Croquis au calme [Yokiro Kimoshi]

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Le lendemain de son premier jour de Lycée Shimizu, elle avait déjà besoin de prendre l'air, de se changer les idées,d'oublier d'avoir quitté ses parents pour se retrouver ici, loin de son confort personnel et de son chat, Elvis.
Elle sortit de l'école, se dirigeant vers le centre ville. Elle avait amené avec elle, dans son sac noire aux bords roses pastels, un petit carnet de croquis et des feutres noirs de différentes tailles. [On peut aussi appelé cela des indélébiles mais ça me fait penser aux "débiles" alors que je trouve que ces feutres sont intéressants et pratiques]. La couverture de son carnet était de couleur rouge rouille et il y avait des inscriptions en noir sur le milieu du carton. Ce n'était pas un nouveau carnet, cela se voit à cause des bords encornés et des décoloration sur les bords. Elle avait déjà entamée le trois quart du bloc et l'avait rempli de dessins divers et de quelques brouillons ou ratures. Elle marcha dans la rue, se demandant où elle pourrait passer l'après-midi tranquillement, au calme. Elle aperçu en regardant vers le ciel bleu ensoleillé, des arbres aux feuilles verts et jaunes de différentes tailles. Elle se dirigea vers ceux-ci et se retrouva aux portes du bois de la ville. Quelques gens étaient déjà à là, soit à se promener en amoureux, soit à pratiquer leurs jogging quotidien ou bien même ceux qui y travaillent pour surveiller les environs.
Elle y entra et chercha après un coin tranquille sans être dérangée par des passants trop curieux. Elle marcha sur le sentier terreux, ne faisant pas gaffe à la personne qui arrivait et la bousculait. Elle fit tomber son sac à terre.

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Un des matins les plus enjoviale pour notre petit Yokiro qui venait de se faire réveiller par ce maudit cadran qu'il avait oublier de fermer. Cherchant le bouton d'arrêt de sa main, il regarda le plafond et s'imagina d'être à sa place(Vous vous disez sûrment qu'il est idiot et bien non)comme sa doit être ennuyant. Puis trouvant finalement le bouton il tapa et se leva pour ensuite se diriger vers ses rideaux et les entrouvrir pour laisser passer la clerté d'un soleil matinale. Il ouvrît la porte et sorti sur son balcon pour sentir la fraîcheur de l'automne qui le surplombait de chaque recoin et le fît rentrer aussitôt refermant la porte de passage. Il se dirigea ensuite vers sa douche où il y fît couler la source. Il se placa face au mur tête première et s'y rafraîcha de plus belle. Il sortit ensuite prennant le soin d'essuyer son corps et alla s'habiller. Finalement prêt, il s'avança vers la cuisine pour aller y grignoter de quoi, mais quellle fût sa surprise de constater qu'il était vide. Voilà ce qu'il ne s'Attendait pas et du même coup son père se réveilla de son endormissement sur la table et regarda son fils.

-Alors, que fais-tu aujourd'hui mon petit Yoki chéri?

Le regarde remarquant son réveil

-Je vais faire l'épicerie et je reviens de suite pouquoi?

Le sourire ce dessine sur les lèvres de son père

-Tu vas en ville, à et bien sa c'Est ma chance. Rapporte-moi une bière ok?

Encore la même histoire. Yoki prends une joie de sens contraire pour laisser place à un boudage advenant:

Va falloir que tu te mettes dans la tête que je ne suis pas ton esclave compris et de plus , tu devrais arrêter de boire.

Son regard devient menaçant et sa colère sort:

-Ne réplique pas à ton père ok? Quand je te dis de faire de quoi tu le fais est-ce que c'est clair mon fils?

Laisse sa colère rendre fin et d'un air obéissant il lui réponds:

-D'Accord père, je vais vous la chercher de suite.

Puis il sort se retournant de passage pour donner un coup de poing dans la porte.

-Comme si dois être l'esclave d'un homme pareil.

il descendit alors les marches pour ensuite se rendre vers la ville ne se trouvant qu'à dix minutes d'ici. Il traversa la rue, prît à gauche et tourna sur le petit chemin du centre-commercial pour arriver à destination. Mais il décida de couper par le bois et s'y piqua un sprint en se rapellant que son père n'aime pas attendre. Il courût tout le long et sans remarquer rentra dans quelqu'un et le fît revoler au sol.

