x. Abby Morrison [Loading...COMPLETE]

« Morrison, Abby »

Pour m’appeler Abby Morrison, mes parents devaient être vraiment obsédés par la musique. Maman m’a expliqué, une fois, que je m’appelais Abby à cause du célèbre album des Beatles et j’ai nommé Abbey Road. Elle m’a raconté ensuite que Papa avait tellement peur d’être accusé de plagiat qu’il avait enlevé le e. J’ai tout de suite trouvé ça amusant. Quant à mon nom de famille, Morrison, ce n’est bien sûr pas eux qui l’ont choisi mais tout de même, c’est une sacrée coïncidence. Comme quoi la musique peut avoir une influence très forte sur les gens.

'xxxxxThe Basics.

• Âge : 21 ans • Classe : // • Lieu de Naissance : Maine, États-Unis • Statut : Civile, professeur de piano à temps plein.

'xxxxxThe details.

• Description caractérielle :
C’est dur comme ça, à froid, de décrire son propre caractère, vous ne pensez pas? Je pourrais vous mentir sur toute la ligne et vous n’en sauriez jamais rien! Vous imaginez? Mais je pense que je vais jouer cartes sur table, aujourd’hui. Ce n’est pas comme si c’était dans mes habitudes de mentir…Quoi que… Enfin bon. On la commence, cette description? On a pas toute la soirée.

x. Psychotique, Folle, Autiste légère. On me le dit souvent. Personnellement, je n’y crois pas le moins du monde. Mais peut-être suis-je folle à ma manière et que je ne m’en rends tout simplement pas compte. Ce serait très probable. Cette rumeur qui circule sur moi a pris racine il y a un bout de temps. C’est simple, les gens ne me comprennent pas. Je ne parle pas beaucoup, à prime abord mais tout de suite, les gens sautent aux conclusions et pensent que je suis la folle du village. À ces gens là, je voudrais faire un doigt d’honneur majestueux. Pourtant, il y a cette partie de moi, joueuse, qui nourrit cette rumeur, qui se plait à avoir cette réputation complètement déglinguée. Je vous rassure tout de suite, je n’ai aucun trouble mental sinon le fait que je sois claustrophobe de manière maladive. Pour le reste, j’arrive très bien à survivre n’importe où. Tant que ce n’importe où a des fenêtres et une porte et que les murs ne se referment pas sur moi.

x. Maligne, Rusée, Malicieuse. À la manière du renard dans la fable de Lafontaine, j’aime beaucoup cultiver les pensées que les gens ont pour eux-mêmes ainsi qu’à mon égard. Je déteste les gens qui s’apitoient sur leur sort et je ne suis d’aucun soutient, dans ces moments là. Cette seule manière d’agir de ma part peut faire croire aux gens que je suis méchante, pourtant, ce n’est pas toujours le cas. Autant je nourris les pensées négatives, autant je donne à manger aussi aux pensées positives. Si une personne a un bon jugement à son égard, je suis la première à la supporter. Sachez tout de même qu’il y a une certaine limite. J’ai beaucoup de difficulté à supporter les imbus d’eux-mêmes. Hélas, ma ruse ne s’arrête pas là. J’aime beaucoup échafauder des plans mesquins pour toute sorte de situations. Même si ceux-ci ne se réalisent pas, la plupart du temps, ça aide à canaliser la colère et à tuer le temps et ça me plais bien. N’allez pas me chercher des poux avec ça, c’est ma manière de m’enlever le stress. Certain utilisent les baballes en mousse, moi j’utilise le pouvoir de mon imagination.

x. Aguicheuse, charmeuse, charismatique. Il y a beaucoup de préjugés de ce genre sur les américaines. « Ce sont des filles faciles, elle ne pensent qu’à baiser. » Mmmh Peut-être. Pour ma part, je pense que la drague, le flirt, c’est un jeu. Un jeu dans lequel il faut utiliser les bonnes stratégies pour gagner. Je suis du genre à ne pas me casser la tête pour ce genre de truc. J’y vais de mon physique et de mon sourire et, généralement, ça marche. Après bah, ne reste plus qu’à trouver les bonnes stratégies pour rester dans une situation stable. Mais ce n’est pas vraiment ce que je recherche. Je suis le genre de personne à croire que le bonheur réside dans les petits plaisirs éphémère et donc, côté amour, je suis un peu difficile à suivre. Par contre, je ne choisis pas mes adversaires au hasard. Quand je mets le grappin sur un homme, c’est parce que je veux en profiter au maximum. Grwar *rires*.

