Jude : n.m. Angélique petit homme prêt à vous dépraver.[FIN]

Nom :
Bates, what else ?

Prénom :
Judicaël décliné la plupart du temps en Jude ou Judi'. Pourtant il le trouve classe, lui, son prénom complet.

Age :
17'

Lycée, prof ou autre :
Lycéen avec le vert moche 1.B

Présentation morale :
Je suis un ange indécent. Le pire. Le meilleur. Quoiqu’il se passe tu ne m’auras pas. Quoique tu veuilles de moi, jamais tu ne l’obtiendras. C’est ainsi, gravé dans les lois qui me régissent. Je te manipulerai et tu y prendras sans doute ton pied. Même pas sans doute. Tu y prendras ton pied. Parce que j’y veillerai. Il serait dommage, après tout de te voir filer ma douce petite proie. Je sais déjà pourquoi tu m’approcheras, mon mignon. Tu penseras pouvoir me faire changer. Tu penseras être celui que j’aimerai. Peut-être même envisageras-tu de me faire tomber éperdument amoureux de toi. Tu y arriveras peut-être. Si certain facteur sont réuni… Mais n’oublie pas ! Jude ne donne rien sans rien et son cœur ne fait pas exception. Si tu me prends mon cœur je séduirai le tien jusqu’à t’en faire mordre les doigts. L’amour d’un ange contre ton âme. Rien de plus équitable comme marché, n’est-ce pas ? Oh, promis, sur le coup ça te fera plaisir… Extrêmement plaisir. Et puis, lorsque tu tenteras de me briser le cœur, j’écraserai le tien. Et tu ne seras plus rien. C’est bien connu, je largue avant de l’être, je bousille ceux qui tentent de me jeter au sol. Je suis fier, c’est un fait, je suis arrogant, s’en est un autre. Mais je suis ainsi et tu n’as plus qu’à clore ta bouche et à profiter. Profite de moi tant que je n’abuse pas de toi. Ce qui ne saurait tarder… Je vous affolerai, toi et tes sens, je t’aguicherai et tu perdras le contrôle et là, là… Tu auras tout perdu, l’ange Judicaël aura frappé. La drogue, les sales coups, je connais. J’excelle dans l’art de tromper et de voler. Dans celui de séduire aussi. Je te donne mon corps et, lorsque la jouissance aura assoupi ton corps, je te volerai ce qui a de la valeur, dérobant tes biens et filant à l’anglaise. Et tu ne pourras rien dire. Je dirai juste que tu mens. Je dirai juste que tu m’as donné tes biens pour acheter mon corps. J’ai un talent fou pour convaincre. Et tant pis les rumeurs, et tant pis les regards dégoûtés. J’appâte les gens, c’est dans ma nature. Malgré les apparences, la proie, c’est vous.



Comme dit précédemment, Jude est un petit séducteur aux tendances cleptomane. Il excelle dans le don de se justifier et dans celui – comme vous avez pu le remarquer – d’inventer des histoires à tomber par terre. Certes, tout ce qui a été dit auparavant est juste. (Quoiqu’un peu sur joué, peut-être ? Allez savoir, nous parlons de Judi’, là. Pas d’un vulgaire humain.). Cet ange pas si angélique que ça cache derrière ses frasques et diverses aventures – sexuelles ou non – se cache une attitude un peu enfantine pouvant le conduire à – et c’est assez risible lorsque ça se produit – bouder comme un gosse. Il perd dans ces moments-là toute crédibilité. A part ça, cet angélique bonhomme est un être éternellement seul à la recherche d’un peu de chaleur durable. De part son caractère il est – certes – très difficiles à supporter mais impossible n’est pas français ! Si vous vous sentez apte à tenter l’aventure, vous découvrirez en Jude un être plein de respect et empli d’une certaine loyauté envers ceux qu’il aime. C’est à cause de ça qu’il s’est promis deux choses « 1. On ne vole pas les gens qu’on aime. » et, « 2. On ne couche pas avec les gens qu’on aime. » (Judi : Non, on leur fait l’amour roooh !) C’est certes, foncièrement paradoxal mais c’est ainsi, Judicaël refusera de toucher quelqu’un pour peu qu’il l’aime. Ou alors il va falloir être très très très convaincant. A vous de jouer !



