Entrainement d'une gymnaste du club LB (Privé Yayoi)

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Haruka maintenant ouverte sur le monde d'un autre oeil que seule une personne pouvait lui donner s'était rendue au cours de sport dans son body moulant a souhait. La jeune fille s'entrainer avec une balle, elle sautait partout, elle prenait soin de faire de belle figure qui médusait beaucoup de car d'ordinaire Haruka était plutot timide, elle ne fesait pas de grand mouvement, elle se contenter du minimum mais dernièrement au rythme que des pensements apparaisser sur son corps, elle se fesait de moin en moin discrette. La jeune lycéenne finie son entrainement dis "basique" en ce mettant au grand écart juste devant sa prof puis quand tout le monde commencait a partir, elle débuta son entrainement intensif. L'étudiante sauta sur le cheval d'arsaut puis sauta sur la poutre d'une manière élégante. Tout ce passait pour le mieux, elle s'amusait a faire des grands écart, des grands bond, de belle pirouette. Pendant plusieur minute elle fit son cirque jusqu'au moment ou elle tomba et s'assoma en ce cognant la tête contre la poutre. Pendant de longue minute son corp en sueur resta au sol. Dans ses reves, elle revoyait ses différents ébat torride avec Mademoiselle Sâto, elle revoyait aussi ses amis, elle voyait ses reves aussi. Haruka s'était toujours vue dans le future comme une brillante femme d'affaire au moeurs plutot dissolue mais avec une poigne de fer et un caractère plus dur qu'a l'heure actuel. Quand elle ouvra les yeux, elle observa cette femme de longue minute sans la reconnaitre. La jeune fille eu la mémoire qui lui revint plutot tardivement.

"Euh bonjour...je suis Haruka...Oh senseï je suis confuse..."

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Le soleil était définitivement arrivé à son apogée, apparut pour la journée, traçait avec prétention sa silhouette haut dans le ciel. Il faisait tiède, pas trop chaud, ce qui bien souvent était le cas dans ce pays presque tropical comparé à la belle et montagneuse Italie. La pluie encore timide tombait en gouttes fines et espacées, rafraichissant l'air au niveau des troncs d'arbres et au ras du sol, le clapotis des perles d'eau résonnait en bruits mats, absorbées par la terre moussue du sous bois sur lequel donnait un peu plus loin au parc.

Un jeune femme s'avancait donc lentement à petites foulées à la rencontre du ledit parc, afin de faire son jogging matinal. Et puis surtout, afin de traverser ce petit parc et aller au plus vite s'entrainer dans la salle de sport. Toutefois, perdue dans ses pensées, dans sa misère. Elle en avait marre de cette infame pluie, de ce stupide vent qui la décoiffait sans cesse. Plus rien n'était magique, ni beau, que dans les premiers jours. Tout semblait sombre, moche, une beauté repoussante. Il fallait qu'elle se change les idées. Il fallait qu'elle s'abrite, qu'elle trouve n'importe quoi, un flacon d'alcool, un joint, un rail d'héro, du Soma, tout ! N'importe quelle substance pouvant agir sur son processus enzymatique, un produit de toxicomane ! Elle n'avait plus envie de sourire. Ces gens commencaient à l'enervée au plus haut point, tous ces élèves et ces professeurs même pas capable d'avoir une conversation serieuse, préfèrant se sauter l'un avec l'autre, et vice-versa. Elle croyait même ne plus jamais sourire. Elle avait momentanément perdu en elle toute once de bonheur. Il ne restait que cette maudite déprime matinale qui lui serrait le ventre, et la rendait si énervée, si malheureuse. Le mal du pays, me direz-vous. Peut être bien.
Les pas de Yayoi la menèrent enfin dans le gymnase où, habituellement elle devait y tenir un cours de gymnastique. En toute logique, Yayoi devait tenir ces cours, mais elle ne se sentait pas assez bien. Et puis, elle avait laissé la jolie remplacante enjouée les tenir à sa place. C'est donc, appuyée contre un des panneaux coulissants du bâtiment, Yayoi inspirait et expirait lentement, à l'affut du moindre bruit qui lui venait aux oreilles. Elle avait clos ses paupières teintées de bleu cobalt plus profond que la nuit naissante, et attendait patiemment le moment opportun pour aller accomplir la tache qui lui incombait en cette journée. A savoir, si tout se dérouler bien. Yayoi était magnifique, ainsi courbée contre le bois de la porte de salle - où déja une dizaine de filles se mouver dans tous les sens - , vêtue d'un short large en coton noir, d'un débardeur léger ébène qui moulait parfaitement ses formes,et d'une tunique sans manches de style vietnamien gris perle brodée de bleu céruléen.