x. Curieuse, À l’écoute, Pointilleuse. Comme dit plus haut, je ne parle pas beaucoup lorsque je rencontre une personne pour la première fois. Pourquoi ça? Oh, c’est plutôt simple, en fait. Pas que je ne veuille pas créer de liens avec les gens, c’est plus parce que je préfère connaitre de manière assez générale une personne avant de me lancer dans quelque chose qui pourrait me revenir au visage par la suite. J’aime bien connaitre les gens, leur histoire, leurs pensées secrètes. Je suis plutôt bonne confidente mais, lorsqu’un secret ne vaut pas la peine d’être gardé et qu’il fait plus de tort que de bien, j’ai tendance à le dire tout haut. Heh. Et oui c’est ce qu’on appelle le tri sélectif, que voulez-vous. Je ne suis pas seulement ainsi avec les gens. Dans la vie de tous les jours, j’ai tendance à voir les petits détails. Fan de livres policiers et d’enquêtes du genre, je pense que n’importe quel petit détail peut être important car la vie, c’est comme un puzzle dont on assemble les pièces. Un jour ou l’autre, il y a bien une pièce manquante au tableau qui réside dans les petits détails anodins et c’est ce que j’aime beaucoup.

Vous voulez en savoir plus? Ahhh mais pour ça, il faut que vous appreniez à me connaitre! Ça gâche le suspens de tout savoir d’une personne avant même de lui avoir parlé, vous ne pensez pas?...

• Description physique et vestimentaire :
Hmm. Vous m’en collez une, là. Comment voulez-vous que je vous décrive moi-même mon physique sans avoir l’air d’une nunuche superficielle ou d’une mélodramatique dépressive? Nan mais ça ne se fait pas! Qu’est-ce qu’ils vont penser, les gens? Que je fais ma fière en ventant mon physique ou alors que je m’apitoie sur mon sort! Ah, parce que c’est obligatoire? Bon…Alors vous l’aurez voulu.

Malgré moi, je confirme la plupart des préjugés qu’on fait sur les américaines, psychologiquement, mais surtout physiquement. Grande blonde à l’allure un peu désordonné, avec en prime un petit look qui se rapproche de la prostituée échevelée. Le seul point sur lequel j’en surprends plus d’un, c’est ma silhouette. En effet, beaucoup de gens pensent qu’ils auront affaire à une obèse qui mange de la malbouffe six fois par jour, et en me voyant, ils n’en croient pas leurs yeux. Mais je doute que vous souhaitez en savoir plus sur moi, c’est ça?

x. Une silhouette style « grande échalote ». Quand j’étais plus jeune, mes parents m’appelaient toujours comme ça. Encore aujourd’hui, je repense toujours à l’expression quand je me tape la tête en allant chercher quelque chose au fond d’une armoire. Parce que oui, je suis plus grande que la moyenne des filles. Oh, mais n’exagérons rien. Je ne suis pas le géant dans de Jacques et les haricots magiques, hein? Ce n’est pas parce que je suis UN PEU grande que je dois obligatoirement atteindre les cinquante mètres de haut! Bien sûr, je pourrais être grande et costaude, large d’épaules, un peu comme une armoire à glace! Mais non. Puisque grande échalote signifie aussi que je suis mince, élancée, et non pas shootée au hot dogs comme les préjugés le disent.

x. Un regard de feu. Bon. Ça, on me le dit pas souvent, mais dans le fond de mon cœur, je sais que c’est vrai! *Rires* En fait, mes yeux sont bruns. Et oui. Bruns tout simplement. Mais il parait que j’ai toujours cette lueur de malice aguichante dans l’œil qui fait qu’ils ont des reflets dorés. Mais même s’ils ne sont que bruns et pas verts, ni bleus, ni jaunes, ni violets ni rouges, je les aime bien, mes yeux. Je pense que les yeux agissent comme un moyen de communication très efficace. Parfois plus évocateur que les mots et plus honnête, aussi. Parce que même si j’ai tendance à mentir, ou du moins à nier la vérité, mon regard me trahis toujours, malheureusement. Autant celui-ci peut être chaleureux, invitant, charmeur, autant il peut être animé d’une colère brûlante, comme le feu.

x. Une chevelure de blé. Je suis au courant que j’ai l’air d’une hippie, avec mes cheveux blonds, mais j’en sais rien. Je ne peux pas m’empêcher de les garder aussi longs. On n’arrête pas de me dire que les cheveux courts sont à la mode et que je devrais couper ma longue tignasse de temps en temps parce qu’à cette longueur, ce n’est plus esthétique, surtout au japon. Mais je vous le demande, qui ça dérange? Qui aura assez de cran pour me dire en pleine face que ma coupe de cheveux le ou la dérange? Et la liberté d’expression, dans tout ça? Je me plais bien moi, avec mon look hippie. En effet, mes cheveux sont très et même un peu trop longs. Ils sont parsemés de légères ondulations . Souvent, je les décore d’une barrette, qui n’a pas vraiment d’utilité mais qui est là quand même, juste pour le style. Sinon, j’ai tendance à ne les nouer en queue de cheval que si nécessité il y a, ce qui veut dire très rarement. Une chevelure indomptable à la couleur du soleil. N’est-ce pas merveilleux? Et de couleur naturelle, en plus!

