♔ Little Princess Cherry.♥. [U.C]

« Kazanin Yuuki. »

.Identité.

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• Âge : 18 ans. • Classe : Lycéen 2.B • Lieu de Naissance : Tokyo. • Statut : Étudiante.

'xxxxxDescription du personnage.

• Description caractérielle : (7 lignes minimum)

• Description physique et vestimentaire :

On a besoin de tout genre de personnes pour créer un monde, des gens pauvre, des riches, des aveugles, des handicapés, des fous, des criminels, des enfoirés, des victimes. Des roux des blonds, des bruns, des chinois, des japonais, des français, des africains. Mais est ce que au moins une fois dans vos vie avez vous pensez que ce monte peut être mieux si les gens n'était pas raciste ? Si l'être humain ne ressentait pas ce qu'on appelle l'égoïsme ? Ou l'hypocrisie ? ou encore la jalousie. Les êtres humains ne peuvent s'aimer. Pourquoi ? Ils sont rongé par des sentiments absurde et juge sans arrêt les autres. Lorsque vous marchez dans la rue n'avez-vous pas l'impression que l'on vous regarde de temps a autres ? Des fois c'est pour dire que vous êtes bien habillé ou qu'on aime bien quelque chose chez vous. Mais d'autre fois ? Ce n'est pas pour vous montrer que votre gout vestimentaires est a chier ? Que vous vous habillez comme une vieille ? Ne dites pas non ! Je sais que c'est vrai. Les autres n'aiment pas.

Mais personne n'applique la règle d'or qui est que chacun a ses propres gout. Et moi ? Moi aussi j'ai mon propre style, question chaussures, des mocassins c'est mignon, mais aussi les bottes esquimaux pour l'hiver, aussi a part quand il fait très chaud je met des collant, blanc, ou noir, mousse, légèrement, en hiver par contre non, c'est plus chaud. Sinon, pour la plage je mettrais un simple short en jean, ou une jupe d'ailleurs, je mets presque tout le temps des jupes, je peux vous le dire j'adore les jupes. les jupes à volant, à motif, avec quelques noeud papillon sur le coté en ornement. Aussi, pour ce qui concerne le haut, je porte des chemise avec des gilet, ou encore des top avec capuche, des débardeurs. Tout ce que pourrait mettre une jeune fille normale de mon age, mais je n'irais pas jusqu'à vous décrire absolument tout ce que je porte bien que j'aimerais précisé, que mes couleurs favoris sont le rouge et le violet. Du coup, j'ai toujours un ruban de cette couleur accroché quelque part, soit autour du col de ma chemise, soit sur la manche. Je trouve ça absolument adorable d'avoir un ruban ou tout simplement un petit accessoire en plus qui pourrais rendre le tout absolument mignon ! Vous ne pensez pas ? Aussi, à ma main droite il y a tout le temps une gourmette avec une petite étoile et d'ailleurs je tiens à ajouté aussi, que j'adore les cerises, je peux donc, avoir plein d'accessoires qui peuvent avoir un rapport avec ça, d'ou le fait que je m'habille en rouge et blanc la plupart du temps, a part bien entendus si je porte mon uniforme qui se comporte de deux pièces comme tout les uniformes, une chemise et une jupe, je me permets d'ajouter ma touche personnel avec un ruban autour du coll en nœud papillon.

En ce qui conerce mes pieds, ils sont normal, je n'ai pas a m'en venter, mais je dirais que au pieds droit j'ai une petite cicatrice dû a une brûlure, je jouais avec le fer a repasser une fois, et en voulant le déposer je l'ai déposer sur mon pieds comme une idiote.
• Histoire :

On dit que la vie des personnes et plus précisément leur enfance est le secret de leur caractère mais voilà ce qui est totalement faux. Enfant, on est totalement différent, pleinement naïf se fichant totalement des sentiments que l'on peu avoir. Tout ce a quoi on pourrait pensé, c'est d'avoir des amis, jouer, et surtout avoir plein de sucrerie, se salir se faire grondé. Se faire gronder par les parents... Ils ont presque tous oublié qu'un jour, bien avant ils étaient enfants eux aussi, qu'ils ont commis toutes sortes de conneries, mais ils se permettent de nous dire de ne pas faire ça ou ça, et que c'est mal ça ou ça, mais pour qui ils se prennent réfléchissent-ils avant de parler ? Avant de nous faire pleurer ? Pensent-ils seulement qu'une fois grondé on éprouve une certaine haine envers eux et que rien que pour se venger on peut faire toutes sortes de bêtises ?

