James Crimsson

:: Description physique ::

Des cheveux noir qui n'ont pas vu un peigne depuis des lustres encadrent un visage placide, neutre et inexpressif, cela fait un peu pléonasme n'est ce pas ? Ses yeux noisettes sont sans intérêt, inintéressant si l'on peut dire. James mesure un mètre soixante-dix, ce qui est une moyenne acceptable, même si nombre de garçon peuvent le regarder de haut, et nombre de fille en face. Il porte des vêtements noirs, d'énormes news rocks aux pieds, un jean noir sur mesure et une chemise à col dur, avec une veste sombre bien accordée au reste, passée par dessus. Pas forcément musclé et tout en finesse, le jeune homme privilégie la souplesse et la rapidité de son corps à la force brute. On le voit rarement sans son portable à la main, envoyant des mails et prenant des clichés de tout et n'importe quoi. Surtout n'importe quoi.

:: Description morale ::

Comme tout le monde, James est assez complexe à cerner, ou alors trop facile, allez savoir. Le plus clair du temps il affiche une tête inexpressive, quoi qu'il fasse, ou dise. Une vraie tête à claque, cependant il est très cru dans ses mots, et, malgré qu'il puisse ne pas parler durant des heures sans la moindre difficulté, l'inverse est vrai aussi. Il n'a aucune considération pour ce que les gens appellent le "respect" visiblement il n'applique cette manière de faire qu'a de rares personnes. Les profs se voient ainsi régulièrement mouchés par une réplique sèche et sans appel les laissant, en général, sans pique à relancer, et si par malheur une joute verbale et doucereuse éclate, il en sort rarement perdant.
Il possède également la sale manie de prendre des centaines de photo, de toi de moi d'elle de nous de lui et d'eux, de ceci et cela, de cette chose là bas et ce truc ici, grâce à un téléphone portable dernier cri en matière de photographie, même s'il n'est pas rare de le voir avec un énorme réflex ou un Polaroïd attaché sur le côté de sa ceinture. Vif comme l'éclair, il peut, à la manière d'un cowboy, dégainer son téléphone, ouvrir le clapet, bras tenu, et prendre une série de 3 clichés (pour qu'un au moins soit correct) et tout cela en a peine une fraction de seconde. Il lui a fallut pour cela un téléphone adéquat, et, question matériel d'imagerie il est calé le petit emmerdeur, tellement que certains vendeurs ne veulent plus entendre parler de lui, une fois leur à largement suffit.
Poète à ses heures perdues, ses photographies sont parfois ornées de quelques lignes sur la pensée du moment, à la manière de la poésie Marchombre, car, en lecteur aguerrit, il bouquine des pavés de fantasy, Pierre Bottero inclu.
Il aime retoucher ses photos par le biais de logiciels, mais par contre c'est une vraie bille en dessin.

:: Histoire ::

James est né dans la péninsule citadine de Tokyo, ses parents tout deux japonnais de pure souche depuis je ne sais combien de génération l'ont parfaitement éduqué en suivant scrupuleusement les traditions. Travail, travail, éducation, devoirs, mais aussi RESPECT.
Devenant peu à peu, avec le temps, aussi talentueux dans ses cours que sa famille le désirait, il se renferma dans un mutisme et une placidité de plus en plus profond a mesure que les années défilaient. Le petit enfant bien élevé débuta alors a débiter un savoir que ses parent ne pouvaient comprendre d'ou leur niveau d'étude correct.
Seulement correct.
Une soudaine prise de conscience s'opéra dans le cerveau tout bien alambiqué de notre jeune homme.
Ses parents ordonnaient, car ils étaient plus intelligents que lui, et ce, depuis sa naissance. Mais maintenant, il l'était plus qu'eux.
Doucement, son tempérament changea, un devint cru et sans appel dans ses paroles, avançant des notions complexes avec des arguments de poids dans toutes des discutions, faisant des références à nombre d'auteurs et de personnages savant, pour dominer totalement ses interlocuteurs, tout en raccourcissant le nombre de mots de manière significative pour chaque phrase, et finalement ne plus envoyer que des piques virulentes à ses interlocuteurs, qui, bientôt, comprirent leur situation.
Espérant que l'internat le rendrais sociable, ses parents lui en vantèrent le mérite, trouvant aussi dans cette solution le moyen de s'en débarrasser...
Chantage, magouilles, et au final acceptation.
En échange d'un réflex et d'un pc portable Flambant neuf, James se retrouva dans les portes de Shimizu.


:: Code secret :: J'aime beaucoup le Japon

:: Comment avez-vous connu le forum ? :: partenariat