x. Un style qui déchire. J’aime bien être à la mode. Je suis quelqu’un qui aime beaucoup faire du shopping et faire les boutiques. Malheureusement, nous sommes au japon et non en Europe, donc je dois patienter un peu côté fringues pour être à la dernière mode sauf que maintenant, on peut tout faire avec internet! Enfin bref. Mon style colle pas mal à ce que les gens pensent de moi. Je porte à peu près n’importe quoi, que ce soit des jupes, des jeans, ou des t-shirt mais je ne porte rien de trop ample ou avec des couleurs trop sombres, sauf peut-être le noir. Même chose pour ce qui est des couleurs trop fluo comme le jaune ou le bleu électrique. J’ai beaucoup de difficulté avec ces couleurs. Moi, je me trouve dans le juste milieu. J’aime bien les vêtements qui avantagent mon physique comme les t-shirts cintrés et les jeans slim. Pourtant, de temps en temps, je n’ai rien contre le fait de sortir dehors en pyjama si l’envie me prend!

• Histoire :
Vous voulez savoir mon parcours jusqu’ici, n’est-ce pas? Je comprends. C’est vrai que ce n’est pas très commun, les américaines qui débarquent au Japon. Alors je vais vous expliquer un peu mon histoire.

x. Naissance. Mes parents étaient deux êtres complètement géniaux. À la fin des années 80, ils formaient un couple aimant, inséparable, inébranlable. Peu importe les événements qui se produisaient dans leur couple, il était impossible de faire en sorte qu’ils se séparent. À cette époque, ma mère était étudiante en biochimie. Les sciences étaient sa matière de prédilection lorsqu’elle était plus jeune et elle avait décidé d’en faire un métier. Mon père, lui, avait une grande passion pour la musique. La littérature musicale, en fait. Il aimait retracer les événements qui avaient permis à tel compositeur d’écrire telle pièce, les circonstances qui les avaient poussés à devenir musiciens. Il adorait même faire ça avec les groupes de musique de son temps! Ils s’étaient rencontrés complètement au hasard, simplement parce qu’ils avaient des amis communs. Depuis, ils formaient un des couples les plus adorables qui soient. Leur amour était tellement puissant que, quelque part en 90, ils firent le choix d’avoir un enfant. Vous l’aurez deviné, c’est moi! Je suis née en 91, au début de l’année. Le 17 février. J’étais un bout de chou incroyable qui était destiné à un grand avenir.

x. Enfance. Les premières années de ma vie me reviennent difficilement en mémoire. Pourtant, mon père qui était du genre à tout filmer avait beaucoup de plaisir à garder sa caméra vidéo pas loin au cas où je ferais un truc stupide que font tous les bébés. Pourtant, ça avait du bon, parfois. J’ai vu défiler sur mon écran de télévision une dizaine de cassettes de mon enfance. Ça allait de la fois où j’ai appris à marcher, jusqu’à mon premier jour d’école. Justement, à l’école, quand j’étais petite, je me plaisais à jouer la fanfaronne, à faire rire mes copains, tout en restant sage en classe. Mes parents, d’un commun accord, on décidé de m’orienter vers la musique le plus tôt possible, et c’était mon père qui était chargé de m’en apprendre un peu plus sur les compositeurs de musique classique, ainsi que de ma culture générale en musique. Résultat, je passais beaucoup de temps avec mes parents et ils étaient pour moi des modèles, des héros. Et étrangement, je suis peut-être une des seules personnes pour qui ça n’a pas changé à l’adolescence.

x. Adolescence. La période cruciale de la vie, selon mes parents. C’est la période où les rapports avec nos pairs changent, où on a une toute autre perception de ce qui nous entoure. Ma crise d’adolescence a été assez intense selon eux. Pas que je m’engueulais souvent avec mes parents mais que je contestais souvent l’autorité et que j’avais de la difficulté à prendre les commentaires. Je trouvais frustrant que les adultes rabaissent les gens plus jeunes qu’eux, simplement parce qu’ils se pensent plus sages à cause de leur âge plus avancé. Sinon, je restais quand même sociable et souriante, ce qui m’a permis de passer à travers mon adolescence assez facilement. Un jour, pourtant, ma mère m’annonça une nouvelle renversante.