sa silhouette se découpait dans les lueurs du jour, mais elle se fondait étrangement dans le décor. Elle ne faisait qu'un avec son domaine, et elle faisait corps avec son lieu de prédilection. Yayoi avait toujours préféré se poster à la frontière des cloisons, là où elle pouvait profiter de l'exterieur. Elle poussait les limites que lui avait posé son bien aimé maître. Bien entendu il ne lui avait jamais interdit de se déplacer en exterieur mais il lui avait fait comprendre qu'une future professeur digne de ce nom, se devait de vivre en interieur la plupart du temps, pour confondre les doutes des élèves les plus fouineurs. Ainsi, elle vivait dedans, calfeutrée dans le béton et le bois ciré, mais ses sens restaient dehors, avec la terre à laquelle ils appartenaient.

La jeune femme sentait beaucoup d'agitation ce matin-là, et elle avait reçu l'ordre de n'intervenir que si la situation tournait trop mal. Quelle était la définition de "trop", Yayoi le savait mais cette définition n'était ni objective ni raisonnable pour le commun des mortels, et seuls les "grandes personnes" en connaissaient le sens. Seuls ceux-là savaient quelles étaient les limites ultimes à ne pas dépasser de la part des élèves, au risque de ne jamais refranchir le seuil de ses cours. Et donc, il y avait de l'agitation ce matin-là, comme si quelque chose - ou quelqu'un - avait dérèglé les habitudes. Yayoi rouvrit les yeux, ses pupilles étaient dilatées mais restaient bleu tel des lapis-lazuli et ocre cornaline, ses narines contractées, elle respirait avec intensité l'air environnant, il faisait bon, ça sentait bon et mauvais à la fois... Cela sentait l'effort, et surtout la jalousie - à plein nez. Trop de souillures pour qu'elle puisse se sentir chez elle. Elle vit enfin que la salle s'était vidée, elle ne s'en était pas rendu compte. Pourtant, elle remarqua enfin une masse sur le sol, comme morte... Silencieusement, Yayoi s'avanca donc, s'assit en tailleur devant la blessée, elle remarqua vite que la poitrine de la demoiselle se relevait, une fois éveillée, la demoiselle venait de rencontrer le doux visage pâle de Yayoi, les yeux fixaient sur elle. Comme cela devait être gênant - Pourtant, celle-ci ouvrit la bouche. Répondant du tac-au-tac, Yayoi n'avait pas prit le temps de réflèchir plus longtemps :

"Bonjour mademoiselle...Haruka. Il n'y a aucune raison de se sentir confuse, l'erreur n'est-elle pas humaine ? Comment vous-sentez vous ?"

Elle ne daigna pas bouger d'un pouce, immobile et imperturbable, silencieuse, furtive, cachée malgré elle dans l'obscurité du gymnase.

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Sur le coussin de ses cheveux boucler, la jeune fille rester la. Son corp immobile, son souffle long, les perles de sueurs dégoulinant lentement le long de sa peau, elle ne voulait pas ou ne pouvait pas bouger. Le vent silencieux de la salle ne la fesait pas frissonner, inerte, la jeune lycéenne se contentait d'observer sa prof qu'elle avait vue que peut de fois. Haruka maintenant plus exubérante se mettait au sport comme certaine ce mette a porter des décolté plongeant. Les mots de l'enseignante résonner dans son crane comme une bille dans un bol de porcelaine. L'étudiante se voulait parfaite, elle voulait etre parfaite de corp et d'esprit espérant qu'un jour une femme voudrait d'elle pour la vie. Son regard noir comme les profondeurs des ténébres mais en plus doux, fixait sa prof a l'allure si insolite. Quand on pensait prof tout le monde imaginer quelque de rigide au moeurs d'un autre temps mais Haruka trouvait Mademoiselle Mizuno vraiment moderne. La jeune fille vétue simplement d'un body aussi moulant qu'échancrer osa bouger un peux, elle plia ses jambes pour soulager son dos. Depuis qu'elle s'amusait avec ses profs, la jeune gymnaste était couverte de bandage a divers endroit, faut dire que les rapports qu'elle avait avec Mademoiselle Sâto était loin d'être conventionnelle. Personne ne pouvait ce douter que la fondatrice du club Letty Beta de gymnastique, était une demoiselle qui ne reculait devant aucun rapport entre femme même si cela l'entrainer au bord du supplice. Haruka avait encore mal au crane comme si un échos lui traversait le crane. La jeune fille s'en voulait de son échec, surtout devant une prof. Pour la lycéenne une prof c'était une personne qu'il ne fallait surtout pas décevoir. Faute de jeune femme interresser par elle, Haruka se contenter d'allumer ses profs et de coucher avec elles, car elle aimait l'attitude mature et voir plus libérer. Toussant un peut, elle croisa les mains sur son ventre et entre ferma les yeux. L'étudiante n'allait pas mourir mais le choc contre la poutre l'avait sonner et le second choc contre le sol avait toucher ton son squelette qui était maltraiter bien trop brutalement par cette entrainement qu'elle suivait tout les jours. Quand la douleur arriva a disparaitre un peut, Haruka prit conscience qu'elle n'avait pas répondue a sa prof, ses pomettes légèrements rougie de honte.

