Sommeil réparateur [PV Yokiro]

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Anoko Kusemono, une jeune fêtarde prête à tout pour s'amuse, aux lèvres rieuses, aux yeux étincellants et aux joues rosées, était une ancienne élève du lycée Shimizu. Elle s'était fait quelques amis ici et même un petit copain. Malheureusement, ils étaient presque tous partis... Elle aussi était partie, elle avait changé de lycée suite au déménagement de ses parents. Malheureusement, sa nouvelle école avait été bien garnie de délinquants et la jeune fille était tombée sous leur influence. Ils étaient gentils et amusants, ne vivaient que pour s'amuser, tout comme elle. Normal qu'elle s'entende bien avec eux non ? Mais bon peut-être que sa bande avait un peu poussé loin les limites et suite à de nombreuses bêtises, Anoko fut renvoyée de son nouveau lycée. Désespérés par son attitude, ses parents avaient décidé de l'expédier de nouveau en internat et l'adolescente les supplia de la réinscrire à Shimizu, leur promettant d'être sage cette fois-ci. C'est ainsi que la jeune fille pénétra une nouvelle fois dans le hall d'entrée de Shimizu. Elle retrouva son ancienne chambre, parcourrut les locaux qu'elle connaissait tant, cherchait ses anciens amis... Elle ne reconnut personne. Où étaient-ils tous ? Elle n'avait été absente qu'une dizaine de mois, pas trois ans ! En revenant ici, Anoko avait pensé retrouver ses amis et s'amuser comme avant. Malheureusement, elle était aussi seule qu'à sa première arrivée ici, comme si elle était nouvelle.

Cinq jours après son retour, l'adolescente se leva de mauvaise humeur. C'était un dimanche et il était sept heures du matin. En grogant, elle se demanda pourquoi ne parvenait-elle pas à dormir. Elle avait presque passé une nuit blanche, et n'en pouvait plus de se tourner et se retourner sans cesse dans son lit. En bâillant, elle se dirigea vers la salle de bain des filles, ses affaires de douches en main. Au moins elle n'aurait pas à faire la queue à cette heure aussi matinale ! Posant ses affaires dans un coin de la pièce, elle se déshabilla sans pudeur, elle savait qu'elle serait seule, puis entra dans une cabine de douche. Elle fit couler de l'eau assez fraîche, pour être bien réveillée, mais ça ne servit à rien, elle était toujours aussi fatiguée. Cinq minutes plus tard, elle sortit de sa cabine avec une serviette en roulée autour d'elle ; bien qu'elle soit seule, elle ne voulait pas non plus se trimballer à poils. Elle revêtit des nouveaux vêtements : une jupe écossaise peu serrée rose et blanche, un débardeur blanc, et sa veste rose habituelle. Après avoir enfilé des chaussettes et des chaussures, elle coiffa ses cheveux dans leur coiffure habituelle. Enfin prête, l'adolescente courru vers sa chambre.
Jardins, réfectoire, bibliothèque, salle détude ? Anoko se repassait en mémoire tous les endroits du pensionnat, dans lequel elle pourrait passer un peu de temps. Il était trop tôt pour faire quelque chose de véritablement intéressant, et elle était trop fatiguée. Elle avait donc décidé d'arpenter un endroit pour faire passer le temps, espérant également rencontrer des personnes sociables, pour se refaire des amis. Elle en avait assez d'être seule, et son petit-ami, Kaoru Hitachiin, lui manquait. Elle ne savait pas si officiellement ils étaient encore ensemble ou non puisqu'elle avait été obligée de partir brusquement et qu'elle ne l'avait pas revu depuis son retour. En tout cas une chose était sûre : elle était amoureuse de lui. Et c'est ça qui changeait tout, ça qui l'empêchait de passer à autre chose. Tant qu'elle n'était pas absolument certaine que le jeune homme l'eut complètement oubliée, elle ne lâcherait pas l'affaire et tenterait de le retrouver. Pour l'instant elle ne savait pas trop comment faire, elle avait prévu d'interroger ses anciens amis, sauf qu'elle ne reconnaissait personne. Avaient-ils à ce point changés ? Où étaient-ils tous partis ? De son côté, elle n'avait pas tellement changé, ni son caractère, ni son physique. Elle avait les cheveux un peu plus longs et avait pris quelques centimètres mais rien de plus, rien de bien flagrant.
Après avoir errer dans les couloirs pendant une bonne dizaine de minutes, à réfléchir à diverses choses, Anoko s'arrêta devant la bibliothèque. Elle n'y avait été que rarement, étant plus intéressée par les B.D et les Mangas que les romans ou documentaires. Elle se dit qu'un petit tour ne lui ferait pas de mal, la bibliothèque ouvrait assez tôt, et au moins lire ne serait pas une activité trop dure à faire, malgré son manque de sommeil. La jeune fille entra. Elle salua la bibliothécaire d'une voix monotone et se dirigea vers la deuxième salle. Elle choisit une BD pour fille, s'installa à une table ronde, sans faire attention à ce qui l'entourait, et ses yeux bleus se perdirent dans les images. Deux minutes plus tard, elle tenait encore son livre devant son visage, mais elle somnolait, le menton appuyé sur la table.

