Quand Soka fait son Cho' [PV]

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Quel journée éprouvante que celle que venait de subir notre pauvre psychologue. Il n’y avait rien à faire… Tout les élèves étaient en cours et personne ne semblait avoir rendez vous avec Soka aujourd’hui donc pour faire simple : Nemura était au lycée pour des clopinettes. Son bureau était affreusement silencieux. Tout semblait être ranger et seul le bruit des voitures au loin et de l’horloge se faisait entendre. Chaque mouvement paraissait être un véritable vacarme tellement la pièce était silencieuse. En gros, tous les éléments pour s’endormir avec lourdeur vous ne trouvez pas ?

Quoi qu’il en fût, Soka s’était déjà endormis avec les jambes sur son bureau et son siège à moitié pencher. La sieste initialement prévu pour une demi-heure finit par durées deux bonnes heures et les rêves suivirent donc sans trop de difficulté. Des rêves doux, des rêves pleins de nostalgie et pour finirent un cauchemar insoutenable…

-NON !... dit il le souffle coupé par la peur.

Qu’avait donc fait subitement réveiller notre psychologue ?
Quelle était la cause de se réveille subit ?
Tant de question que je vous laisserais sans réponse !

Bref… Ce n’est qu’avec une mine perturbée que Soka se leva le cœur battant à cent à l’heure. Tout en pensant a son cauchemar, il ouvrit la porte de son bureau et se dirigea au grand aire…Du moins c’est le grand aire qu’il visait, pour le reste…

-Putain…ou je suis ? reprit il avec une voix à semi rauque…

L’endroit ou notre jeune ami avait atterrit semblait être vaste. Il y était installé plusieurs sièges très bien alignée et au bout de la salle se tenait une espèce de grande scène ou divers instruments y étaient exposés. La salle était totalement vide, normal pour l’heure qu’il était remarque…Tout les élèves étaient encore en cours mais la cloche annonçant la pause déjeuner ne sonnera que dans une bonne heure et demi… Le psychologue observa la scène avec un certain sourire et décidé de se dirigé vers elle… le bruit de ses pas se faisaient entendre à cause de l’écho qui régnait dans cette salle. Quoi qu’il en soit, le psychologue finit par arriver au beau milieux de la scène et aperçu un piano tout poussiéreux. Sans trop se poser de question, il s’assit en face du piano et observa les touches un petit moment. Par la suite, il posa sa têtes contre le rebord du piano et se mit à appuyé sur une touche grave frénétiquement comme par ennuie ou par déprime…Allez savoir.

*Pourquoi ?*

L’esprit de notre psychologue semblait être perturbé…n’est-ce pas plutôt ironique pour son métier ? Voila une quinzaine de minutes que Soka s’était mis à son ridicule petit concerto… Quand soudainement, le jeune homme se redressa et regarda au loin. D’une voix autoritaire il cria :

-Qui va là ?

A la suite de cette interrogation, des bruits de pas se firent entendre.

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Encore une journée à passer en cours pour les élèves de Shimizu. Une journée comme les autres. Une journée où il faut se lever le matin, se doucher, s’habiller, prendre son petit déjeuner pour enfin se retrouver assis avec tous ses autres camarades de classe à écouter les phrases incessantes du professeur, attendant avec impatiente la pause déjeuner pour se détendre un peu avant de reprendre le chemin des classes. Journée banale et répétitive pour chaque étudiant de cette école.
Ce n’était pourtant pas le point de vue de notre chère Cho.

Cho, la pulpeuse.
Cho, la sensuelle.
Cho, la manipulatrice.
Cho, la chaudasse.

Non. Pour cette jeune fille pleins de vie et de joie, chaque jour était unique, chaque jour était une nouvelle aventure dans sa vie. C’est ainsi que notre beauté fraichement levée se prenait un bon bain à la rose, sortait ses plus beaux et sexy habits et ne se nourrissait que d’une orange pressée. Toujours le sourire aux lèvres, elle se dirigeait en classe avec une démarche assurée mais surtout aguichante. Assise sur sa chaise, elle ne faisait que regarder l’heure où elle aurait finis sa matinée. Dix heures sonna. Une bonne chose de faite. Elle était maintenant tranquille jusqu’à quatorze heures, lors de sa reprise de cours.