"Professeurs, je suis navrée pour vous avoir donnez cette exemple. Je sais que l'être humain n'est pas parfait mais je tien a être parfaite...Si je veux trouver une femme, je dois être parfaite...sinon, mon égo a prit une grande claque, mes os aussi, sa vous gênes pas de vérifiez si mon maillot ne dévoile rien qu'il vaudrait mieux cacher...Je sais que c'est beaucoup demander mais je crois pas pouvoir bouger dans l'absolue."

La jeune et terriblement honteuse étudiante ne voulait pas être indécente, elle ne voulait pas se montrer nue et sans défence dans la même seconde.

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Il commençait à faire noir dans la salle, surement dût aux nuages qui couvraient le ciel, et ainsi éviter qu'une lumière ne passe par les hautes fenêtes - et la pluie n'arrangeait pas les choses... Les nuages, paisibles et lents, échafaudaient leur plan de bataille sur la voute du nippon, et avec une rapidité déconcertante, s'étaient installés un nid douillet et oppressant au dessus de l'ile. Yayoi avait de nouveau les yeux fermés, concentrée sur plusieurs choses simultanément, ses sens en éveil, elle réfléchissait à son devoir, écoutait la nature s'épanouir sous les gouttelettes de bruine, sentait l'odeur de l'orage imminent, ressentait sous la plante des pieds, au travers de sa peau les vibrations infimes de la pluie et les craquements des fondations du pavillon, et enfin, visualisait avec une précision effrayante celle qui s'etait retrouvée sur les tapis mis à disposition. Selon elle, ce n'était pas le moment de rire d'elle, ou même d'user de son cynisme habituel. Au début de sa vie dans le pensionnat, Yayoi avait à la fois rejeté et possédé ce lieu, que la directrice lui avait confié, et avait qualifié de "son premier territoire acquis". Elle avait hait l'idée qu'on lui "offre" un territoire comme on offrait un mouchoir, un lieu qu'elle n'avait ni choisit ni conquis, et encore moins l'allusion qui allait avec ce cadeau empoisonné: "c'est ton territoire, occupe-t-en correctement sinon la punition sera sévère, occupe-t-en correctement parce que je le veux, et que tu n'iras nulle part ailleurs". Ces premiers temps, encore très sauvage et peu confiante envers ces chèrs collégues - féminin s'entend - , elle avait dévasté à plusieurs reprises les tatamis et les lambris de la pièce, sans plaisir, simplement par colère et révolte; mais elle avait également jalousement protégé et gardé cet endroit des intrus et des inconnus. Après ces incidents, On l'avait emmené dans des espaces plus grands et plus sauvages, et il n'y eut plus jamais de problèmes de la sorte. Chacun avait en quelque sorte posé sa condition, Yayoi exécuterait son travail avec habileté et loyauté parce que c'était ce que d'autres désiraient, et cette chère directrice lui prouvait que son territoire était bien plus grand que ce qu'elle avait cru. Son territoire c'était l'ile, les jardins, le pensionnat, et peut être un jour plus encore !

