Entre victimes et tortionnaires que se passe--il? [PV Lust]

Il y avait une sorte de classe abandonnée, inutilisée. Sezru s'y réfugiait parfois pour echapper aux moqueries, aux railleries qui le poursuivaient de couloir en couloir. Il portait une chemise blanche et un pantalon gris comme toujours. Tout était mis en oeuvre pour passer inaperçut...Mais rien a faire, il était remarquable autant par sa féminité que par sa beaué.

Après avoir ouvert la porte, Sezru regarda autour de lui. Il était seul et s'était temps mieux. Il referma la dite porte derrière lui et il s'assis sur une table qui était juste au milieu de la salle. Cette salle avait encore des chaises et des tables, elle était au rez-de-chaussée donc peu fréquenté. Sezru essuya ses yeux de sa manche, encore une fois, on lui avait fait des misère. Il rejeta la tête en arrière. Cela ne cesserait donc jamais...? Son visage était légèrement éclairé par l alumière jaunâtre qui pénétrait à travers les rideaux de cette classe. Rideaux d'ailleurs laird, horrible. Mais Sezru ne le disait pas car cela ferait rameuter tout les élèves tortionnaires qui ne connaissaient pas encore sa planque. Mais au fond, Sezru se demandait s'il souffrait vraiment de ces moqueries, de ces abus répétitifs, de ces démonstration de violence à son égard...C'est vrai que dit comme cela, rien ne pourrait l'amener à aimer ça mais...Sezru se félicitait d'avoir un peu dimportance dans le coeur des gens quelle qu'en soit la nature et puis au fond il l'aimaient bien non? Toutes ces aventures lui avaient fait rencontré beaucoup de gens pas très cordiales c'est vrai mais Sezru aimait cela. Et il ne voulait pas que ça change. De toute façon, ce n'était pas pret de changé et tant mieux...

Le tableau vert foncé poussiereux portait la marques de nombreuses notations maintenant indéchiffrable. Dans l'air, on devinait une odeur de cigarette surement des élèves qui venaient se cacher ici pour fumer leurs restant de cigarette. Sezru soupira et ferma les yeux. Ici au moins il était au calme...Enfin presque car en silence, la porte s'ouvrait et Sezru ne l'avait pas entendu. Il ne bougeait donc pas. les pieds se balançant dans le vide bien qu'il ne soit pas petit, la tête rejetée en arrère, les yeux fermés, les mains sur le bureau sur lequel il s'était assis. Bref, Sezru profitait de sa tranquilité qui n'était n'était en fait qu'une illusion qui allait bientôt s'éstomper...