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Ce matin encore,Yokiro n'avait pas bien dormi et ce dû à une soirée entre amis ou il y avait été invité de force au risque de perdre son journal intime. Et oui Yokiro en avait un et par un hasard des plus desastreux, il s'avait retrouvé dans les mains de ce curieux de Kiriko et sa seule chance de le ravoir était de se présenter à la fête et d'y jouer un concert de violon. Franchement, quand on y pense c'ESt absurde comme idée et de plus il devait jouer de son meilleur car sinon, il pourrait dire "au revoir" à son précieux recueil. Vous vous disez sûrement ce qu'il pouvait bien avoir de si important dans un petit journal et bien dedans, on y trouvait des photos de ses amis les plus précieux, une histoire complète de sa vie depuis sa naissance et le plus important;quelques photos de la fille de son coeur celle qui l'Avait abandonner pour partir de cette école du moins c'ESt ce qu'il croit. Elle était si belle et mignonne, les cheveux d'une couleur pure et claire qu'on ne voit nulle part ailleurs, elle était comme toute réception une rose. C'était celle qu'il ne voulait pas quitter des yeux, mais la voilà partie on ne sait où depuis déjà trois mois environ et plus de nouvelles. Comme si le destin lui avait briser le coeur d'une séparation si fatale et son journal était tout ce qu'il restait d'elle. Alors vous comprennez pourquoi il a fait ce que on lui a demandé si c'était rien que pour r'Avoir ce document remplis de sentiments et d'Espoirs. Comme lu dit, il donna son concert et après mainte applaudissement il pu finalement avoir dans ces mains l'Autre moitié de son coeur; la joie totale. Le seul problème c'ESt que lheure passé assez vite et quand il est rentré chez lui, fermant sa porte de chambre à clés, l'heure indiquait 5:30 du matin.

Mais revenons-en au fait, ce matin c'était un dimanche et l'idiot avait mis son cadran sans sent rendre compte. Alors que fût sa surprise d'Entendre à 6:30 la belle sonnerie faisant un"bip bip bip"en répétant toujours et toujours d'un bruit fort que sa vous déchirerait le timpan rien qu'à se retrouver à côté de ce maudit bidule électrique. Il ouvra ses paupières et glissa sa main derrière sa tête cherchant le bouton d'Arrêt et puis une fois appuyer, il se remit en place pour se rendormir. Sauf que bien entendu avec un tel vacarme, sa lui est devenu impossible. Il fixa le plafond et d'un pas décidé, il se leva d'un coup sauf le froid l'Agrippa aussitot et il se remit en-dessous de ses couvertures pour en conclure avec un levé et une marche vers la salle de bain. La temperature atteignait facilement les -10*C et la route jusqu'à la salle de bain a été assez longue. Mais une fois arrivé il s'En rendit compte, personne n'était en file et il pu se choisir n'importe quelle douche. quoi que sur le choc, il se rappela une chose essentielle; il n'a pas ses affaires de douches alors d'un pas fonceur il parti en courant oubliant de plus sa couverture et poursuivit par la glaciation. Il entra dans son dortoir ramassa ses articles et se donna un autre coup rapide jusqu'aux dortoirs où il reprit sa couverte et s'Avanca jusqu'à la douche du fond pour s'y installer. Après avoir resté une heure dans la douche remarquant enfin l'heure, Yoki s'habilla et enfin prêt il retourna dans sa chambre puis y déposa ses accessoires refaisant son lit de passage. Il s'Assura que tout était bien ordonné et sortit faire un tour dans l'école, se promennant de corridor en corridor et cherchant du coin de l'oeil de quoi d'attrayant mais rien. Il finit par descendre au hall d'Entrée mais il croisa la plus terrible des choses;son professeur d'histoire(Yoki est son serviteur de comission :O). Son enseignant d'un sourire élargie regarda son élève avec une idée en tête pour coup sûr.