Les journées de Cho était bien chargée. Aujourd’hui, elle avait rendez-vous avec un jeune blondinet dans la salle de spectacle. C’est avec hâte qu’elle couru vers cette pièce vide, la plupart du temps. Avides de sensations fortes, d’imprévus et de débauches, notre jeune Cho se cacha dans un coin de la pièce dans l’attente de l’amant du jour. La pièce était plongée dans la pénombre, des chaises alignées devant une scène remplis de divers instruments de musique. Une demi-heure passa, son désir sexuel grandissait tandis que sa patience diminuait.

Le bruit de la porte attira son attention. Elle tourna son regard vers cette dernière, mais ce n’était pas l’homme tant attendu qui l’ouvrit. Un peu déçue, elle ne quitta pas sa cachette et resta dans le noir observant l’homme avancer vers l’estrade. Elle ne le quitta pas des yeux et pour tout avouer, elle le trouvait à son gout. Un beau mâle aux cheveux mi-longs noirs, ténébreux et mystérieux, ça l’excitait au plus haut point. Mais voyons, elle ne le connaissait pas !! Un peu de dignité, merde alors. La belle jeune fille couchait peut-être avec beaucoup de mecs mais elle les connaissait un minimum.

Elle resta là, à le fixai pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’elle se décide à sortir de la pénombre. Le bruit de ses talons alerta le jeune homme qui héla d’une voix autoritaire. Tout en s’approchant de la scène où il était assis devant le piano elle parla d’une voix suave et calme.

« Quel doux son que celui du piano, n’est-ce pas ? »

Elle continua sa marche lente et sexy pour arriver juste à côté du piano, restant immobile, une main sur la hanche droite [ou la gauche si tu veux hein, on s’en fiche après tout xD] avec son allure de pétasse brune qu’elle avait l’habitude de prendre. Son regard fit le tour de la salle quand elle ajouta :

« Une envie d’être seul ou de prouver un quelconque don musical ? »

Elle s’approcha encore du piano et mis ses mains sur l’instrument noir, en face du ‘’musicien’’.

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Pas de doute possible, le bruit entendu provenait bien d’un mouvement de marche. Mais de quel façon cette personne avait elle fait pour entrée dans la salle vide sans alerté Soka du bruit de la porte ? Il n’eut pas vraiment le temps de réellement s’intéressé à la question qu’il aperçu une silhouette extrêmement féminine. Cette même silhouette appartenait à une jeune fille brune avec un visage fin et raffiné, tout comme ces lèvres d’ailleurs. Aussi, le jeune psychologue posa son intention sur sa bouche avant de revenir sur terre par la question de la jeune femme. Encore intriguer par la présence de la l'inconnue, il écouta les paroles suivantes :

-Quel doux son que celui du piano, n’est-ce pas ?

Un rire ironique s’échappa de la bouche de notre psychologue. Doux ? Certainement pas…Défoulant ? Avec certitude ! Quoi qu’il en soit, la jeune fille apparemment étudiante se déplaça pour finalement arrivé en face du jeune psychologue. Il l’observa de haut en bas et sourie un court instant. Elle était mignonne, il n’y avait rien à redire sur son physique. Aucune parole ne se fit entendre de la part de Nemura tandis que la curieuse jeune demoiselle faisait un tour de repérage. Elle en profita pour en rajouter :

-Une envie d’être seul ou de prouver un quelconque don musical ?

A ceci, le jeune Nemura se mit à joué les bases de tout instrument…LA gamme, c'est-à-dire le « Do-ré-mi-fa-So-la-si-do… »… Une fois fait, il posa le regard de la brune qui s’était déjà bien approché du psychologue. Elle ne lui parlait pas comme chaque élèves, non…elle semblait s’adressée a une personne quelconque… Saurait-elle à qui elle a faire ? Sans doute pas… Puis de toute manière, notre jeune homme ne prit pas grande intention au ton familier de la jeune fille… Au contraire…

-Du talent ? Au piano ? Non… Que fais-tu ici ? euh…

Bien évidement, le psychologue ne savait terminer cette phrase…Il ne connaissait pas le nom de la jeune fille... Il reprit néanmoins le temps de mieux observer l’inconnue. Elle était belle, sexy, voir même un peu trop pour une simple étudiante…A moins qu’elle ne l’était pas ? Le jeune homme ne lui posa même pas la question tellement il commençait à se laisser emporté par le charme naturel de…

L’inconnue, la pulpeuse.
L’inconnue, la sensuelle
L’inconnue, l’étudiante ?