Présentation physique :


Et ta tête, elle va bien mon ange ? Elle a pas trop enflée ? Revenons-en à nos moutons. (Judi : JE NE SUIS PAS UN MOUTON !) A nos pandas, alors. Judicaël est un être à la beauté angélique et ingénue. Comprenez par là qu’il a une gueule de poupée de porcelaine montée sur un corps à la sensualité à couper le souffle. Pas qu’il soit parfait – je ne tiens pas à provoquer un débat là-dessus – mais le temps qu’il passe dans la salle de bain chaque matin suffit à donner une illusion de perfection. Une très bonne illusion. Par exemple, Jude camoufle avec soin les taches de rousseur qui parsème son visage malgré sa tignasse noir corbeau. Héritage de sa génitrice, parait-il. S’il avait pu s’en passer… Sa peau douce et laiteuse en est criblée de partout rendant la dissimulation totale impossible. Il fait avec. De même, la petite cicatrice en forme de croissant de lune qu’il a au dessus du sourcil gauche lui semble être une atteinte à sa beauté naturelle. Mais passons… Ses cheveux d’un noir plus noir que noir font ressortir la pâleur macabre de sa peau que seuls deux orbes d’un bleu frigorifiant vient éclairer. Deux yeux qui ingèrent les informations, analysent, à une vitesse fascinante. Il capte tout. Il voit tout. Certains murmurent qu’il aurait des yeux dans le dos ce à quoi il s’écrit : « Malotrus ! Ce serait totalement inesthétique, des yeux dans le dos ! ». Et on ne peut que lui donner raison. Nous avons parlé visage, abordons maintenant le corps. Pas d’allusion grivoise ni rien de ce genre dans ces mots. Judi’ est tout fin. Tout petit. L’expression « poupée de porcelaine » semble avoir été créé pour ses beaux yeux. Particulièrement souple, sa taille et sa corpulence lui permettent de passer inaperçu dès qu’il le souhaite. Voilà tout. De toutes façons, à part son visage, il est somme toute particulièrement banal et s’il devait reconnaître son corps parmi d’autre il ne retrouverait le sien que grâce à une chose : Les trois grains de beauté disposé de forme triangulaire sur sa hanche droite. Rien d’autre. Mise à part ça, Judicaël s’habille en fonction de ce qu’il prévoit de faire. Sa tenue changera sensiblement entre un jour où il veut séduire et un jour où il veut bosser. (La plus gros changement sera l’apparition de lunette de vue sur son - époustouflant – nez. Et oui, d’habitude il préfère les lentilles.)



Histoire :


Je n’ai aucun talent pour faire des discours. Vous faire des discours sur le chemin qu’a emprunté ma vie serait, d’ailleurs, sans doute, le meilleur moyen de vous endormir. C’est pourquoi j’ai décidé de mettre à disposition mon journal intime. Quoi de mieux pour raconter ce qui va suivre ? Ma vie commence à l’âge de quinze ans. Mon journal aussi. Avant il n’y a eu rien de marquant. Après il y a eu le défilé des visages de tous mes amants. De toutes mes victimes. Certains étaient les deux, d’autres non. Je ne sais pas lesquels ont eu plus de chance… Il me faut, avant de vous confier mon journal, exposer quelques généralités sur ma personne. Il n’y a pas grand-chose à dire mais je dois tracer les grandes lignes pour vous mettre dans le contexte.

Je suis né un 13 Janvier 1991 dans la banlieue londonienne. N’allez pas imaginer « la banlieue » en question comme un lieu glauque. Loin de là. C’était plutôt, au contraire, un quartier de riche. Ma mère – Harmony Steward, de son nom de jeune fille – et mon père – Alijah Bates – étaient des gens « en vogue », si je puis dire, avant d’avoir un marmot. Drogue, alcool, fête et tout le tralala. La cacahuète dans le ventre d’Harmony – moi – stoppa net ça. Quand on vient d’une bonne famille, on n’intoxique pas le môme à la coke dès le premier mois de grossesse, voyons. Peut-être me trouvez-vous cynique ? Je vous répondrai juste d’allez vous faire foutre (Par moi, même, si vous voulez.) c’est moi qui raconte, c’est moi qui choisis le ton à employer. Surtout pour parler de mes ô combien délicieux géniteurs. Bien vite après ma naissance, on me confia au bon soin de ma tante. Une brave femme, sincèrement. Anna m’a toujours considéré comme son fils et son mari était tout disposé à faire les démarches d’adoption. Ces deux personnes sont sans doute les seules que je regrette d’avoir déçues. Vraiment. Toujours est-il que maintenant que le décor est posé, lançons la pièce…

« Journal de : Judicaël Bates.
Etat de l’union le 3 mars 2006.

Mon dieu, mon dieu, mon dieu. »

« Journal de : Judicaël Bates.
Etat de l’union le 4 mars 2006.

Ou plutôt du 3 mars. Après les quelques mots griffonnés à la hâte hier, je ne peux que trembler de honte de m’être ainsi comporté. Mais, bon sang, que suis-je ? Une vierge effarouchée ? Une collégienne en mal d’amour ? Rien de tout cela ! Alors pourquoi cet homme m’attire-t-il autant… ? C’est un drôle de type. Un type toujours dans l’imperceptibilité. Comme si rien de ne valait la peine de faire plus. Enfin je dis ça mais je l’ai vu quoi… Cinq heures ? Le temps de fêter dignement le passage à la majorité d’un ami commun, quoi. Et, bon dieu, il me fait envie ce type… On le dit hétéro ? C’est ce qu’on va voir. »

« Journal de : Judicaël Bates.
Etat de l’union le 15 mars 2006.