Tout a commencé par ma naissance, signe de nouvelle vie, un enfant, une fillette, venait de voir le jour de crier, son premier son, son premier contact avec l'air et la chair des autres. Les parents...J'en avais, ils étaient là, ma mère a souffert pour mettre au monde une fille une enfant prématuré qui devrais resté dans la couveuse, c'est triste à voir, j'avais la taille d'un lapin, on avait peur de me prendre entre leurs mains. Mon père Saito, semblait mécontent la surprise, n'était pas du tout celle qu'il souhaitait, oui, je suis une fille, il avait donc une fille et il n'en voulait pas, ce qui compte pour lui c'est d'avoir un garçon un héritier. Ma mère aussi semblait dégoutée au début, mais petit à petit son regard s'attendrit et elle déposa un premier baisé sur le haut de mon crâne. Laissant l'infirmière me prendre pour me donner mon premier bains, me mettre mes premiers vêtements préparé la couveuse ou j'allais resté encore deux mois.

「 Je voulais un garçon, et son prénom devais être Yuuki, signe de pureté et de simplicité, mais aussi la blancheur de la neige, mais c'est une fille ! Elle sera frêle et fragile devrais-t'elle porté ce prénom ? 」

Akie, ma mère, n'hésita pas une seule seconde a me donné ce prénom, elle trouvait que ça allait parfaitement avec mon teint blanchâtre. Et mon expression, puis mon caractère, calme et muet. Comme quand il neige. La nature dort. Il n y a aucun sons, juste le calme et la douceur du moment.

「 Une fille ne peut être héritière de ma société je refuse ! 」

Malgré que je sois sa fille, il voulait absolument un garçon. Sauf que dans sa famille, il y avait des règles a respecter, les frères n'ont droit qu'a un seul enfant et ce doit être un garçon, étant l'ainé, il se devait d'avoir un garçon. Étant l'un des hommes d'affaires les plus riche. Un milliardaire, avait très bien les moyens de faire taire l'hosto et d'avoir un garçon a ma place. Et ce fut le cas. On m'échangea contre le fils de la bonne, et je devins la fille de la bonniche, obligé a travaillé chez moi.

「 Maman, raconte moi une histoire. 」

J'avais cinq ans, et je vivais, dans une maison qui est soit disant à moi. Mais je ne le saurais surement pas maintenant. On m'a simplement demandé d'être l'amie de ce garçon qui portait le même prénom que moi. Du coup des fois on se chamaillait a cause de ça. Comme par exemple cette fois dans le bain, ou il a déclaré que j'avais copié son prénom.

« Yuuki tu as copié mon prénom ! »

« C'est mon prénom d'abord ! »

Une fois qu'on s'était lancé dans ce genre de dispute, après on se bagarrait et on finissait punis. Dans sa chambre, on restait là a se regarder. J'étais toujours celle qui boudait, lui semblait heureux. Je me suis toujours demandé pourquoi il avait cet air débile. Quand j'allais a l'école avec lui, Yuuki m'ignorais, il ne voulait même pas que je le suive. a ce demandé si je le gênais, personnellement, je me sentais assez exilée. Yuuki racontais a tout nos camardes que j'étais sa servante et que quand on sera grand il m'épousera pour ne laisser personne le faire. Je savais très bien que ce n'étais que des mensonges mais a cet âge j'étais bien trop naïve.

[...]

Au primaire.

Bien entendus j'ai grandis, j'avais dix ans maintenant, mes cheveux, ils étaient long, et je les adorais. Des fois quand je ne faisais rien. Yuuki venait s'amuser a me les coiffé. Je passais beaucoup plus de temps avec lui qu'avec ma propre mère. Quand sa mère arrivait dans la chambre, elle venait toujours nous demandé de la câliner et je n'étais pas contre. Au fond, j'avais cette impression...Qu'elle m'aimait beaucoup. Mais quand le père de Yuuki étais là elle se comportait autrement, et m'ignorais.

Au collège.

Puis vint le jour de notre anniversaire, oui, on allais avoir quinze ans le même jour, c'était pas super surtout pour lui. Et il se plaignait a chaque année. Bien que je ne m'imposais que pour souffler sur les bougies. Après tout j'avais le droit. Ce soir là, Yuuki n'avais rien dis de méchant a mon égard il m'attira simplement dans sa chambre et me demanda sur le coup assez gêné en sortant un costume de Maid. Il voulait que je sois sa servante. Ca devenais de plus en plus du n'importe quoi. Mais tant que le jeune maitre s'amusait. Je ne pouvais que lui faire plaisir. Après ce jour là. Les choses on légèrement changé dans la famille. Le père de Yuuki semblait s'intéresser au jeu et négligeait son boulot. Quand a sa mère, elle se suivit une certaine secte et fini par négliger son enfant.