De toute manière le psychologue stresser de son cauchemars oublia bien vite ses soucis en admirant la jeune femme...Sans savoir pourquoi, Soka se leva de son siège et adressa un sourire amical à cette inconnue qui venait de faire son entrée.

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Courbée sur le piano, Cho écouta les quelques notes joué par le jeune homme. Ce dernier semblait enfin se détaché de cette instrument noir pour poser son regard sur la belle brune. Normal en même temps, avec un corps pareil, on ne peut que rester fixé sur une beauté pareille. Certains perdent même tout leur moyen.

Mais ne ce n’était pas le cas de notre cher inconnue puisqu’il savaient encore se servirent de ses doigts. Inutile de dire que ce genre de comportement plaisait à Cho. D'une part, parce qu'elle n'aimait pas les petits gringalets à l'air de puceau qui ne savaient pas se servir de leur manche et de leur langue. Et d'autre part, cette petite biatch aimait les défis de ce genre; essayer d'impressionner quelqu'un par son charme jusqu'à ce qu'il en perde la parole et tout ses moyens. Mieux encore, elle adorait exciter les hommes pour qu'ils se jettent sur elle. Mais encore une fois, ces hommes qu'elles prenaient comme proie sont des personnes qu'elle connait, alors qu'ici devant ce piano juste sous la petite lumière de la scène, elle ne connaissait pas le beau mâle assis près de l'instrument.

Il y a tellement d'étudiant à Shimizu, elle ne peut pas connaître tout le monde. Bon après peut-être que tout le monde la connait de par sa réputation. Et ça lui plaisait bien d'ailleurs. Il ne semblait pourtant pas avoir l'age ni la dégaine d'un élève de Shimizu. Mais peut-être se trompait-elle...

« Du talent ? Au piano ? Non… Que fais-tu ici ? euh… »

Il n'avait pas tort. Jouer "do-ré-mi-fa-sol-la-si-do" ne révélait pas d'un grand talent. Tout le monde savait le faire...du moins au piano. Cho interpréta ce "euh..." comme un "Je ne connais pas ton nom. Tu t'appelle comment ?" Je pense qu'elle avait raison. C'est donc avec un murmure assez fort pour qu'il puisse l'entendre qu'elle termina sa phrase :

« ...Cho. »

Juste Cho. Ni plus, ni mois. Cela suffisait amplement. Il ne faut pas lever le voile sur le mystère tout de suite. En parlant de mystérieux, le jeune homme se leva de son siège et adressa un sourire à Cho. Elle lui rendit, politesse oblige. Et puis il faut dire qu'il avait un joli sourire alors le sien se fit presque automatiquement.

Elle contourna le piano pour se rapprocher du joli damoiseau de sa démarche aguicheuse et se retrouva sous la lumière du piano. Elle s'assit sur ce dernier, plus séductrice que jamais. Elle était assez proche de lui pour son index de balade sur sa joue en ajoutant :

« Je voudrais aussi mettre un nom sur ce joli minois. »

Elle retira son doigt, croisa les jambes et mis ses mains sur celles-ci. Quand tout à coup, la lumière qui éclairait ce petit bout de la pièce s'éteignit. Tout deux se retrouvèrent dans la pénombre.

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Sans aucun doute, cette jeune fille savait se faire mettre en valeur de par sa démarche plus que séduisante, tout comme son apparence en général d’ailleurs. Elle se prénommait donc Cho. Le psychologue ne pu s’empêcher de sourire a l’entente de ce prénom. Ce n’était pas banal, avouez le…Quoi qu’il en soit, la jeune demoiselle s’approcha de Soka, assez prés de lui pour pouvoir faire balader son index contre la joue de celui-ci. Elle avait la peau douce en plus de son apparence phénoménal, mais cela ne fit pas réagir le faux pianiste pour autant. Elle s’assit ensuite sur le piano, croisa ses jambes et posa ses mains sur ses genoux. L’être féminin par excellence en sommes.

- Je voudrais aussi mettre un nom sur ce joli minois.

-Soka.

