Not drug. But the secondary school [liberta]

Me faisant encore réveiller par ce maudit cadran qui m'enlève de mes rêves les plus fous. Je prends une bonne douche pour ensuite m'habiller et me diriger vers la cuisine. Mon père est là ivre et endormis à la fois.

-Encore ivre papa! Je t'avais pourtant expliquer que l'ivresse ne rendra pas maman et tu le sais.

Puis il me regarda.

-Je fais ce que je veux..hic...toi tu vas à l'école et la..hic...discussion n'ent finit là...hic et je ne suis pas ivre..hic j'ai juste un peu bu c'est tout.

Pas ivre mon oeil. Comme si je pouvais te croire avec ta réaction.

-Arrête de te souler sa ne fera que t'empirer.

Sa me surprendais qu'il m'écoute. Il est du genre borné et têtu.

-Je ne prends les conseils d'une personne qui n'est pas mon fils.

Encore cette pensée. Il veux vraiment que je le laisse faire, mais si je n'interviens pas il pourrait avoir une crise à cause d'avoir trop bu.

-Combien de fois faudra t'il que je te répète que je suis ton fils?

-Tu n'es pas mon fils vu que mon fils n'avait pas les cheveux bleus, il les avaient noirs.

Pris de colère je ne fit que lui dire:

-Mais quand vas-tu finir par te rapeller que je me suis fait teindre les cheveux. Je peux même t'assurer que t'étais avec moi alors ne dit pas de bétises.

Encore la même histoire, aucun changement et aucune nouvelle intéressante. Enfin bref,Une autre journée comme les autres. Je commence en avoir marre des examens qu'on me donne pour mon retard perdus. Sérieusement, ces professeurs ne font que me piétiner, moi vu que je suis un polis j'accepte même de leur rendre service et voilà ce que j'ai comme récompense. Des examens et rien d'autres sa va me rendre dingueet de plus mon père qui ne m'Accepte pas comme étant son fils. En tout cas, je devrais me dépêcher de me rendre en cours sinon je peux dire adieu à ma fin d'après-midi avec mon violon et ma tranquillité. Je tourne le coin de la rue et j'apercoit l'école. Elle me surprend à chaque fois que j'y jette un coup d'oeil. Elle à au moins le triple des dimensions de mon école, Elle est vraiment gigantesque. Je me dirige vers l'entrée puis je la voit cette fille qui reste figer. Est-elle dans la lune ou a t-elle peur? Enfin bref je m'approche d'elle.

C'est la première fois que je vous voit? Vous devez être nouvelle je présume? Ai-je raison?

On dirait qu'elle est nouvelle juste d'après ses mouvements arrêtés juste devant la porte. Comme une certaine peur ou un stress particulier.

"Heu...Oui ! Je suis nouvelle. Et vous avez raison."

C'était pas si dure finalement à décerner et elle à l'air d'être plus vieille que moi. Je la regarde attentivement disons qu'elle est plutôt mignonne quand tu l'a regardes tellement que je commence à rougir. Encore questionné elle me pose finalement une question:

"Vos cheveux... Heuuu... Sont narturels ou c'est une coloration... Je suis désolée de vous demandez sa. Tout cellà me regarde pas c'est votre vie privée après tout..."

Mes cheveux? Je vais lui répondre après tout ce n'est pas si pire comme question. C'est pas comme une demande!!

-Non, non ce n'est pas grave!! C'est une coloration que je me suis fait faire quand il a eu un incident le 10 juillet et c'est pour me rappeler d'un souvenir que je ne veux pas perdre et qui se trouve à cette date précise.

-Mais sinon j'ai oublié de me présenter! Je me nomme Yokiro Kimoshi et je suis de la classe 1-B.

-Bien sûr que non voyons sa ne peut-être considéré comme tel. Yaka peut-être un nom de fille et tu en es la preuve.

Elle n'a pas à s'inquieter pour une remarque pareille. En plus c'est très joli comme nom et sa correspond très bien pour elle moi je dis. Dommage par contre qu'elle ne soit pas dans la même classe que moi, j'aurais pu apprendre à mieux la connaître. Sa va de soit par contre que je peux toujours lui parler en dehors. Sauf que sa serait été préférable qu'elle soit dans ma classe, mais de toute manière vu que je peux lui parler c'est parfait pour moi.

Mais qu'est-ce qu'il s'est passé le 10 Juillet ?"

Elle est curieuse on dirait, mais de toute façon elle a le droit de le savoir bien que sa m'est privé. Je la regarde et je ne fait que répondre une larme glisse sans le vouloir de mon oeil gauche. Je l'essui et lui dit:

-La mort de ma mère!

Pourquoi dois-je être si remplis de sentiments, pourquoi dois-je vraiment avoir vécu ce moment et pourquoi suis-je né? Toutes ces questions se bousculent dans ma tête sans que je ne puisse y répondre. JE la regarde et une deuxième larme coule. Je ne peux l'arrêter devant elle cette fois, mais je me retiens tout de même.

Elle me tendit un mouchoir sous preuve de pardon, mais elle y avait tout de même penser et sa me faisait chaud au coeur. Je la regardais sans le moindre d'un doute tout en m'assurant d'avoir bien essuyé mon oeil gauche.
Je lui redonna son mouchoir ou plûtot le morceau de tissu rose en la remerciant. Puis elle me regarda et me dit:

Je suis vraiment désolée pour ta mère... Je préfère m'arrêter de te demander des choses qui sont dans ta vie privée. Tu s'es ! Moi, j'ai mon père qui a quitté la maison le jour de mes 17 ans. Et avant je n'habitais pas ici, j'habitais dans un petit village quand j'avais 2 ans. Puis quand ils ont divorcé j'ai du partir de mon petit village Natal avec ma mère. Je suis arrivée ici et c'est mon deuxième lycée que je change...."

Alors elle aussi avait perdu quelqu'un ont était dans la même situation, mais en tenant compte que moi c'est la mort et elle la fuite. Pourtant elle n'a pas l'air si triste que sa sûrment parce qu'elle à un salot(désoler sa me tentais de dire ce mot)de père qui c'est enfuis en plein pendant son anniversaire.
C'est évident que moi aussi je ne pourrais lui pardonner.

-Tu sais, sa ne me dérange en aucun point de discuter avec toi de ma vie privée et de même que sa me ferait plaisir. De toute manière il faut que sa sorte un jours et je peux te le dire à toi, car tu prouve une certaine marque de respect envers moi donc je n'y voit aucun inconvénient. En plus on a eu tout les deux un moment difficile et aussi des moments amusants qu'on pourrait se parler. Mais on s'en reparlera qu'après les cours si tu veux bien retrouve moi ici même à la fin de l'école. Je te raccompagnerai chez toi tant qu'à faire aussi.

La cloche sonna et se dirigea tous les deux vers notre classe respective avec un petit salut.