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 Hiding in the crowd, I'm all alone. EXTASY. 30%

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MessageSujet: Hiding in the crowd, I'm all alone. EXTASY. 30%   Hiding in the crowd, I'm all alone. EXTASY. 30% Icon_minitimeSam 4 Juin - 15:01

Hello, I'm EXTASY EUROPE O'SULLIVAN

Hiding in the crowd, I'm all alone. EXTASY. 30% Mauxps
→ Âge : J'ai 22piges.
→ Classe : Aucune, tu crois que j'me fais encore chier en cours moi ?
→ Lieu de naissance : Irlande.
→ Statut : Fait partie des "Civils.", est Tabagiste/Buraliste.




Caractère
Connard. Est le mot le plus employé par mademoiselle Extasy Europe O'Sullivan. Enfin... Il fait concurrence avec tous les autres Salopard, pute, catin... Et j'en passe. Son jargon ne se résume qu'à un flux incessant d'incultes pas bien jugées, pas bien mesurées, qu'elle lance à ses interlocuteurs pour les éloigner au mieux. Bien sûr, elle n'est pas toujours en train d'agresser les passants, elle peut insulter en usant de l'ironie, mais elle n'en pense pas moins. Extasy, c'est la demoiselle qui ne croit en personne, parce que l'homme, c'est mal, parce que rien n'est fait sans un quelconque intérêt et que chaque amitié n'est que superficielle à ses yeux. Si untel est ami avec untel, c'est parce que untel est beau, ou alors parce que son meilleur ami l'intéresse. Il n'y a pas d'amitié au sens propre, il n'y a qu'une succession d'envies -charnelles ou non- qui nous poussent à venir parler et « sympathiser ».
Mais elle ne veut pas de ces intérêts, elle ne veut pas servir la cause de pauvre égoïstes dont elle ne retient ni le prénom, ni l'age, ni le nom. Alors elle frappe, remarques acerbes fusent, et elle n'a que des « potes ». Des personnes qu'elle retrouve le soir ou dans son tabac pour parler, mais jamais s'attacher. Ce ne sont que des connaissances, des personnes, des visages, sans importance, sans impact, car être dépendant d'un intérêt, d'un besoin, c'est désagréable, c'est chiant, insultant, lourd, fatiguant... Et elle avait donné. Parce que égoïsme et possessivité sont les maitres mots du caractère de la grande petite qui ne partage pas, ne donne pas, veut uniquement recevoir et ne jamais rendre. « Tu es à moi », voilà sa pratique principale, et elle commence à être consciente de la nocivité d'un tel trait de caractère. « Tu es un objet », « Je ne vis pas bien si tu n'es pas à moi » « Je ne te partages pas », c'est la jalousie à l'extrême, un certain signe d'égocentrisme, d'envie d'être le centre de l'attention, peut-être de manque de confiance ou de manque d'affection, on ne sait pas, elle-même ne sait pas, alors comment vous expliquer ..? Mais, ne croyez pas que Extasy est le personne désagréable mais qui a un bon fond. Nous ne sommes pas dans un film, personne n'a de bon fond, ici, elle n'est ni naïve, ni gentille, ni douce, ni rien. Elle a un tas de défauts, un tas de manies peu appréciables et elle ne risque pas de changer si ce n'est pour devenir pire. Si elle fume, c'est simplement par dépendance et non pour cacher une belle qualité, si elle insulte le monde, c'est simplement pour qu'elle ne souffre pas, et non vous. Ne croyez pas que si elle ne veut pas s'attacher, c'est par solidarité, pour vous aider, pour ne pas faire souffrir quelqu'un en le rongeant avec des questions, une dépendance à son parfum, sa voix, sa peau... Non. Elle ne fait pas cela par charité, elle le fait uniquement pour ne pas avoir à être déçue, ne pas souffrir, elle, elle, elle, Extasy est égoïste, assez hautaine, jamais satisfaite, très peu élégante et pour combler tout cela, elle parle mal.

