Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

 

 Hey, Jun !

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar



Hey, Jun ! Empty
MessageSujet: Hey, Jun !   Hey, Jun ! Icon_minitimeMer 16 Juin - 17:11

Don't call my name.

« TANIZAKI, Junichiro »

'xxxxxIdentité.

Hey, Jun ! Icone110
    Âge : Dix-neuf ans
    Classe : Trois.B.
    Lieu de Naissance : Niigata; Japan
    Statut : Pauvre moujik.D: Étudiant.

'xxxxxDescription du personnage.


Description caractérielle

« Je suis dur avec les femmes; encore plus avec les hommes et, pour finir, je suis sans pitié avec ma propre personne. »

Aucun être humain, je dis bien aucun, à ce jour, ne connnaît le caractère exact de Junichiro. Au cours de sa vie, il a eu très peu l'occasion de parler avec les gens, alors il est froid. Froid. Au premier abord et sans rien chercher du tout, on peut s'arrêter sur ces mots premiers : connard prétentieux, froid et hautain. De part son port de tête haut, il peut sembler vouloir s'élever au dessus de tout. De part sa démarche assurée, il paraît vouloir tout dominer. Junichiro peut être associé à l'image d'un iceberg. En effet, celui-ci cache le 90% de ce qu'il est en réalité. Ainsi, Jun ne dévoile que 10% à la population en générale. 20% à la population qui semble s'intéresser. 30% à sa famille. Alors vous imaginez le reste ?

En fait, toujours au premier abord, c'est vite vu, soit on accroche, soit on n'accroche pas. Mais dans les deux cas, vous vous tromperez complètement sur sa personne. Car c'est un iceberg doublé d'un masque ambulant. Un masque ? Sa face est sans cesse peinte d'une couleur autre que son propre visage. Il a toujours, non seulement, cet air d'Alejandro (voir histoire) encré dans les traits, mais de plus on ne sait jamais s'il plaisante ou s'il est sérieux. Par conséquent c'est un blagueur hors-paire. Mais il n'a pas grandement l'occasion de le montrer...

Mais revenons à ces deux cas...

Dans le premier cas, c'est à dire vous accrochez. Ses yeux, forts et perçants, vous font tourner la tête, si vous êtes une fille. Si vous êtes un garçon, vous voudrez marquer votre territoire. Car il semble fort. Oui. Tout le monde aime les gens forts. C'est un roc. Il fait bloc. Il est têtu et borné. Il ne se plaint jamais. D'ailleurs, parfois, il devrait ! Mais même lorsqu'il rentrait la gueule en sang, après une bagarre, il ne disait rien. Il nettoyait tout ça et parfois les plaies étaient immondes, mais il s'en foutait. Oui, un je m'en foutiste. Parfois perdu dans la lune, ailleurs. Il peut vous charmer grâce à son air décontracté. Il paraît vraiment cool. Mais... l'apparence est trompeuse.

De l'autre côté.... vous n'accrochez pas du tout. Pourquoi ? Parce que c'est un connard, qui suscitera la jalousie de certains. La jalousie créera la haine. La haine vous poussera à vouloir l'anéantir. En tant que fille, ça peut en saouler certaines ce côté "je me prends pas pour de la merde". Et même celles qui osent s'approcher, ne feront pas long feu, puisqu'il les rembarre très vite. Il peut devenir lourd à toujours vouloir avoir raison. Il dit souvent : Même lorsque j'ai tort, j'ai raison d'avoir tort.

« Ne pouvant me corriger de ma folie, je tentais de lui donner l'apparence de la raison. »

Ah la raison ! Chaque personne sur terre a besoin de raisons, de justifications. Alors que celles-ci sont parfois inutiles et surtout inexistantes. Et donc, Junichiro, si différent des autres, a bien dû trouver une raison à cette différence... bien vite transformée en folie. Et donc, comme s'il avait raison d'être fou, d'être à côté, il continue d'avancer, coûte que coûte. Ne refusant aucune erreur. Il fonce, parfois tête baissée, parfois sans réfléchir.

