La gorge qui se serre, les larmes qui perlent au coin des yeux.
Ouais, je l'avoue, j'ai chialé.
Hier, en voyant arriver la fin de Shimizu, j'ai pleuré ma vie.
Et j'ai encore la vision qui se brouille en écrivant ces lignes.
Je vous cacherai pas que j'ai de la peine.
Je quitte avec amertume,
qui peut-être s'adoucira avec le temps.
Espérons-le.