Ne croyez pas que vous avez le pouvoir de la changer, cette demoiselle. Elle est immuable, ne supporte pas qu'on s'immisce un peu trop dans sa vie, son espace vital, privé, qu'elle ne partage qu'avec sa clope et un verre de téquila. Ses airs agressifs ne sont pas faux, elle mords, que ce soit par enivrement ou colère, elle frappe, elle crie, blesse, saigne, rage, hurle si il le faut. Mais, elle ne veut pas de vous dans sa vie. C'est une solitaire, mais c'est surtout un isolement. Ce n'est pas une personne froide, blessée, torturée, ce n'est qu'une pauvre imbécile qui fuit la vie, les souffrances, ses défauts. Elle n'est pas de ces personnages magnifiques qui restent seules par choix mais qui vont un jour changer pour sa bien aimée. Elle reste seule car elle est obligée de faire cela, elle ne changera pas, amoureuse ou non, restera cette pauvre égoïste perdue sans sa source de nicotine, sans sa source de sentiments. C'est une accroc à l'adrénaline et elle compense avec sa colère, elle se bat avec sa connerie, jusqu'à un jour sombrer dans la folie.

Physique
Oh. Vous voyez, la belle demoiselle, au loin ..? Charmante, attirante, tout le monde se retourne face à tant de beauté, tant d'élégance. Sa démarche est gracieuse, elle envoute les passants avec une gestuelle des plus félines. Le sourire aux lèvres, elle dévoile ses dents albâtres qui illumine les journées des messieurs et réconforte le coeur des dames. Cette petite demoiselle, aux pieds de poupée, aux airs de princesse et à la voix d'ange... Oui ..? Vous la voyez ?

Eh bien ce n'est pas Extasy.

Extasy, elle n'a pas de boucles blondes glissant le long de son cou, elle n'a pas ce regard azur dans lequel n'importe quel homme se jetterait sans même réfléchir. Et, soyons francs, ce n'est pas le genre de personnes à être désirable, tant sur le plan physique que psychologique. Elle n'a rien de particulier et, pour combler le tout, son caractère fait que l'on est vite agacé de voir son petit nez retroussé venir se crisper pendant qu'elle vous lance insultes à la figure avec son rictus des plus dégueulasse. Son sourire n'existe pas, ou alors ce n'est qu'un sale air joueur, moqueur, narquois qui lui pique les lèvres et lui agrafe un regard malicieux que l'on veut balayer à coup de poing tant celui-ci peut être agaçant. Lorsqu'elle marche, la terre tremble tant ses pieds veulent s'enfoncer dans le sol, et son dos est légèrement courbé, le poids du monde reposant sur ses épaules et lui écrasant la colonne vertébrale jusqu'à ce qu'elle se plie en deux et qu'elle ait ce regard fulminant au plus profond de son iris.

Extasy ? Nan. Elle est pas belle. Elle est bonne, c'est tout. Parce que c'est tellement différent, parce que la jeune femme n'est pas désirable mais qu'elle pourrait l'être, parce qu'elle n'est pas agréable à regarder mais c'est parce que elle même ne se regarde pas avant de sortir. Ses cheveux ébènes sont courts, jamais coiffés, toujours ébouriffés, et l'on pourrait croire qu'elle ne s'en occupe jamais. Ce qui n'est pas totalement faux, leur longueur est simplement due à un coup de tête qui fut aussi prompt que le bruit des ciseaux venant rompre le contact entre son crâne et sa nuque, venant raccourcir cette marrée noire de cheveux. Ils pourraient être beaux, elle pourrait les laisser pousser, mais non, parce que c'est trop chiant de devoir les laver, coiffer et en prendre soin après ! Alors j'me casse pas l'cul ! Et puis, Après on me prend trop pour une tapette, j'aime pas. Hum... Que d'élégance ! Et c'est ainsi pour toutes les autres parties de son corps, ses yeux azur qui tendent vers l'ébène tant ils peuvent être sombres ne sont pas mit en valeurs avec un peu de maquillage, crayon renforçant son regard d'acier, non. Ses paupières sont aussi vierges qu'une toile sans peinture. Le maquillage c'est pour les putes et j'suis écolo. J'vais pas me mettre des trucs de baleines. Ses lèvres roses semblent douces, mais aucun rouge à lèvres, ça colle trop pour embrasser, c'pourrit. Son visage, lui, est pâle tant elle ne sort pas, alors qu'avec quelques couleurs, il pourrait être agréable, elle n'a pas de boutons ni de tâches de rousseurs... Une belle peau, un mauvais teint. Ça sert à quoi de bronzer à part se faire chier à dorer toute une journée sur une serviette même pas confortable ? J'préfère mon lit ! Et pour ses habits, elle prend au hasard le premier tissus qui lui tombe sous la main. Souvent elle reconstruit un schéma vestimentaire bien précis comportant une veste ou un sweat, un t-shirt puis un simple jean plus ou moins délavé selon celui qu'elle trouve. Elle ne passe donc pas énormément de temps à décider lequel de ses habits elle va choisir pour le lendemain, surtout qu'elle emprunte la plupart du temps les habits de son colocataire. Quoi j'ai des habits de mecs ? Et alors ? J't'emmerde si t'aimes pas ça ! J'ai pas la thune pour aller me prendre des trucs de salopes ! Et malheureusement, sa gestuelle ne rattrape rien. Elle crache, elle rale, elle a des rictus, de sales mimiques bien à elle insupportables qui sont loin d'attendrir ou de lui donner un air « bad girl ». Parce que voir une fille aussi chiante, désagréable, ce n'est que lourd, et non « Ouah trop sexy elle est rebelle ». Non, c'est « La connasse elle me parle comme-ci j'étais une merde et ne m'adresse même pas un regard digne de ce nom. » Extasy n'est pas le fantasme de tout homme, avec ses cheveux ébènes, qui chevauche sa moto, cheveux au vent et qui, au fond, est belle. Ce n'est pas la fille que l'on peut dresser, car simplement, elle en est au stade maximum de son « dressage », et que la douceur, la beauté n'existe pas chez elle.