« C'est pas que je n'aime pas les gens, mais je suis comme à l'étroit dans leur monde. »

Un certain mal-être, comme s'il était né trop tôt, dans une époque trop peu évoluée. Très critique, il a toujours le besoin et l'envie de remettre en question les agissements des autres et de les remettre à leur place. Il n'hésite pas à être blessant et cassant pour ça. Il s'en fout de vous. Il est indifférent. Il a besoin de vouloir faire changer ce monde, tout du moins le monde qui l'entoure.

« Je t'aime ! - Moi non plus ! »

L'amour occupe très peu de place dans la vie de Junichiro. Il trouve ceci sans intérêt, puisqu'il estime les femmes stupides ! Il n'en a jamais connue une seule digne d'intérêt ! Alors il a fermé la porte à l'amour. Mais... qui sait ? Est-ce qu'un homme ne serait pas plus intéressant qu'une femme ? Very Happy

« Tout ce que je fais est inutile, mais il est important que je le fasse. »

Les occupations de Jun sont très complexes... Puisque dans son passé il a avait sans cesse le nez enfouit dans les bouquins ou alors les yeux rivés sur un écran d'ordinateur. Il ne sait pas vraiment ce qu'il aime ou ce qu'il n'aime pas. Il n'a pas essayé grand chose jusqu'à maintenant. Il ne pense pas qu'une seule occupation soit intéressante... mais certaines le sont moins que d'autres, tout simplement. Il espère vivement que le Lycée Shimizu va lui redonner un peu de goût à tout ça et pouvoir, enfin, trouver une passion bien définie.

Description physique et vestimentaire

« Que les apparences soient belles, puisqu'on ne juge plus que par elles. »

Puisque cette population sous-évoluée est sans cesse en train d'aimer ce qui est beau étérieurement, ceci est un piège parfait. Piège que Junichiro n'existe pas à utiliser sans vergogne. Il s'habille toujours bien, afin d'attirer les regards. Une fois que les regards sont braqués sur lui, il laisse un tout petit peu les gens s'approcher... et là... CLAP ! Il referme son étau sur eux. Il les enserre à la gorge et il serre fort, putain ! Plus personne ne veut connaître une personne par rapport à ce qu'elle est intérieurement... Suffit de voir le genre de question qui sont posées au premier abord. Il suffit de voir un premier abord tout simplement pour voir que tout est dénué d'intérêt.

Grand noireaud. Un mètre quatre-vingt-cinq, Junichiro casse le mythe du petit Japonais. Il utilise sa taille à son avantage puisqu'il est plus visible ainsi. Ajouté à ceci, une silhouette svelte, mais tout de même musclée... Eh ! C'est un homme ! Il sait se défendre, dirons-nous ! Il habille souvent ce corps d'une chemise en haut et d'un jean décontracté en bas... Le genre de jean assez large, mais pas trop non plus. Pas genre J'ai chié au froc. Quelque fois, il met une veste de costar en haut, ainsi ça lui donne plus de sérieux ! Pour les chaussures, il aime se plonger dans des mocassins converse ou alors des Converse tout court ! Il associe toujours les couleurs, chemise blanche, chaussures blanches. Il aime, parfois, ajouter par-dessus la chemise, un petit pull en coton en cas de température froide. Ou alors, une petite cravate rayée aux couleurs absurdes et en incohérence avec le reste pour donner un air décalé au tout. Dessous le pantalon, ça sera un boxer, s'il vous plaît ! Et abat les slips ! XD Et dans le boxer, ça sera... euh une toute autre histoire ! =D

Comme déjà mentionné, les cheveux de Jun sont couleur ébène et ceux-ci encadrent un visage aux traits arrondis; lui donnant ainsi une jolie petite bouille ! <3 ! La longueur de ses cheveux et courte, mais il y a tout de même matière à les ébouriffer. Ce qu'il fait chaque matin à l'aide de son pot de gel ! Mais il n'en met pas trop, sinon c'est dégueu ! Il aime laisser un effet naturel à son apparence, qui est en somme toute très propre. L'hygiène de son corps est primordiale.

Ses yeux sont bleus. Bleu océan. Bleu attirant. Ses yeux sont sans doute son plus grand atout. Il arrive à tout faire avec. Il pourrait faire dire oui à n'importe quelle fille ! Son nez est fin et donne à son visage un air rebuté.

