujet: Re: A crow in Heaven. [100% COMPLETE]   A crow in Heaven. [100% COMPLETE] Icon_minitime

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