Secrets of the other side.

→ Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Oééé. Euh. 5ans j'crois.
→ Comment avez-vous connu le forum ? Alors... Euh c'était Marine qui me l'avait passé. Miho j'crois que c'était, son pseudo...
→ Avez-vous un double compte ? Ouais mais c'est mon principal, celui-ci.
→ Personnage de votre avatar ? Un original.
→ Quel est le code règlement ? J'pense pas avoir à vous le donner... Sinon, je crois qu'il parle d'un animal, rose, qu'on mange... M'enfin, je ne dis rien, à part si on me le demande. Rolling Eyes.

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MessageSujet: Re: Hiding in the crowd, I'm all alone. EXTASY. 30%   Hiding in the crowd, I'm all alone. EXTASY. 30% Icon_minitimeJeu 9 Juin - 20:39

I think I might've inhaled YOU.
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Mes mains glissent le long de son corps. Je me prend à venir plonger mes doigts dans sa chevelure de feu, j'y extirpe un délicat poison qu'était son parfum d'orange, pénétrant dans mes narines qui humaient sa peau crémeuse aux goûts des fruits rouges les plus délicieux. Je sens mon coeur toujours aussi bondissant, frappant ma poitrine qu'elle avait saisit, sa paume chauffant ma peau un peu trop glaciale. C'est un ange, son regard azur me le confirme, il est trop candide pour être humain, son visage est trop parfait pour exister. Et je dépose ma main sur sa joue, je veux saisir cette beauté, pour m'assurer qu'elle n'est pas qu'un simple mirage, parce que je la voyais déjà filer entre mes doigts pour disparaître en laissant derrière elle cette agréable odeur ainsi que ce doux sentiment qu'était l'amour. Je ne peux plus retirer ma main, elle existe. Sa joue est douce, son sourire albâtre vient affoler un peu plus mon coeur et son regard semble détailler mes traits comme je détaillais les siens en trouvant de nouveaux compliments à lui faire, sur ses légères plissures qui se créaient lorsqu'elle souriait, sur ses lèvres carmines et lisses comme une sucrerie, sur ce regard si pénétrant qu'elle m'offrait... Mais elle ne me laisse pas le temps de parler, je n'ai même pas le temps de prendre une légère bouffée d'air que ses lèvres se posent sur les miennes pour m'offrir le plus doux des mets.

Biiiip.
Ce n'est qu'un rêve.

Je soupire, dépose mes pieds sur le parquet anthracite et prend une grande inspiration au travers de mes narines. Merde. Encore elle. Eileen. Pute.

« Casses toi mec ! Vite ! Putain ! Merde. Portes moi ! Je t'aiderais après... » … « -Exta' ? Hé ! Aides moi ! Putain ils sont là ! Aides moi connasse ! » «-... Désolée... »