Il y a quelque chose dans sa bouche de plaisant lorsqu'il parle. En effet, celle-ci prône une apparence fière de ce qu'elle dit. Sa voix grave se mêle à une teinte de nonchalence lorsqu'il fait l'honneur à quiconque de l'entendre.

Son cou est de taille mi-long et transporte fièrement sa tête, sans oublier de la diriger dans la bonne direction ! Quand il marche... il a une allure décontractée et assurée. Et il vous emmerde grave. Parce que vous allez l'aborder et il va finir par vous dire de dégager. C'est pourquoi il a constamment un sourire sur les lèvres, lorsqu'il marche.

Histoire

« Le passé m'attire, le présent m'effraie parce que l'avenir c'est la mort. »
- Maupassant, Guy de - 1885 - La Chevelure -

- Introduction -

Cette phrase résonne encore très fort dans la tête de Junichiro. Encore aujourd'hui, il en recherche le sens profond, sans le trouver.

Toc.Toc.Toc. Aucune réponse en retour, comme d'habitude. Cela faisait maintenant un an jour pour jour, mais jamais personne n'avait dit - Entrez ! ou - C'est ouvert ! Cette porte est donc restée muette, parce que oui, certaines portes parlent ! Mais celle-ci, elle n'a jamais rien dit. L'infirmière, habituée, abaissa la poignée en fer forgé de cette fameuse porte muette.


« Omedeto, Jun-Chan ! Voici tes derniers cachets ! »

Premièrement, cette idiote savait que Junichiro détestait ce surnom ! «Jun-Chan ! » quoi de plus ridicule pour un jeune homme de son âge ? Foutue fierté. Foutu égocentrisme. Deuxièmement, Tanizaki savait que toutes les infirmières étaient en admiration devant lui. Donc qu'elle laisse tomber ses petits « Omedeto ! » et ses tons mielleux à en faire gerber plus d'un !

Juni avait déjà remarqué comment les infirmières le regardaient à chaque fois qu'il se déplaçait. C'était limite s'il n'y avait pas une annonce générale à toutes les infirmières « Mesdemoiselles ! Jun-Chan vient de quitter sa chambre ! Rendez-vous dans l'aile gauche du cinquième étage, secteur B. Illico presto, sinon vous allez louper le bruit du pipi et, le summum, celui de la chasse d'eau ! » Pitié. Junichiro avait horreur de ce genre de fille, fixée sur son physique ! De plus, toutes ces jeunes femmes savaient pourquoi il avait été admis ici ! Ce qui nous amène à notre troisième point : en quoi des félicitations devraient-elles être prononcées en ce jour ? Mais pourquoi ? Il ne comprenait pas, le petit Jun-Chan ! Toutes ces filles extasiées par un taré. Parce que oui. Jun est un taré. Alors elles étaient toutes folles d'un taré. Mais, le pire, c'est que ça le faisait sourire; tellement c'en est risible, tout cette histoire ! La main tendue de l'infirmière avec les cachets, Jun se leva, il lui fit face. Surprise, car c'était la première fois qu'il agissait ainsi au moment de prendre ses cachets, elle ne bougea pas. Juste ses yeux... ses yeux en disaient long. Le jeune homme attrapa sa main et l'attira contre lui. Les cachets tombèrent parterre. Il la fit basculer sur le lit, il se mit à califourchon sur elle. Rapidement, le visage de l'infirmière devint couleur rouge sang.


« Qu'est-ce que...»

Il la fit taire, cette connasse ! Avec un long baiser langoureux. Et paf ! Une claque.