Que dire de plus ?
Soka était connu en tant que psychologue dans ce bahu certes, mais en tant que Nemura… Allez savoir pourquoi, notre ami n’avait aucune envie d’informé la jeune demoiselle de sa profession pour l’instant. La familiarité de Cho le plaisait bien et s’il lui disait tout dés maintenant elle changera surement d’attitude donc inutile d’en dire plus pour l’instant. Ce n’est que quelques instant après que les deux jeunes gens fassent leur présentation que la lumière qui éclairait le piano et donc nos deux protagoniste s’éteignit laissant place à une obscurité à peine présente mais néanmoins agréable. Un court silence s’était aussi installer dans cette vaste pièce qu’était la salle de spectacle et sans trop se posé de question, le jeune homme approcha ses lèvres contre celle de sa partenaire. Ne cherchez pas la cause de ce baisé, il se fit c’est tout. Le psychologue n’avait pour l’heure aucune intention perverse, l’ambiance sereine et l’apparence agréable de l’étudiante y était certainement pour quelques choses mais rien n’expliquait vraiment ce baisé. Gêner de son acte soudain, Soka reprit la parole d’une voix théâtrale :

-Euhm…Cho, oh Cho ! Pourquoi es tu Cho ?

Soka, Oh Soka ! Pourquoi es tu aussi con !?!
Inutile de vous précisez que notre psychologue maladroit attendait la tarte monumental arriver aussi, il ferma les yeux un court instant histoire de ne pas voir la gifle percuté sa pauvre joue qui attendait le châtiment suprême… Curieusement, rien ne se passa. La salle était toujours aussi assombrit que tout à l’heure et la joue de notre psychologue était intacte…Se serait elle échappée apeurer par l’acte soudain de notre ami ? Nemura ouvrit un œil pour vérifier tout cela…Elle était toujours là, assise sur ce piano qui se fondait dans l’obscurité. Le temps d’avoir fermé les yeux…Soka avait pris le temps de repensé aux lèvres pulpeuse de sa protagoniste…S’il devait être punis pour ce baisé…c’était sans aucun regret ! A recommencer si nécessaire !

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C'est comme si c'était fait exprés. La lumière s'éteint, les protagonistes se retrouvent alors seuls (oui, je sais ils étaient déjà seuls..) dans le noir. Un noir auquels leurs yeux ont du mal à s'habituer au début. Cho, toujours assise sur son piano les jambes croisées. Ne croyez pas que parce qu'on ne la voit plus, elle baisse les bras, sort son ventre et se cure le nez. Oh que non ! Cette petite biatch veut être belle dans n'importe quel moment, même si ce n'est pas nécessaire. Allez savoir pourquoi...Dans la pénombre, elle n'apperçoit pas son sexy Soka. Le silence reigne et Cho se demande même s'il n'a pas pris la poudre d'éscanpette. Oui parce que beaucoup d'hommes ne se sentent pas de taille ou trop timide avec cette jeune femme, alors elle a l'habitude de voir les jeunes gens prendre la fuite devant elle. Enfin, cela ne l'effrait pas, elle trouve même ça normal.

On dirait un moment de deuil tellement ce silence est pesant. Mais Cho ne dit pas un mot car elle imagine tout simplement ce qu'elle pourrait bien lui faire dans cette pénombre. Elle hésite aussi. Ca ne se fait pas. Mais qu'est-ce qui ne se fait pas ? Eh bien, profiter de la coupure de courant pour embrasser un homme dont elle ne connait que le prénom. Ou bien descendre du piano, prendre le dessus et retourner l'inconnu sur l'instrument pour lui déboutonner sa chemise.

Mais pas le temps d'imaginer une autre scène. Voila que Soka lui donne un baiser.

*Mais c'est mon idée ça!*

Et bien, et bien...Aurait-elle à faire à son égo masculin ? Un peu surprise de ce geste, elle ne sait pas quoi dire. A vrai dire, elle ne l'imaginait pas du tout comme ça. Son charme a apparement oppéré. Autre solution : il est soul. Il ne savait pas dans quoi il avait mis les pieds en faisant cela. L'assaut était lancé, c'était comme un signe pour Cho. Elle continua de se taire et écouta attentivement les paroles de l'homme en face d'elle, qu'elle pouvait maintenant apercevoir un peu plus, ses yeux s'étant habitués à la pénombre.