Lorsque l'adolescente se mouva, humidifiants ainsi les tapis par sa légère transpiration, comme si de rien n'était, Yayoi ne cilla pas, et ne bougea pas, tout du moins pas suffisamment pour qu'un œil humain le remarque. Ses pupilles différées apparurent entre ses paupières entrouvertes, son expression était impassible, froide et neutre.Toute ouïe, elle se dépeignait les faits et gestes de son hôte inattendue tout en lui tournant le dos :
Ses cheveux frisés ébène trempés collés au visage, ses pieds nus frôlant la fibre du tapis, sa respiration accélérée, ses narines dilatées, elle sentait la transpiration, la fatigue, peut être même la douleur - dû a ces nombreux bandages - , la chaleur de sa peau qui avait du tourner à l'écarlate sous le coup de sang peu de temps auparavant, et ce parfum musqué qu'elle avait au plus profond d'elle, cette aura de musc fragile et fort, qu'elle portait malgré elle, cette bonne odeur... Toutefois, sur elle, c'était plus sauvage, moins suave, plus acide et plus fleuri.. une dérivation féminine de l'arôme d'un membre de sa famille. Du moins ca, Yayoi l'imaginait. Légèrement, la jeune femme passa sa main fraiche sur le front de la demoiselle, songeant rapidement à une fièvre soudaine. D'ailleurs celle-ci poursuivit la conversation, toute rouge. Un éclairs d'incompréhension passa dans le regard de Yayoi. Qu'il s'agisse d'être avec une femme ou un homme, la perfection n'avait en rien avoir. Sinon tout ce finirait en divorce, et tout ces conneries de ce genre.

"Voyons jeune fille, une femme doit vous aimez pour ce que je vous êtes réellement, et non pour ce que vous cherchez à être. A savoir parfaite."

La voix grave et sensuelle de Yayoi s'éleva de son ombre comme une injonction, un éclair surprenant, et rebondit sur le plafond, sur le sol, enveloppant littéralement la jeune fille. Doucement, gracieusement, Yayoi sourit mystérieusement, dans l'obscurité naissante, les nuages se reflétant dans ses prunelles. C'est d'ailleurs ce que la douce demoiselle avait put voir en premier de la jeune femme, deux lueurs alcalines à hauteur d'homme, avant même de distinguer la silhouette de la professeur. A la suite des dernières paroles de la jeune fille, sur une quelconque indécense de s'être dévêtue lors de sa chute. Instinctivement, Yayoi songea qu'avec le peu de vêtements la demoiselle portait... Il n'y avait plus grand chose à cacher. Ses donc ironiquement qu'elle rendit à sa jeune élève une réponse négative de la tête.

"Je pense que pour vos nombreuses blessures, une infirmière ne serait pas de refus. Puis-je savoir comment vous êtes vous fait cela ?"

Elle attendit sa réponse avec interet. Il était interessant de voir à quel point un élève pouvait avoir confiance à l'une de ses professeurs, tout comme elle avait été confiante aveuglément plus jeune. Et comme sûrement un bon nombre de personne encore. Enseignants confondus ? Non, elle ne pensait pas. Peut-être que tout cela n'était qu'une mise en scène afin de tester les capacitées émotionnelles, peut-être que cette histoire d'école n'était que de la comédie et qu'ils n'étaient autres que des rats de laboratoire ... Hum, voilà une conclusion un peu trop tirée par les cheveux, j'avoue. Mais, entre-nous, elle n'était sûre de rien, et comme elle avait l'habitude de le faire, elle voulait trouver une explication rationelle à tout ce qui arrivait. Son triste passait la rendait parfois, voire souvent, agacée par les beaux jours de ces élèves qui avaient encore du chemin à faire. Fronçant les sourcils, elle chassa ces mauvaises pensées. Inutile de se mettre la pression, surtout qu'il n'était pas à exclure que tout ça soit le simple fruit de son imagination. Evidemment, elle n'avait jamais dit à quelqu'un de ce lycée ce qui lui était arrivée. Ca allait contre ses principes. Elle ne se voyait pas entrain d'aller raconter son passé - être passée par différente chose fort immonde pour une jeune fille -. Dans ces moments là, il lui suffisait de trouver ou de s'inventer une explication rationelle pour se calmer. Sauf que rien était prouvé. Et dans un sens, c'était tant mieux. Les yeux dans les yeux de la demoiselle, elle évita de détourner le regard vers le plafond, afin de scruter la belle couleur des pupilles de la jeune fille. A l'aide de sa main droite, elle arrangea l'une de ces mèches de cheveux génantes. Songeant à aider la demoiselle à prendre au mieux une position assise, mais doutant fortement qu'elle y mettrait assez de douceur dans ces gestes pour ne pas la blessée plus qu'elle ne l'était.

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