« Ce n'est pas parce que tu es beau que tu peux te permettre ceci.
-Et toi ! Qu'est-ce que t'as avec ton foutu ton mielleux, tes manières et tes coquetteries idiotes ? En quoi est-ce un jour heureux ? EN QUOI ? HEIN ? Au final c'est toi la tarée. »

Puis il relâcha son emprise, sortit de la pièce et alla prendre ses cachets à l'infirmerie. Avec, toujours, cette phrase dans la tête : « Le passé m'attire, le présent m'effraie parce que l'avenir c'est la mort. »

- Chapter I : what a pleasure ! -

Ce fut le premier jour du mois de novembre que Junichiro Tanizaki vint au monde. Alors que les rues étaient couvertes de neige froide, une femme répondant au doux nom de Mitsuyo Tanizaki vivait un vrai enfer étouffant de chaleur en mettant au monde ce petit être. La sueur dégoulinant sur son front faisait office de preuve : mettre un enfant au monde, surtout celui-ci était un enfer. Ca n'était pas beau. Ca n'était pas plaisant. Ca n'était rien de tout ça. Et même lorsque les cris du nouveau-né se firent entendre, elle resta de marbre et sombra bien vite dans un sommeil profond tant l'effort avait été grand.

« JUNICHIRO ! »

Shizuku Tanizaki se leva précipitamment pour rejoindre sa femme, Mitsuyo, qui venait de se réveiller sur ce lit d'hôpital en sursaut tout en prononçant le nom de leur fils. Il vint rapidement la rassurer, la calmer et l'apaiser. Tout au long de ces nombreuses années de mariage, il avait été présent pour sa femme et aux petits soins pour elle. Quant à elle, elle avait été la pire des épouses capricieuse, n'en faisant qu'à sa tête et menant son mari par le bout du nez. Il le savait. Mais l'amour peut tout pardonner, paraît-il ! Quelle connerie ! A cause de cette foutue phrase, il avait fermé les yeux sur toutes les crises de sa femme. Aussi démesurées soient-elles. Il n'avait jamais rien dit. Homme soumis ? Pas plus que ça. Il se contentait de ne pas parler. Pourtant, c'était lui qui gérait la fortune. Le soir, il arrivait, la table était dressée, le dîner succulent et ce dernier se passait dans le silence. De temps en temps, un petit « C'est allé au travail ? » se glissait et c'était tout. Le couple était certes très attaché l'un à l'autre car, pour chacun des deux, il s'agissait de leur premier amour. Ou autrement dit : ils s'étaient rencontrés au lycée et ne s'étaient plus quittés. Peut-être l'ennui avait-il commencé à s'installer ? Nous ne le saurons jamais, car en tant que japonais ils n'ont jamais dit un seul mot sur leur couple. La froideur est telle qu'un iceberg paraîtrait chaud bouillant, à côté ! Certes, lorsqu'ils étaient au lycée, c'était une ambiance beaucoup plus chaleureuse à laquelle les deux jeunes gens avaient eu affaire. Mais les belles années passées. La monotonie installée. Voilà. Parfois il en faut peu. Juste un petit déclencheur minime pour causer les pires dégâts. Et, lorsque, après une dure journée de travail, Shizuku rentra dans la belle demeure silencieuse qui leur appartenait, et que sa femme apparut dans l'entrée, il trouva ceci bizarre.

« Okaeri. »

Ne sachant que répondre, il en fit de même, un peu étonné par la démarche de sa femme car inhabituelle.

« Je suis enceinte. »

- Chapter II : « Yamete*, Jun-Chan ! »

Combien de fois Junichiro avait entendu cette phrase depuis ses six ans ? Il ne comptait même plus. Mais il soupçonnait l'avoir entendu encore plus de fois entre sa première année et ce jusqu'à la fin de sa cinquième année. Une chose était sûre, néanmoins, c'est qu'à chaque fois qu'il entendait « Jun-Chan », il devenait vert de rage. Ca n'était pas tant le Jun, qui gênait, c'était le -Chan, à la fin. Pour ça, il faudrait peut-être raconter l'épisode de sa première année scolaire où il se présenta tel quel : « Bonjour à tous ! On m'appelle Jun-Chan ! ». Cette présentation s'était ensuivie des éclats de rires de toute la classe. A la fin, beaucoup de garçons l'avaient rejeté et s'étaient moqué de lui. Il est vite devenu le souffre douleur de la clase.

S'enfermant de ce rôle, il a subi pendant longtemps les coups des autres. Jusqu'au jour où il en eut marre. Ajouté à tout ça, ses parents n'étaient pas très chaleureux avec lui et n'avaient jamais montré le moindre signe d'affection. Ce qui, au début, lui fit peur. Mais, au final, ceci le changea en monstre insensible. Monstre, aux yeux de ceux qui sont aveugles, surtout.