-Salut Yokiro, j'ai un service à te demander? Pourrais tu aller me porter des livres à la bibliothèque, car je n'ai pas le temps pour.

LE regardant d'un coup et sans réplique lui faisant un signe de tête comme signe d'approbation.

-Oui mr. j'y vais de suite!!

Et d'un pas sec, il s'En alla en direction de la classe d'histoire et prît la boîte de livres pesant minimum cent kilos tellement qu'il se demanda qu'Elle genre de livre il louait. IL sorti finalement de la classe et se dirigea à la biblio... Ensuite, iol entra dans la pièce immense et large pour y déposer sur la table du fond la boîte en question et se retourner. Le problème c'ESt que quelqu'un lui attira son attention. Il se rapprocha de la personne endormie devant son bouquin;situation assez rare pour lui et d'un petit coup il bougea l'épaule de la lycéenne. PAr contre en se rapprochant d'Elle son visage lui rapella quelqu'un mais sa devait surement etre une erreur.

-Tu devrais pas dormir en plein livre ma chère! C'Est pas très intéressant sinon.

PUis il s'Assit juste à ses côtés l'A fixant des yeux.

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Anoko se voyait dans une immense toile d'araignée. Elle était prisonnière de ses longs fils blancs et collants. Plus elle se débattait, plus elle avait l'impression d'être plus emmêlée. C'est alors que dans le noir, deux toiles d'araignées furent illuminée. La première contenait Sakura Light, la fille qu'elle considérait comme sa petite soeur, celle qui l'avait acceuillie à son arrivée et avec laquelle elle avait passé des tonnes de bons moments. Elle aussi était coincée dans la toile, sauf qu'une gigantesque araignée se dirigeait droit sur elle. Dans l'autre tas de fils se trouvait Kaoru Hitachiin le petit-ami d'Anoko. Il se débattait tandis qu'une araignée velue s'approchait de ses cheveux roux. La toile qui contenait la fille aux cheveux roses se mit à bouger et à entraîner sa prisonnière vers une image. Une photo du lycée Shimizu. Anoko fut projetée dedant, coincée à tout jamais dans cette image...

Anoko entendit une voix. Cette voix réussit à la sortir de son sommeil et elle quitta les araignées et les photos du lycée pour ouvrir les yeux. Au début, elle ne reconnaissait pas l'endroit, se demandant où l'araignée avait bien pu la conduire. Elle tourna la tête et vit un visage souriant. Un garçon lui conseillait de ne pas dormir en plein livre, parce que ce n'était pas intéressant. La jeune fille se redressa et se frotta le visage en espérant qu'elle n'ait pas bavé pendant son sommeil ; heureusement ce n'était pas le cas. Elle ramassa son livre qui était tombée lorsqu'elle s'était réveillé et tapota son col pour en faire disparaître les plis. Ses yeux bleus se portèrent de nouveau sur le jeune homme et elle lui répondit d'une voix neutre, presque maussade, comme elle était toujours à son réveil :

« Les B.D pour filles ne m'ont jamais vraiment intéressées... »

La jeune fille se leva, son livre à la main, et le rangea là où elle l'avait trouvé. Elle farfouilla sur les étagères des bandes-dessinées, à la recherche de quelque chose d'intéressant, ne trouva rien. En soupirant, elle s'affaira à dénicher un Mangas potable mais il n'y avait pas de premier tome, à croire qu'ils étaient tous empruntés. Elle se résigna donc à chercher un roman. Elle chercha dans le rayon "Nouvelles à chute" c'était ce qu'elle préférait dans les romans, elle aimait les situations finales inatendues et drôles. Elle trouva un receuil qui avait l'air pas mal, il rassemblait plusieurs nouvelles. Après l'avoir extirpé de son étagère, Anoko vint se rasseoir à sa place, à côté du jeune-homme. Elle posa le livre sur la table et déclara :

« Voilà qui est mieux. J'ai dormi longtemps ? »

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