Cho resta assise quelques instants. Non, elle ne réfléchissait pas à ce qu'elle aller faire. Elle le savait déjà. Elle voulait juste attendre que Soka ne se sauve pas. Il était bien décidé à rester là. Alors Cho descendit lentement du piano et se retrouva debout, face au grand brun ténébreux. Elle lui pris sa main, puis son doigt et mit ce dernier entre ses lèvres. Elle commença à faire des va et vient dans sa bouche chaude, enroulant sa langue autour de l'index de sexy Soka. Serrant plus fort ses dents pour monter et descendre le long de son doigt, elle le mordillait de temps en temps. Il n'imaginait même pas ce qu'elle pourrait faire avec un engin plus gros. Elle s'arreta lentement, souffla de l'air frais sur la peau et tout en ne lachant pas le morceau qu'elle avait dans sa main et lui sussurra :

« Renie ton père et abdique ton nom ; ou, si tu ne le veux pas, jure de m'aimer, et je ne serai plus une Capulet. »

Elle l'entraina alors sur le piano grâce au doigt qu'elle n'avait pas lacher. Tout deux debout sur l'instrument noir, ils se rapprochèrent. Cho vint lui donner un baiser à son tour, trouvant sans difficulté la bouche de Soka comme si c'était inné de faire ce genre de chose même dans le noir. Elle passa ses mains dans ses cheveux mi-longs. Comme elle aimait faire ça.

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La jeune étudiante n’avait donc pas bougé d’un poil depuis le baisé inopiné de notre ami. Tout le contraire, elle se leva pour faire face au psychologue et attrapa sa main. Le contacte était très agréable. Des mains douces et à peine froide… Elle prit l’index de Soka et le mis dans sa bouche. A cela, le psychologue ne pu s’empêcher d’écarquiller les yeux, il n’était pas sur à cent pour cent de ce qu’il voyait mais pour ce qui était de ce qu’il sentait ça ne faisait aucun doute. De sa langue et de ses dents, elle jouait avec le doigt de Nemura qui n’y croyait toujours pas. Il en venait même à se demander s’il ne se l’était pas vraiment pris cette gifle et qu’à la suite de cela, il serait en train de rêver évanoui. Mais non… Les sensations étaient bien là et le désire de donner la réplique à sa protagoniste comme il se le fallait l’était tout aussi bien. Elle retira l’index du jeune homme de sa bouche, souffla sensuellement dessus et lui murmura avec une sensualité sans égale :

-Renie ton père et abdique ton nom ; ou, si tu ne le veux pas, jure de m'aimer, et je ne serai plus une Capulet.

Le jeune homme ne répondit aucunement à la réplique de sa partenaire, il se laissa plutôt guider vers le piano. La contraste de la salle n’avait pas changé mais le regard du psychologue vis-à-vis de l’étudiante grandement. Tout comme sa partenaire, il s’approcha d’avantage et accepta le baisé de Cho avec envie. La belle passa ses mains sur ses cheveux mi-longs n’encombrant plus son corps et fit par la même occasion ressortir ses formes. Il faisait sombre, mais le regard du psychologue commençait à s’habitué à l’obscurité de la salle de spectacle. Sa main droite était désormais libre et les choses étaient devenues claire pour nos deux jeune gens. L’homme rapprocha ses lèvres contre le cou de la demoiselle et ses mains se mirent toutes deux en contactes du corps de l’étudiante. L’une sous le dessus mettant sa main directement au contacte du dos nue de sa partenaire, l’autre sur ses fesses soulignant le désir de jouer les noces de Roméo et Juliette qui n’eurent hélas jamais lieux. Le fait d’avoir la sensuel Cho contre lui ne faisait qu’accentuer son excitation. Il mit ses mains en mouvement et fit sentir l’emprise qu’il avait sur la jeune étudiante. Ses lèvres, quand à elles effleuraient et soufflaient avec irrégularité le cou de la jeune demoiselle. De temps en temps il déposait quelques baisé discret sur celui-ci avant de finalement lui lécher ce même cou montant progressivement vers son oreilles pour la lui mordillé. Après quelques instants, il dégrafa de l’intérieur le soutien gorges de la demoiselle en descendant du même instant son autre main sous la jupe de l’étudiante. Contre son entre jambe pour être plus précis. Il caressa de son index et de son majeur le sous vêtement de sa partenaire avec délicatesse. L’envie d’être plus brute avec elle le brulait de l’intérieur mais sachons rester classe. Nous sommes aux théâtres voyons !

-A parti de maintenant, peu importe ce qui se passera, qui viendra ou quel son suspect se manifestera… Je te désire et compte bien vivre ce moment sans aucune interruption.