C'est précisément le jour où Jun eut ses 12 ans que le téléphone sonna chez les Tanizaki.

« Tanizaki Mitsuyo.
-Bonjour, ici la directrice du collège de Niigata. C'est à propos de votre fils. »

Il fallait bien que ceci arrive. Ce fut la rébellion de Junichiro. Son tout premier coup. Qui s'en était suivit de pleins d'autres. Ces autres coups ne s'étaient plus arrêtés. Il devint redouté, craint, même ! Les filles ne l'approchaient pas, le regardant de loin et fantasmant sur son physique. Rarement, l'une d'entre-elles s'approchait et osait faire sa déclaration, suite à quoi Jun-Chan, comme elles osaient l'appeler (sans connaître l'histoire de ce surnom), répondait : « Dégages, parasite. » Inutile de préciser que la pauvre fondait en larme. Inutile de préciser que Junichiro la trouvait encore plus pitoyable après ce spectacle.

Tout le monde autour de lui semblait n'avoir que ces mots, à la bouche. Mais, lui, s'en foutait royalement, il ne l'entendait pas et continuait de plus belles !


« Yamete, Jun-Chan ! »

- Chapter III : what a wonderful World. -

L'incapacité des Tanizaki à gerer leur enfant était folle. Lorsqu'il commença à mal se comporter, à ses 12 ans, filant sa première tarte, sa mère était venue dans le bureau de la directrice, l'avait tiré par les vêtements et était rentrée avec lui. Comme ça, sans mot dire. La directrice fut bien choqué de ce comportement. Mais ça, ça n'avait pas été ce qui s'était produit de pire, dans sa vie. Junichiro commençait à s'enfermer dans un monde indescriptible, quelque peu glauque. On ne savait jamais ce qu'il faisait, où il allait, avec qui il trainait. Avec personne, peut-être. Car jamais rien n'était sûr avec lui. Ce qui était sûr : c'est qu'il passait beaucoup de temps enfermé dans sa chambre. Il avait reçu son premier PC à l'âge de 14 ans et passait une majeure partie de son temps là-dessus. Il était un jeune garçon de son époque, que voulez-vous. Et puis un jour, il découvrit le RPG. Où, Role Player Game. Ceci était un concept assez intéressant : il s'agissait de créer un personnage de manga afin de créer son histoire de le faire évoluer. Junichiro, mal dans sa peau, mal dans sa vie, n'ayant aucun ami et reculé de la société, ne jurait plus que par son personnage « Alejandro Ortega y Gasset ». A travers ses écrits on pouvait constater son envie de voyager, mais, surtout, son mal-être. Peu à peu, il s'enferma dans ce personnage. Jusqu'au jour où...

« Junichiro ! Reviens ici !
-Ne m'appelle pas par ce prénom ! Je suis Alejandro ! »

Il était alors âgé de 16 ans. Il refusait tout contact avec le monde extérieur, s'enfermait dans sa chambre, ne mangeait pas aux heures de repas familiales. En dehors de ses heures de cours, il n'avait aucune relation avec le reste de la population. Mais même durant ses heures passées au lycée, les autres le fuyaient, car il était trop bizarre. Sa folie démente l'avait rattrapée bien vite que ce que ses parents ne l'avaient pensé. C'était sa petite bulle, il était Alejandro. Et il ne voulait pas qu'on n'appelle son prénom. Il voulait être Alejandro, cet être si parfait, aimé de tous, avec une petite amie.

Quelle monde merveilleux, ne, Jun-Chan ! Mais si ça n'est pas réel, si ça n'est pas Junichiro qui le vit, il devient inutile, ton monde !