Rapprochement inespéré entre Lui et moi. Affaire à suivre, la suite au prochain épisode. »

« Journal de : Judicaël Bates.
Etat de l’union le 15 avril 2006.

Le problème, lorsque tu apprends à connaître les gens, c’est que tu n’apprends pas que leurs qualités, non. Les défauts viennent avec. Et des défauts, pour en avoir, il en a, ce type ! Mauvais perdant cynique et imbuvable à moins d’avoir un coup dans le nez – ce qui explique mon attirance, la soirée de chez Seb’ avait été bien arrosé – il éteint mon envie de lui de plus en plus. La flamme qui palpitait se meurt faute de quoi se consumer. Non, franchement, plus ça va plus il me semble…Etrange. Instable. Et la lueur qu’il me semble voir briller dans ses yeux ne fait que m’inquiéter. Je me trompe peut-être. Je l’espère. Si mes craintes quant à l’attirance qu’il aurait pour moi sont fondées alors je ne sais pas ce que je ferai. Je le fuirai sans doute, comme d’habitude. Savoir fuir, mon plus grand atout. Qu’est-ce que je peux être pitoyable… »

« Journal de : Judicaël Bates.
Etat de l’union le 21 août 2006.

Il faut que je parte. »

« Journal de : Judicaël Bates.
Etat de l’union le 30 août 2006.

Demain je quitte l’Angleterre pour le Japon. Ca vaut mieux pour. Pour eux aussi. »

« Journal de : Judicaël Bates.
Etat de l’union le 13 janvier 2007.

Je dégueule mon mal de vivre comme d’autre gerbe l’alcool ingurgité. Ca fait quoi ? Quatre mois que j’ai pas écrit là dedans ? Et bien me revoilà. A jamais changé. Enfin tu avais du t’en douter hein, toi l’être de feuille et d’encre. J’entends déjà ta petite voix nasillarde qui résonne : « Mais que s’est-il passé le 21 ? » Ah oui, je me le demande. Qu’a-t-il bien pu se passer… Oh très simple cher journal. Je me suis fait violé. Oh, tu peux rire hein. Ouais, même les hommes peuvent se faire violer. Curieux, mais ainsi. D’ailleurs ce n’est pas n’importe qui qui m’a marqué à vie, tu vois. Non. C’est Lui. Ouais. Le Lui à qui j’ai fait du gringue en mars. La situation a bien évolué hein ? C’est est risible. C’est bien pour ça que personne ne sait que Blanche Neige a été souillé. Parce que personne n’aurait cru qu’elle ne se soit pas jeté à la tête de l’homme de son plein gré. Personne. Alors je fais avec. De toutes façons, du viol, aucune trace ne persiste. Il avait juste laissé quelques mots griffonnés sur une feuille : « Même drogué t’es un bon coup » Merci. Il y avait quelques billets aussi. Alors c’était ça ? Tout ça pour…Ca ? J’étais une putain ? Après cette soirée, je me suis enfermé dans ma chambre. Pas moyen de m’en sortir. J’étais sale, souillé. Il allait falloir tout effacer. Effacer ces marques bleuâtres dans mon cou, sur mon corps. Effacer ma mémoire, qui me revenait par à coup. Effacer les images de son corps abusant du mien. Tout effacer. Tirer un trait. Alors j’accumule les amants. Hommes, femmes, qu’importe. Je leur offre mon corps contre un peu d’oublie, quoi de mieux ? Enter leurs bras je me sens vivre. Je les manipule, je les abuse, je les séduis. Et ils en redemandent. Dès lors, pourquoi pas ? »

C’est sur ces mots que j’ai clos mon journal. On avait fait de moi une pute ? On avait abusé de moi ? J’allais me venger. J’allais leur faire subir mon humiliation. Je les séduis, ils couchent avec moi. Je leur dérobe quelque chose. N’importe quoi. Une petite chose, une breloque, un peu d’argent. En échange, ils reçoivent le présent dérobé à l’amant précédent. Et tant pis pour eux…




Comment avez vous connu le forum : On ne peut pas dire que je sois réellement nouveau...

Re bienvenue

Alors rebienvenue

Nyyyyyyyyyyh (L)
J'dois vraiment encore te souhaiter la bienvenue ?

OUI NANA OBLIGEE ! XD

Bon, d'accord ._.
BIENVENUE MA BICHEEEEEEEE (L)

Muhu .