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 |  Sujet: Lelio Phatomhive, élève canidé  Mar 3 Nov - 22:58 | |
| ¤ Identité ¤
:: Nom :: Phantomhive
:: Prénom :: Lelio
:: Age :: 16ans
:: Classe :: 2.A
:: Situation (Lycéen, professeur, autre membre du personnel, habitant de la ville...) :: Lyceen
¤ Personnalité ¤
:: Description physique :: Lelio est looké… N’importe comment. Enfin, il faut dire que c’est sa sœur qui l’habille. Lui, s’il choisissait ses vêtements, se serait plutôt habillé d’un… D’un sweet et d’un jean, pourquoi pas ? Il n’aime pas chercher dans le compliqué.Malheureusement, comme dit précédemment, notre Lelio est habillé, bien malgré lui, d’un top déchiré, d’une chemise ouverte et d’un pantalon baroudeur un peu trop grand pour lui, lui donnant un air, si pas effrayant, quelque peu ridicule.
Naturellement, bien qu’il soit bon de s’intéresser aux vêtements, le visage est bien plus important :: Lelio a un beau visage. Du moins, il est plus beau que la moyenne des garçons, et moins beau que certains éphèbes, qui déclanchent souvent des fanclubs dans les lycée d’enfants de bonne famille.
Son visage, bien que carré, et quelque peu canidé, est orné de deux magnifiques yeux bleus foncé, d’une pureté exceptionnelle. Sur ces deux yeux, on peu distinguer deux piercings, à l’arcade gauche. Ses cheveux, longs, sont retenus par une queue de cheval. Ils sont teint d’une couleur gris/verte, vaseux. Notant une série d’autres accessoires assez originaux, que sa sœur lui as mise de force.
Que dire d’autre ? S’il n’est pas lourd –Moins de cinquante kilos-, il est de taille plutôt normal -1M70-.
:: Description morale :: Lelio n’a jamais réellement eu de caractère à proprement parler. C’est un garçon qui… Vous voyez un chien ? Eh bien c’est à peu près la même chose.
Un chien n’impose jamais ses propres désirs, c’est le cas de Lelio, qui refoule sentiments et rêves bien à l’interieur de lui.
Un chien obéit à son maître ? Lelio fait de même avec sa sœur.
Bon, le chien à proprement parler n’est pas totalement stupide. Oh, non. Mais il le laisse souvent à penser.
Comment dire ? Lelio est toujours dans son coin, et, lorsqu’il doit se joindre à ceux de la classe… Eh bien, il détourne le regard et écoute sagement les conversations.
Le chien est très timide.
Lelio n’est pas doué en classe. Bien qu’assez intelligent, il ne travaille pas. A vrai dire, son attention est portée sur quelqu’un d’autre.
Et oui, le chien est amoureux.
Mais le chien se garde de le dire ! Avez-vous déjà vu un chien faire une déclaration à une femme ? Oui ? –Souvent sur la jambe- Vous savez comment cela se finit ?
Lelio se dit qu’il n’a aucune chance et déprime dans son coin. Peut-être un jour le chien fera il l’effort de le lui avouer ?
Le chien… Est très susceptible. En effet, si jamais quelqu’un ose l’insulter de travers… Le chien ne l’oublie pas. –Mais se laisse faire-. Jusqu’à ce qu’il finisse par craquer, et là…
Le chien fait très mal
¤ Biographie ¤
:: Histoire ::
Il était une fois une famille heureuse…
Pff, quelle blague !
Non, ma famille n’était pas heureuse. Enfin, si, mais… J’avais… Quoi ? Quatre ans ?
Je me souviens de disputes, dans la salle à manger, je me souviens des larmes de ma mère et des cris de mon père. Je me souviens de ma petite sœur, qui attrapait ma manche.
-Ne me lâche pas !
Je ne la lâcherais jamais. Elle avait si peur… Mais moi aussi, j’avais peur. Très peur, même. Pourquoi une famille autrefois si unie allait-elle, ainsi, se disloquer ? Nous ne savions pas encore ce que signifiait le mot divorce, que nous pensions que nos parents allaient se séparer.
Ma sœur pleura et…
Je me souviens d’un rouge, d’un rouge éclatant… Sanglant. Un rouge qui vrillait doucement sous mes yeux, je me souviens de ce rouge si sublime brûlant, dévorant, avalant notre manoir.
-Ne reste pas là, petit !
Pourtant, je ne voulais pas partir de cet endroit, si beau. Ce rouge… Sans m’en rendre compte, je m’avançais, tout doucement, vers ce rouge dévorant, magnifique. Je pouvais mourir sous le moment, je ne m’en serait pas aperçu, il n’y avait que ce rouge qui comptait et…
Un bruit. Un cri, familier, des pleurs. Ne me lâche pas… Ma sœur… Ma sœur, dans ce rouge et ses cris, si beaux, si…
Je me souviens des sirènes d’alarmes. Ma sœur s’en sortit, elle pleura beaucoup. Nos parents, eux, étaient morts.
Ils nous avaient laissés en tout et pour tout… 500 000 livres… De dettes. Ils n’étaient pas riches et devaient énormément aux organisations voisines. Vous savez, celles qui s’occupe de votre commerce si vous ne leurs offrez pas de l’argent ? La pègre.
Ils nous laissèrent aussi –et grâce au ciel-, une famille. Un oncle, une tante, qui prirent soin de nous.
Ils me laissèrent une charmante cousine, dont la grâce emplissait chacun de ses gestes, dont l’affection que je lui portait était tout ce qui me maintenaient en vie.
Bizarrement, je n’entendis plus parler des dettes. Notre oncle et notre tante les ayants pris sur eux, je passais des jours tranquille, grandissant dans le deuil de mes parents, dans l’espoir d’un bonheur qui était entièrement fait d’illusions.
Plus tard, il y eut une affaire de détournement de fond, notre famille tombée en disgrâce auprès de la reine. Peut-être toujours à cause de cet argent, nos tuteurs nous envoyèrent loin, dans un internat.
¤ Plus ¤
:: Code secret :: C1 : J’aime beaucoup C2 : Le Japon
:: Comment avez-vous connu le forum ? :: Il nous fallait absolument un forum qui autorisait les doubles comptes é_è
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