-Aie ma tête, sa fait mal!!

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La journée commençait bien pour la jeune fille. Elle voulait juste passer la journée seule et sans accident. Elle s'était retrouvée à terre dans les bois devant un garçon pressé. Heureusement que le sol était encore sec sinon elle aurait la culotte dans la boue. Son sac avait volé de moins d'un mètre d'elle, à droite.
Kimiko n'était pas du tout contente et leva la tête vers le garçon pour l'engueuler. Elle fronça des sourcils montrant sa colère et haussa le ton de sa voix:

Tu peux pas regarder où tu vas?! Tu as toute la place pour courir, alors pourquoi m'as tu renverser? Je suis trop grosse pour passer?!

Elle était furieuse car elle se retrouvait à terre, sale et il l'avait touché, ce qu'elle ne supporte pas même avec une excuse valable, c'est intolérable. Elle leva la main sur son front, vérifiant si elle n'avait pas de bosses. Ça va, aucune bosse. Elle se leva en posant ses mains à terre et ainsi relever son postérieur pour se retrouver debout devant le jeune homme. Malgré qu'il était mignon, Kimiko resta sur la défensive. Elle se frotta les endroits qui aurait pu être salis comme les manches, la jupe et les genoux. Elle regarda à terre, voyant son sac ouvert derrière le garçon. Ses cahiers et bloc étaient dispersés à côté de celui-ci. Elle se précipita de tout ranger en bousculant celui-ci, petite vengeance? qui sait. Elle se pencha, pas trop pour ne pas montrer ce qu'il y a dessous, et ramassa ses affaires en les essuyant d'un geste de la main.

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Puis il se leva se tenant la tête et regardant dans qui il avait frappé. Déjà avait-il des problèmes avec son père que l'a pour empirer il doit en avoir avec une autre personne. Non mais quel gâchis de journée! Plus on y pense et plus on se dit que c'Est un jour où la chance n'y est pas et c'Est le cas, car venant d'apercevoir cette fille aux cheveux clairs et soyeux, au corps parfait. Mais bon revenons en aux faits, yokiro l'a regarda se relever puis s'exclama:

-Je suis vraiment désolé! Je ne voulais vraiment pas vous busculer, mais j'étais pressé et je ne vous ai pas vu.

Mais à peine l'avait-elle regardé qu'elle prit une tournure furieuse et lui cria dessus comme si le tonnerre y avait fait des siennes. Il ne pouvait s'empêcher de lui aussi avoir le même sentiment qu'elle en explosant de colère:

-Déjà mon père me prends la tête qu'une jeune demoiselle comme toi s'en mêle. Il y a une limite et tu es en train de la faire exploser. Tu comprends sa alors garde tes commentaires néfastes pour toi. Comme si tu pouvais m'enbarquer dessus franchement tu n'as aucune idée du sentiment que je ressens, alors reste à l'écart et ne vient pas me crier dessus. Je viens de te le dire que je n'ai pas fais exprès de te rentrer dedans. Comprends-tu quand je te parle??

Puis poussant un grand soupir il s'Assit et regarda sa tête. La colère lui embarquait par dessus l'épaule maintenant. Mais quelle idiote c'Est fille de lui empirer la situation même si yoki sait que c'Est de lui que sa partis quand même elle aurait pu se tasser. Il mit donc sa main sur son front cherchant une blessure ou signe de saignement mais rien. Au moins une chose de réglé. Maintenant reste cette fille et son père. Poussant un dernier soupir il s'assit regardant le ciel, et remarquant les nuages se coller un contre l'autre. C'était facile pour lui d'être gentil, mais il y a toujours bien des limites à cette qualité qu'à Yokiro. Puis l'a regardant il finit par remarquer son sac ouvert à proche de lui mais à peine allait-il le ramasser qu'elle le bouscula et les prit de suite. Furieux mais a lafois calme il se rapprocha d'elle se relevant d'un coup et lui proposa son aide. Et oui c'ESt de sa faute en fin de compte et c'ESt les livres qu'il a fait tomber contenant surement des notes importantes. D'un pas décider il se mit face à elle:

-Voulez-vous un coup de main?

Comme si les mots étaient forcés d'être dit, mais pour cette fois il allait devoir assumer.

» Une nouvelle vie, un autre chez-soi... [Yokiro Kimoshi]
» Calme, calme comme l'eau...[Pv Tsuki](finit premiere partie)