Ses paroles se prononcèrent entre deux mordillements d’oreille. Une fois les choses à dire dite, il passa sa main sous son sous vêtement. Il était désormais directement en contacte avec la partie intime de sa partenaire… Sa chemise et ses vêtements en général commençaient peu à peu à devenir une gêne pour lui, de même que les vêtements de sa protagoniste d’ailleurs…

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Le pseudo pianiste réagissait tout à fait comme Cho le souhaitait. L’excitation, la tentation, la chaleur de leur corps, leur langue qui jouait entre elles, tout était bien partie pour nos jeunes gens. La jeune donzelle était à présent collée contre notre cher Soka. Mon Dieu, quelle aimait ça ! Il y en a qui sont accro à la drogue et qui ne peuvent vivre sans. Cho, elle, ne pouvait vivre sans avoir de relations sexuelles. Pourquoi ? Comment ? A cause de qui ? Personne ne le sait. Mais tout le monde est au courant qu’une tigresse avec un gros appétit sexuel se cache derrière cette bouille d’ange. Elle adorait être aimée et désirée et sentait bien qu’à cette instant le jeune homme en face d’elle ne voulait qu’elle. Taeko se laissa faire, faisant onduler son corps aux mouvements de mains du beau brun. Il ne se gêna pas pour lui dégrafer son soutien-gorge et commença à donner chaud à notre petite Cho quand il caressa ses parties intimes à travers sa petite culotte. Sans trop de gêne, elle ne retint pas quelques petits gémissements de plaisir.

Il continuait de lui mordiller l’oreille en lui disant des mots doux. Juste ce que voulait entendre Cho pour être sûr qu’il se passera bien quelque chose entre eux dans cette pièce. Tant bien que mal malgré les attouchements de son partenaire, elle ouvrit sa chemise bouton par bouton. Entre baisés dans le cou, mordillements d’oreilles, et baisés langoureux, Cho descendit la chemise de Soka le long de ses bras jusqu’à ce qu’elle tombe sur le piano. Cho avait chaud et était bien décidée de faire passer un bon moment au pianiste déprimé. Elle commença à titiller son téton droit, tantôt le suçant, tantôt donnant de grands coups de langue. Parallèlement, de ses mains expertes, elle déboutonna le pantalon de l’homme en face d’elle avant d’ouvrir sa braguette. Une fois la chose faite, sa bouche et tout son corps descendit le long de son torse. Elle lui bisoutait, lui mordait, lui léchait le torse au fur et à mesure qu’elle s’abaissait, jusqu’à arrivé au caleçon de Soka qu’elle s’empressa d’enlever aussitôt.

Son sexe, déjà dur ne donnait qu’une seule envie à Cho ; le mettre en bouche. C’est avec délicatesse qu’elle le mit une fois en bouche avant de le prendre en main et de lui titiller le gland de sa langue chaude. Le bout, les contours, tout y passait. Elle ne manquait pas de faire des vas et vient avec la même main qui maintenait fermement la verge longue, dure et chaude. Apres quoi, c’est dans sa bouche que le sexe fit des vas et vient toujours à l’aide de sa main. Mélangeant des vas et vient rapides et lents, elle aimait aussi enfoncer le manche au fond de sa gorge pour donner encore plus de plaisir à Soka. Cho devait aimer ça au moins autant que le mystérieux jeune homme, aussi quand elle avait son sexe en bouche des petits gémissements de plaisir se faisait entendre dans la salle en plus de ceux de Soka. Quand à sa petite culotte, elle était déjà mouillée.

Quand elle décida de s’arrêter, elle se releva lentement le long du torse de son partenaire en posant sa langue par-ci, par-là. Elle avait toujours sa main sur la verge de Soka et pour continuait à l’exciter, elle ne cessa pas de la lui caresser en n’oubliant pas ses testicules, parties intimes très sensibles. C’est dans un murmure, après lui avoir mordillé l’oreille qu’elle dit d’une voix sensuelle :

« Je te prends au mot. Quand à toi, prend-moi tout entière. »

Sa bouche se rapprocha alors de celle de Soka pour lui donner un baiser doux et langoureux comme elle en avait le secret. Toujours avec cet air de petite salope, elle le fixa tout en descendant sa petite culotte rouge le long de ses jambes.