Krr krr. Le café chauffe, je suis de mauvaise humeur, frappe la table, passant par la suite ma mains sur mon visage. Pourquoi ? Encore elle. Ça faisait des années que je ne l'avais pas vue. Depuis que j'avais cessé de dealer, elle ne me trouvait plus rien de bien intéressant. Alors pourquoi revenait-elle de nouveau hanter ma journée ..? Elle avait déjà bousillé ma vie, cette putain d'accroc à la drogue, j'avais été son jouet, je voulais ne l'avoir que pour moi, nuit et jours, et elle en avait profité pour me prendre mon coeur, mon existence et ma famille.
Je marche à l'aveuglette puis heurte un meuble. Un juron lancé, mes cuisses brûlées par le café, mon haut de pyjama bousillé, je me baisse pour ramasser un papier au sol. Et bien sûr, parmi les milliers de papiers volants de ma chambre, il avait fallu que je tombe sur celui-ci. Il était un peu froissé, j'avais souvent hésité à le jeter, mais il était toujours là. Une sorte de rappel, qui m'empêchait de tourner la page, qui m'obligeait à rester cloitrée chez moi en dehors de mon travail. Simple photographie de cette salope, elle souriait, un putain de sourire hypocrite qui me semblait pourtant si beau autrefois. Elle avait -bien sûr- les yeux rougis par la drogue, tenant de son autre main un joint. Sa démarche et sa coiffure étaient pathétiques, un bras en l'air, à moitié penchée en avant, à deux doigts de tomber, son océan de flammes traversé d'un ouragan, lui créant de nombreux nœuds hideux sur son crâne. Non. Elle n'était pas belle. Ses yeux azur étaient certes pénétrant, mais sa chevelure n'était jamais coiffée, son teint toujours un peu grisé par les endroits insalubres où elle trainait, son maquillage un peu trop prononcé, un peu pute, un peu salope, ce qu'elle était quoi.

Elle n'était pas belle mais je l'aimais. Aveuglée, obsédée, troublée, perdue, elle était mon seul point de repère dans ce trop se sentiments, dans ce trop de vie, d'existence excessive. J'avais autrefois une vie agréable, des parents aimants et même un frère protecteur, mais elle est arrivée dans ma vie et a démolit uns par uns mes rattachements sociaux. Je l'ai aimée, adorée, et je me suis tuée. Parce que je ne voulais pas la voir dans d'autres bras que les miens, je voulais que chaque particules d'air qu'elle respirait soient respirées pour moi et non un autre. Je voulais que son parfum ne parvienne qu'à mes narines et qu'il disparaisse pour les autres. Ainsi, je l'étouffais, ainsi, je la suivait sans même me poser des questions existentielles comme: « Est-ce bien ? Est-ce mal ? » Non. C'était simplement « C'est pour elle. » « Je l'aurais. » Parce qu'elle était à moi, pas à vous et encore moins à eux.

Ainsi, la droguée m'entraina dans le deal et j'échouais dans toutes les autres choses que j'avais entreprises autrefois. Scolairement, j'étais loin de la moyenne, socialement, je ne voyais plus qu'elle, quand à ma famille, je rentrais souvent tard et insultais toute forme d'autorité. « Wais je fuck lè parents mwa ! » Je ne me rendais pas compte des conneries que je pouvais faire en cet instant. Je détruisais tout ce qu'il y avait autour de moi. Mon frère semblait assez perturbé par me changement de comportement, lui aussi, ayant des notes assez misérables. Mes parents s'inquiétaient, essayaient de ne pas trop opprimer leur fille mais voyaient aussi qu'elle commençait à filer entre leurs doigts, à « mal virer ». Et ils avaient raisons, par simple égoïsme, par envie de tout posséder, je virais dans l'illégal. Et j'en suis maintenant persuadée, si elle avait été nymphomane, j'aurais été sa pute.
Heureusement, je m'en suis sortie. Certes, ce fut une grande claque, certes, je regrette tout ça, mais j'ai réussis à ne pas finir aux pieds de cette rousse. J'étais à deux doigts du meurtre, j'étais prête à la tuer et à crever avec elle, pour qu'enfin, nous soyons unies pour toujours. Mais elle m'a craché dessus, son rire narquois raisonnant encore dans mon esprit, elle m'a salement jetée en ayant entendu parler de l'histoire par des rumeurs urbaines. « T'es qu'une putain de lâche Exta' ! T'as rien d'une drogue toi ! Tu dégoutes ! Hahaha ! Casses toi sale pute. » C'était toi la pute, avec ton rouge à lèvres mal mit. J'en suis sûre que tu suçais juste pour une petite dose. Mais elle avait raison, j'avais été qu'une pauvre lâche, ridicule pauvre fille face aux flics, perdant tous ses moyens, repères.

Heureusement que j'avais jeté cette feuille de convocation au tribunal.

U.C
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