Tout les jours je le voyais souffrir dans son coin. Des fois il me disait qu'il aurait aimé avoir ma vie, qu'il voudrait tellement échangé sa vie avec la mienne. Il me faisait mal. Mon coeur me faisait mal. Le voir ainsi était insupportable.

Et puis un jour, en revenant assez tôt du lycée. Dans le manoir on entendis certain gémissements. On pensait que quelqu'un était blessé, on est monté aussi rapidement que possible suivant les sons qui devenaient de plus en plus fort. Yuuki s'arrêta net devant la porte de la chambre de ses parents, regardant a travers l'ouverture de la porte un spectacle qu'il trouva dégueulasse.

« I-ils font du mal a maman... » Bégayait-il difficilement, les larmes lui caressant les joues. Je l'ai repoussé pour regarder aussi. Je fus surprise, et ébahi, la mère de Yuuki se laissait faire par eux. Passant mes mains autour de Yuuki je l'ai serré contre moi, sanglotant. On est resté là. A pleurer l'un dans les bras de l'autre. Les hommes sont sortit et nous on regardé amusé. Il s'est accroupis et a caresser la joue de Yuuki qui fut dégouté. Les trois hommes sont sortit, laissant la mère de ce dernier haletante sur le lit. Lorsqu'elle nous regarda. On éprouva tout deux la même chose du dégout envers elle. Les jours d'après. Yuuki ne lui a plus adressé la parole.

Je le comprenais un peu. Il était choqué et dégouté...

Quelques jours passèrent, un autre vendredi on revient toujours tôt pour revoir la même
scène, cette fois, a cause d'une mère pareille on a été agressé, on a même essayé d'abuser de notre corps. Mais heureusement qu'a ce moment là, son père vint nous sauver. Avec son ton imposant et sa carrure il chassa les hommes hors de chez lui, appelant aussi le majordome qui n'hésita pas a les foutre dehors. Il regarda sévèrement sa femme pour lui dire avec sa voix grave.

« Tu me fais honte femme ! »

Il revint vers nous, pour nous prendre dans ses bras, nous serrer aussi fort qu'il le pouvait contre lui, après tout il savait très bien, que ça n'allait pas maintenant, on été traumatisé. Sanglotant dans ses bras. Lorsque soudainement il se redressa énervé après avoir entendus la réplique d'Akie, sa femme.

« De nous deux tu es celui qui fais le plus honte ! Avoir laissa ta fille pour la bonne, et nié son existence, tu as mentis a Yuuki qui n'est même pas ton fils ! Tu fais honte ! A te soucier des autres plutôt que de toi. »

Saito était plus qu'en colère maintenant, il s'approcha d'elle rapidement la prenant par les poignets la secouant lui demandant de la fermer, elle l'énervait, elle lui a fait honte, elle a laissé les autres découvrir son secret ! Un secret qu'il ne voulait révélé a personne.

C'est ce jour là que j'appris la vérité. Que je n'étais pas la fille de la bonne mais la fille du patron de la bonne. J'étais celle dont les parents ne voulait pas, celle qui n'avait pas sa place. Yuuki aussi devait pensé la même chose. IL était fils de la bonne et non de la patronne. On était tout le deux triste, et choquée par tant de mensonges. Je me suis levé et j'ai couru, sortant ainsi de la demeure allant dans le jardin, pour pleurer ces mensonges qui me faisait tellement mal. Je pleurais, ma fausse mère, ma vrai mère, le père qui ne voulait pas de moi, et surtout Yuuki qui a volé ma place mais aussi a qui je volerais.

J'ai passé la nuit entière a pleurer. Je l'ai passé dans le jardin, j'ai hurlé quand j'en avais besoin. Pleurant autant que je le pouvais, je n'ai même pas eu le temps de m'endormir. Mais au petit matin, j'étais dans une des chambres du manoir. Je me suis relevé rapidement, pour m'arrêter devant la porte pour entendre mon père parlé.

« Ecoute moi bien Akie, je m'occuperais des deux Yuuki, ils sont mes enfants maintenant, quant a toi, reste bien loin d'elle femme souillé. »

J'ai ouvert la porte les regardant, mon père s'approcha pour m'enlacer s'excusant encore et encore, il s'en voulait vraiment, il m'avoua même qu'il allait dire a tout le monde que j'étais sa fille, son unique fille l'héritière. Que j'étais la princesse déchus en quelque sorte. Mais dans tout ça je ne pensais qu'a Yuuki. Il devait se sentir mal...

Tout changea depuis ce jour là.