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A cette partie des festivités, inutile de vous précisez que l’excitation était à son plus grand comble. Encore ce matin, Soka ne se voyait pas finir la journée intacte et voila qu’une déesse au corps de rêve vienne l’aborder et lui offre un stage pour le septième ciel. Bref, le rêve à l’état pur, le rêve de tout homme. Le paradis en sommes… Les frissons s’enchainaient, les caresses et les surprises de même. Le psychologue envahit par le bonheur se laissa volontiers faire en échappant tout de même quelques gémissement de plaisirs. Cette jeune fille savait ce qu’elle faisait et elle le faisait à la perfection. Ce n’est qu’après quelques murmures et léchouille en tout genre que l’étudiante se remit au niveau de celui de son psychologue. La main toujours sur le sexe du jeune homme elle ne cessait de le caressé. Frissonnant de plaisirs Nemura ferma les yeux un instant et écouta les murmures de sa partenaire avec désirs. Entre deux mordillements d’oreille, elle prononça :

-Je te prends au mot. Quand à toi, prend-moi tout entière.
-Inutile de me le demander…

Le psychologue répondit de telle manière à sa partenaire avec une pointe d’humour. A ce niveau, les mots lui semblaient tellement facultatifs. L’envie de passer à l’acte ne le démangeait plus, il l’a possédait. Prenait ses paroles comme au premier degré car à peine avait elle prit le temps d’embrasser l’homme qu’il s’approcha d’elle avec une envie folle… Le regard de Cho l’avait totalement envahit. Non ce n’était pas de l’amour. Juste un désir unique…Un désir qu’il s’était surpris à crée pour cette personne et ce en si peu de temps.

Cho, la pulpeuse.
Cho, la sensuelle.
Cho, la manipulatrice.
Cho, la désirée...

Une personne du rang de notre psychologue se diviserait en deux catégories de gens. D’un cotés ceux qui profiteront de la situation en essayant de viré la chose au chantage pour garder l’ "exclusivité". Ensuite ceux qui se dégonfleraient. Mais Soka n’était d’aucun de ce genre là. Considérez qu’il se situait entre ces deux types là. Le genre de personne à prendre ce qu’il trouvait en face de lui… La philosophie du si la vie te tourne le dos. Touche-lui le cul !

Et en parlant de postérieur… Celui de l’étudiante était désormais totalement dénudé de tout tissu et le psychologue s’était totalement dévêtue. Il s’approcha des lèvres de la demoiselle et l’embrassa une dernière fois avant de lui retiré le haut ainsi que le soutien déjà dégrafé. La voila qui était totalement nue… Comme dit précédemment un corps de rêve. Une poitrine des plus imposante et des courbes qui ferait envié n’importe quel model au monde. Un pur chef d’œuvre de la nature pour résumé le taux de compliment.

La salle était toujours aussi mal éclairée que le pianiste d’une journée prit délicatement la main sa partenaire à fin de la dirigé un peu plus prés du piano histoire qu’elle puisse prendre appuie. Ceci fait, il fixa la jeune demoiselle et approcha son sexe de la partie intime de sa partenaire qui avait nettement exprimé son excitation de par son humidité. Un soupir après l’observation, il pénétra la jeune demoiselle avec une certaine délicatesse, fermant les yeux un moment pour mieux ressentir les sensations. Avançant son bassin, il exprima le bien que ça lui procurais par un petit gémissement avant d’approcher sa bouche vers la poitrine de Cho qu’il s’empressa de mordillé et de lécher avant de monté à hauteur de son cou, Tout en continuant le mouvement, en l’accentuant un moment, puis en ralentissent. D’un murmure discret il dit :

- Exprime-toi, et montre-moi ton plus beau show…

Le spectacle pouvait désormais commencer, le psychologue enfonça totalement son sexe en la jeune femme aux atouts spectaculaire et commença la série de vas et viens. Les frissons s’étaient totalement emparés de notre jeune homme. Une chaleur le traversait et les parois qui frôlaient la partie intime de Nemura lui donnaient un avant gout pour le paradis. Le mouvement variait, lent au dépare, rapide ensuite et une rebaisse… C’était le bonheur le plus total. La poitrine de Cho bougeait au rythme de son partenaire, tout était synchrone et excitant de seconde en seconde. Les deux corps se laissaient guider par la pièce improvisé qui n’aurait sans doute jamais du avoir lieux entre ces deux là mais qu’importe… Seul le désire et la jouissance semblaient être les acteurs de ce second acte. Un bonheur alléchant, une scène que n’importe quel homme normalement constituer voudrait jouer.

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