« J’ai trouvé un poste de biochimiste, dit-elle, un air inquiet flottant sur son visage.
- Ah oui? M’exclamai-je, ne comprenant pas pourquoi elle avait la mine basse. Alors pourquoi sembles-tu si…mal?
- Nous allons devoir déménager.
- Oh, mais ce n’est rien ça! Même si nous habitons dans un autre état, je vais me faire des amis, et puis, je pourrai toujours aller voir ceux du Maine durant les weekends!
- Euhm…Je crois que ce ne sera pas possible.
- Ah bon? Pourquoi ça? Demandai-je, perplexe.
- Parce que nous allons nous installer au Japon. »

Renversant, en effet. Je n’avais que 16 ans à ce moment là et je ne savais pas trop comment réagir. Trouvant l’expérience excitante, j’ai fini par accepter, même si cela signifiait que je devais prendre des cours de japonais intensifs et que je devais dire au revoir à mes amis. Mais c’était une chance inoubliable pour maman. Seul un imbécile aurait refusé ce poste. Je ne pouvais pas lui faire ça. Et en plus, se refaire une nouvelle vie au Japon, ça allait être bien! Mon père aussi était plutôt enthousiaste à y aller et bientôt, ma mère se laissa gagner elle aussi. Tous ensembles, nous avons appris à parler, à lire et à écrire en japonais dans l’année qui précédait notre départ. Tous les jours, nous en apprenions plus et le fait d’être en famille nous facilitait la tâche. Nous sommes finalement partis pour Nagoya l’année suivante, prêts à vive une nouvelle vie. Pour ma part, j’ai été inscrite à Shimizu, un pensionnat de la ville que j’ai tout de suite adoré.

x. À Shimizu. Lors des années que j’ai passé à Shimizu, j’ai appris à me dévergonder un peu. À ne pas avoir peur de l’inconnu et surtout à ne pas avoir peur d’afficher mon style. Tout de suite, j’ai été adoptée, dans cette école. Comme quoi les japonais sont toujours très contents de recevoir des étrangers dans leur milieu. Lors des premières années et encore maintenant, je suis bombardée de questions sur mon pays d’origine. Beaucoup de gens me demandent comment c’est, si je m’y plaisais, si je m’ennuie. Au début je leur répondait que oui, je m’ennuyais un peu de mon chez moi dans le Maine, mais maintenant, je peux affirmer que je me plais, au japon, et que même si parfois le japonais sonne bizarre à mes oreilles, c’est ma nouvelle maison et ma nouvelle vie et je ne voudrais la changer pour rien au monde. Et je pense que mes parents sont du même avis que moi! Ma mère aime tellement son nouveau travail qu’elle ne veut plus quitter Nagoya. Mon père, quant à lui, a été engagé dans une école primaire pour y enseigner la littérature musicale. Mes parents, dans leur enthousiasme d’emménager dans une nouvelle maison, ont acheté un piano à queue et mon père a insisté pour que j’apprenne à composer sur sa tutelle. Non, vraiment, depuis que je suis arrivée à Nagoya, ma vie est incroyable. Pourtant, j’ai comme une impression que si nous sommes ici, ce n’est pas simplement pour le travail de mes parents. Comme s’il y avait quelque chose qu’ils me cachaient, qu’ils ne voulaient pas me dire. Je trouverai bien un jour ce que c’est mais, pour l’instant, je préfère laisser couler, vivre ma vie comme je l’entend et m’amuser. Et voilà. J’entâme ma dernière année au lycée Shimizu. En espérant que celle-ci soit la plus belle de toutes!
• Raison de votre arrivée à Shimizu : Comme expliqué plus haut, ma mère a reçu un poste de biochimiste au Japon alors nous avons déménagé. Pourtant, je ne sais pas pourquoi ils ont décidé de m’inscrire à Shimizu, qui est un pensionnat, plutôt qu’à une autre école, mais j’ai comme l’impression que c’est parce qu’ils ne voulaient pas toujours m’avoir dans leurs pattes. Comme s’ils me cachaient quelque chose et qu’il fallait absolument me tenir éloignée de la maison à certaines heures du jour. Voilà donc pourquoi j’ai été inscrite à Shimizu, alors!

'xxxxxThe real one.

• Depuis combien de temps faites-vous du RP ? depuis le temps où on croyait que les voitures allaient voler, en 2010. :3
• Comment avez-vous connu le forum ? C’était un beau jour de mars et… Bah euh de la même manière que le stipulent les 347598459 autres fiches que j’ai fais, c’est-à-dire grâce à des amis.
• Avez-vous un double compte ? euh ouais, malheureusement xD Ayame et Maxence
• Personnage de votre avatar ? J’en sais trop rien °° Voilà l'image complète:

Spoiler:

• Quel est le code règlement ? Code OK by Aka