Yuuki ne m'adressait plus la paroles, pas même un regard, un sourire. Je ne savais pas pourquoi. Mais cela me rendait triste. Alors, une nuit je me suis invitée dans sa chambre, me cachant dans son lit, essayant d'avoir une conversation avec lui. Mais ce dernier m'ignorait. J'ai fais la même chose chaque nuit pendant une semaine. Pour finalement venir une nuit habillé en Maid. Restant là jusqu'au matin, pour le réveiller comme il se doit. C'est a ce moment là qu'il m'avoua en me regardant dans les yeux.

« Je veux te détester Yuuki, mais je n'y arrive pas. »

A peine il a dit ça que mon sourire s'effaça je l'ai regardé d'un air absent passant ma main sur mon coeur. Reculant, m'éloignant du lit. Il se leva et s'habilla lentement sans me regardé puis finalement il me demanda de sortir de sa chambre. J'ai acquiescé d'un signe de la tête puis je suis sortit, fermant la porte derrière moi, pour pleurer adossé au mur d'a coté. Mes deux mains sur mon visage, pour essayer de contenir tout mon chagrin. Je fus surprise lorsqu'une main me caressa le haut de mon crâne. C'était mon père. Il m'avoua que la mère de Yuuki voulait le reprendre, il allait s'en aller aujourd'hui...

Mon père m'enlaça m'embrassant pour la première fois sur le front, il s'en alla ensuite, vers sa chambre, je suis resté là sans trop comprendre. Essuyant mes larmes lorsque Yuuki sortit de sa chambre avec sa valise a la main, il m'adressa un simple sourire puis s'approcha de moi, et m'enlaça a son tour. Je suis resté contre lui silencieuse. Et il m'avoua finalement.

« Ne pleure pas Yuuki. Je ne t'oublierais jamais...»

Il s'en alla ensuite me laissant là, en larmes. Je l'ai finalement suivis jusqu'à la porte d'entrée. Pour enfin crié a quel point je l'adorais Yuuki, qu'il me manquera et pour dire finalement.

« Je t'attendrais Yuuki alors reviens me cherché !»

Il m'adressa un dernier sourire et s'en alla. Je suis resté là, pour finalement rentré a l'intérieure, la maison paraissait soudainement vide et sans vie. Je me suis approché des escaliers, regardant les deux première marches, me rappelant quand nous étions jeune, et qu'on volaient des cookies encore chaud de la cuisine, on les mangeait là... J'ai monté les marches me dirigeant vers sa chambre. M'allongeant sur son lit encore défait. Serrant son oreiller contre moi humant son odeur. Sans m'en rendre compte je me suis endormis. Puis a minuit. J'ai entendus des sons qui venait du couloir. Je suis sortit pour voir qui c'était. Et j'aperçus ma mère avec un couteau de cuisine a la main elle s'approchait de moi si avidement, j'ai reculé puis j'ai hurlé. Mon père arriva juste au bon moment attrapant Akie par les poignets.

« Qu'essayes-tu de faire a ton enfant AKIE ?! »

Cette dernière souria silencieusement puis finalement ricana comme une folle...Depuis que Yuuki quitta le manoir. C'est devenus tellement insupportable. Au collège - sa dernière année-, aussi, je restais silencieusement dans mon coin un livre a la main. Puis un jour, deux jeunes filles me proposèrent de rejoindre le club de musique. J'ai hésité avant de finalement accepté. Je jouais du piano, alors autant en profité. Puis a la fin de l'année, devant tout le monde j'avais joué un morceau que j'avais composer. Puis finalement vint le moment d'entrer au lycée. Et j'ai aussi décidé de m'éloigner de la maison un certain moment. J'ai simplement écris une lettre, sachant qu'avec ma carte j'avais tout l'argent d'en j'en aurais besoin. Et puis Thôru mon majordome assez spéciale m'accompagnait. Je sais qu'un jour je retrouverais Akaito.

Lettre :

« Bonjour père.

La vie dans notre demeure est devenus presque insupportable avec maman qui a totalement perdus la tête. J'ai décidé de m'éloigner un certain temps, je suis au lycée Shimizu, si jamais tu désires me voir. Tu peux venir. Ce n'est pas loin de chez nous. Je t'aime papa.

PS : Akaito est avec moi. »


• Raison de votre arrivée à Shimizu : (Quelques lignes)

'xxxxxAutre.

• Depuis combien de temps faites-vous du RP ? 4 ans.
• Comment avez-vous connu le forum ? Une revenante ! 8D.
• Avez-vous un double compte ? Nop.
• Personnage de votre avatar ? Aucune idée.
• Quel est le code règlement ? Ok by Abso' ♥