Kenji sur un banc >.< :D (pv: Uka)

Kenji Daniels, alias (dieu) "le blondinet serieux" venait de s'installer en ville il y a peut avec son frêre Keiji, la ressemblance des prénoms n'étaient pas un hasard.
Kenji était venu étudier au Japon a cause de son frêre jumaux car il avait passer toute son enfance en Amerique, a New-York. Depuis qu'il était arriver, il n'avait encore parler à personne et il n'avait pour le moment, pas l'intention de le faire.


Pourquoi? tout simplement parcequ'il n'était pas là pour jouer mais belle et bien pour proteger son petit frêre du danger du monde actuelle. C'était la mission qu'il s'était donner a l'âge de 8 ans ou l'incidant ù lieu.

Kenji avait déjà été reperé par pas mal de gens dans le lycée, qui le regardai de plus ou moin loin, normal dans un internat et dans une rentrée agitée.

Cependant lui ne s'interessai pas au autre, il les observaient mais ne s'en préoccupait pas. Il ne réalisai pas encore que l'affection lui manquait, il n'en avait jamais vraiment reçu et ce que l'on ne connait pas ne peut pas nous manquer.

C'est pour cela que Kenji s'était accorder une après-midis ensoleillé à base de lécture et de promenade.

Kenji était quelqu'un de très cultivé et il aimait beaucoups lire, surtout dans les parcs en profitant du beau temps. C'est pour cela qu'il s'était diriger vers le parc de la ville après le déjeuner.

Il fesait de plus en plus beau et très lourd, aucun vent, même pas une légère brise ne soufflait dans les environs, un calme plat légèrement rompu par les quelques bruits des chiens éxité qui se promenaient avec leurs maîtres. Kenji lisait donc sur le banc tranquillement un bouquin nommer :"Candide" de Voltaire.


[Désolé , c'est court mais je détèste commencer les sujets >.<]

Kenji se perdait dans la lassitude et dans l'éxactitude, le serieu ne tue pas mais il épuise, telle était sa propre vie, mener par un tourmant continuel et une incertitude en toute chose. Kenji ne croyait pas, ce n'était pas quelqu'un de croyant mais d'une très grande spiritualité , il ne croyait en rien et en toute chose a la fois.

Kenji n'était pas vraiment un grand parleur mais du moin, il restai sociable, quand quelqu'un venait l'aborder, il restai polie et faire connaissance n'était aucunement contraîre à sa philosophie.

Il lisait tranquillement son bouquin lorsque une événement vint interrompre sa lecture, un homme saute sur le banc et s'asseya à coter de Kenji. Kenji pour sa part, avait tout d'abord penser à une aggression comme il y en a beaucoups dans son pays d'origine, les Etats Unis.

Cependant, ce ça n'avait rien d'une aggression, car son "aggresseur" après c'être assis lui sourit. Attitude peu naturel ? certainement instinctive et Kenji décida presque spontanémant de répondre à se sourire, par gentillesse? par affection ? ou par simple respect et courtoisie? Il était conscient que sourire ne suffirait pas et que engagé de lui même la conversation s'avéré nescessaire.

-"Bonjour, belle journée n'est ce pas ?"

Kenji ne se fit pas prier, il savait bien que l'autre personne n'était pas venu parler du beau temps et il poursuivit rapidement la conversation avant que l'homme qui se trouvait devant lui, certainement beaucoups plus agée ai le temps de lui répondre.

-"Que me vaut l'honneur de votre compagnie?"

Uka croisa ses jambes, telle une jeune fille et observa les alentours. Une chaleur étouffante, des gosses qui hurlent à leurs mères qu’ils veulent des glaces pour se rafraichir, et des oiseaux crasseux qui se baignent dans les fontaines. L’horreur totale. Ce qu’il y a de pire au monde sûrement.
Un petit se vautre à aux pieds d’Uka. Dans un unique coup d’œil, il éclata de rire au lieu d’aider le petit en difficulté. Il a aidé beaucoup trop de gens aujourd’hui. La mère du gamin lance un simple regard noir au jeune homme pour lui prouver qu’elle ne l’aimait pas, alors qu’elle ne le connaissait pas. Quoi ? Le gamin n’avait qu’à pas courir les lacets défaits. Il ne peut qu’en vouloir à lui-même.
Uka souri au jeune homme. Honneur ? Horreur, oui ! Etre en compagnie d’Uka Nedelec, quel supplice.


« C’est pour faire augmenter ta vie sociale »

Il lui fit un clin d’œil amical. C’est vrai qu’être vu en compagnie d’Uka donnait toujours bonne impression à la personne l’accompagnant.