- Chapter IV : a new World. -

Rapidement, façon de parler, ses parents décidèrent de contacter quelqu'un de compétent en la matière. Il leur devint impossible de renouer le contact et Juni commençait même à être violent. Et hop ! A l'asile ! Il fut donc interné à ses 17 ans. Personne ne sait vraiment ce qu'il s'est passé entre ces quatre murs. Ce que l'on sait, c'est qu'il prenait tous les jours des cachets. A son réveil, il était enragé, mais les cachets du matin le faisait devenir tout mou. Peu à peu, les cachets changeaient. Il en sentait moins l'effet. Puis, il en prenait de moins en moins. Il se comportait bien. Junichiro était devenu un tout nouveau Junichiro. Certes, il avait encore, mais très rarement, certains reflexes. Comme avec ce foutu pseudo « Jun-Chan.»

Il resta enfermé dans cet asile un an durant lequel il a été scolarisé mais également manipulé. En fait, il n'a jamais supporté le temps passé là-bas et il ne s'est bien comporté que pour sortir. Néanmoins, il doit reconnaître qu'il doit certaines choses à cet établissement. Il était devenu moins nerveux. Il avait réappris à se comporter normalement en société. Il avait fait pleins de cures, etc. Puis, il sortit enfin de ce calvaire. Lorsqu'il rejoignit sa maison, son chez-lui, il était bien clair qu'il ne pourrait vivre là-dedans très longtemps. De toute manière, il était majeur et ses parents ne voulaient plus s'emmerder avec lui. Le temps de trouver un nouveau toît et c'est ainsi qu'à ses 19 ans, il se retrouva propulsé dans un nouveau monde : celui du Lycée Shimizu. Il lui fallait revivre en pleine société même.

C'était donc son nouveau monde à lui.


Raison de votre arrivée à Shimizu

« Stop please. Just let me go. Alejandro. »

Junichiro a toujours vécu dans une sphère privée. Pris dans cette nouvelle génération i-tech, il va très vite dégénérer lorsqu'il connaîtra le monde du RPG. Il va créer un personnage se prénommant Alejandro et refuser sa propre identité. Il passera une année en psychiatrie, suite à quoi il semblera guéri. Mais il ne pourra plus vivre avec ses parents, avec qui il n'a jamais eu aucun contact réel et profond. Durant cette année, de ses 18 à 19 ans, il déménagera au Lycée Shimizu afin de recommencer sa vie, là où personne ne le connaît et donc n'a aucun préjugé. Ses objectifs restent la continuité de ses études et pouvoir enfin vivre pleinement, sans troubles de personnalité. Mais ceci semble difficile... avec le caractère de chien qui s'est installé en lui...


'xxxxxAutre.


Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Quatre ans.
Comment avez-vous connu le forum ? Grâce au forum Keimoo. C'est possible ?
Avez-vous un double compte ? Pas pour le moment mais je projette d'en créer un. J'ai de nombreux autres personnages féminins, on verra lequel je choisirai de faire agir ici !
Personnage de votre avatar ? Mikado Ryugamine - Durarara
Quel est le code règlement ? Code OK by Aka

*Arrêtes (Merci à Aka <3)


Dernière édition par Junichiro Tanizaki le Dim 5 Déc - 23:31, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar



Hey, Jun ! Empty
MessageSujet: Re: Hey, Jun !   Hey, Jun ! Icon_minitimeSam 19 Juin - 20:05

Bienvenue au Lycée Shimizu, Jun !
Alors là, j'ai adoré lire ta fiche, de font en comble !
Les deux seules remarques que je ferais sont juste purement techniques !
Ce n'est pas "yamede" mais "yamete", et pas "roal player game" mais "role player game" Wink
Juste comme ça, hein ! Sinon tout est absolument parfait !
Je valide ton compte, amuse toi bien parmi nous :3
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar



Hey, Jun ! Empty
MessageSujet: Re: Hey, Jun !   Hey, Jun ! Icon_minitimeSam 19 Juin - 23:17

    Oh non, non ! T'as bien fait ! On peut toujours faire mieux, je pense... donc le fait que tu me corrige, ça me fait plaisir ! Ca aide à rendre le tout mieux... Je t'en remercie beaucoup ! Egalement un grand merci des compliments et puis de la validation !
    Au plaisir de RP ! =)
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Hey, Jun ! Empty
MessageSujet: Re: Hey, Jun !   Hey, Jun ! Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Hey, Jun !
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: ARCHIVES :: ARCHIVES & Co :: ADMINISTRATION :: Fiches de présentation-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser