Et Paf !!! Dans le nez !

[j'ai jamais était très douer pour les titres hein u_u"]

Le temps est un grand maitre, le malheur c'est qu'il tue ses élèves...

Frigorifié, Chimic pénétra dans le bâtiment en se frottant les mains. Bon sang il n'avait jamais vu un hiver comme celui ci... Les gens du squat devaient vraiment gelé sur place, à moins qu'ils aient réussit à faire du feu... Et encore, avec la neige qu'il y avait ce n'était même pas sur le que le feu dure ne serait-ce qu'un petit peu... Chim' longea le couloir jonché de casier jusqu'au sien qu'il avait prit dès le début d'année. Il avait à présent une heure de détente avant les cours mais, en élève à peu près model, il préféré prendre ses affaires pour le cour suivant maintenant avant de les oublier. Tête en l'air comme il l'était, sa n'aurait rien eu d'étonnant. Mais mieux valait ne pas faire mauvaise impression dès la première semaine, cela aurait été purement idiot de sa part.

Lorsqu'il ouvrit son casier, il regarda furtivement les photos déjà collé sur la porte, des photos de lui avec ses anciens amis et avec ceux qui pour lui demeuraient sa vraie famille. Le rouquin prit donc le nécessaire pour son prochain cour et referma le casier, non sans se coincé le petit doigt à l'intérieur... Soufrant en silence il ne fit que grimaçait. Ce qu'il pouvait être maladroit en se moment... Le couloir était plein à craquer d'élève qui rentrait ou qui sortait de cour, de professeur et de surveillant qui criait pour mieux se comprendre. Bref c'était le bordel complet et Chim n'arrivait même plus à faire un pas sans se faire bousculer. Abandonnant l'espace d'un instant, il s'adossa à son casier et attendit un instant.

Petit à petit, le monde partit malgré quelques résistants qui ne voulaient apparemment pas aller en cour se matin. Si il voulait sécher les cours à l'extérieur, Chimic espérait pour eux qu'ils avaient du sang d'Esquimau dans les veines... Le rouquin soupira et longea la rangé de casier sans faire la moindre attention au comment du pourquoi. Résultat ben... BAM !!! Il venait de se prendre violemment la porte d'un casier en pleine figure. Cette fois sa douleur ne fut pas silencieuse et il poussa un couinement qui lui était propre. Une sorte de « oï » bizarrement prononcé. Son nez en avait prit un sacré cou mais Chim était solide et la douleur allait vite disparaître. Si il y a une habitude qu'on ne perd pas c'est celle là...

« Aï... Désolé... »

Je parle de cette habitude là hein ! Vous savez celle de s'excuser pour un rien alors que c'est même pas de sa faute ! Et bien Chimic était le prince sinon le roi du pardon automatique. Il avait tellement dut s'excuser pour un rien par le passé que maintenant ça lui sortait tous naturellement. Il bougea légèrement son nez qui heureusement n'avait pas grand chose si ce n'es un léger picotement du coté droit. Il daigna enfin regardé la personne qui avait enfoncé littéralement la porte de casier en pleine poire. C'était une femme qui bien que grande était plus petite que lui, et il comprit aussitôt pourquoi. Ses yeux inexpressifs étaient ceux d'une aveugle. Il en avait tellement croisé lorsqu'il était plus jeune que ça lui paraissait maintenant tous naturelle... Toujours en train de bouger son nez il parla alors d'une voie plus qu'étrange ( celle qu'on a lorsqu'on se bouche le nez ^^ )

« Désolé j'pas fais gaffe... »

Le froid, toujours rien que le froid dans cette longue saison, l'hiver, pourquoi fallait-il que l'hiver soit aussi long ? Ne pouvait-il pas racourcir de temps à autre ?
Kohana s'était réveillée de bonne heure, son réveil, programmé pour dire l'heure dit plusieurs fois : 7h25-7h25-7h25. Kohana c'était alors levée, avait pris sa canne blanche et se dirigeait vers la cuisine, agitant sa canne sur le sol, au ca sou quelque chose trainerait. Arrivait à la cuisine, Kohana ouvrit la porte du frigo à tatons, puis passat ses doigts sur les petites boites ou plusieurs pois en reflief indiquaient le contenu, elle saisit la boite de ramen et les avala quasi cul-sec. Puis, se redirigeat dans la chambre, cherchat à taton la comode, l'ouvrit et "fouillat" à l'aveuglette quoi se mettre, elle sortie un jean qui, vue la texture, devait être délavé et noir, et oui, tout les jeans on une texture différente, et vu son hanidcape, elle avait appris àr econnaitre ces différentes textures. Alors elle enfilat le jean et cherchat un haut, elle tombat sur un pul en laine bleu clair, assez saillant mais très confortable. Elle l'enfilat en prenant bien soin de ne pas se tromper de côté, l'étiquette derrière, une des premières leçon de sa mère, l'étiquette, jamais devant, toujours derrière. Kohana sourit à se souvenir, sa mère lui manquait mais elle ne voulait pas vraiment ce l'avouer, elle se trouvait grande et prète à trouver s aplace dans la vie active, une vie active qui n'acceptait pas les gens différents, les noirs, les juifs, les muets, les sourd, les aveugles... Une fois qu'elle fut habillé, elle se dirigeat vers le salon et cherchat son sac, à quatre patte, la meilleure manière pour ne pas trébucher. Une fois son sac trouvé, elle se dirigeat vers la salle de bain, saisit le peigne, sur le rebord du lavabo et passat un rapide coup de brosse, elle n'avait aucune idée de la façon dont étaient ses cheveux, elle savait juste qu'ils étaient blond et très doux, toujours cette histoire de texture, de toucher.

Kohana sortie de l'apartement, un manteau la protégeant du froid qui frappait et fouetter les gens, son sac tenant par une lanière sur son épaule, sa canne a la main droite elle se dirigeat vers le lycée, ceci était son troisième jours, elle avait donc mémorisée le parcour et arrivat au lycée en 30 minutes, à pied.
La jeune fille franchit les grilles et entra dans le hall, remplit de casiers, elle frollat les casiers de la main, comptant les casiers pour arrivait au sien, le numéro 15. Elle cherchat la clé et mit un certain temps à trouver le trou ou il fallait l'entrée, elle fit tourner la clé et entendit le clic indiquant qu'il était ouvert. Kohana cherchat et toujours grace aux points en relief, elle trouvat facilement ses affaires. Quand soudain, un grand boum surgit, la jeune fille, ayant pris peure, sursauta et laissat échapper un cri, que c'était-il passait, Kohana retournat sa tête dans tout les sens pour essayer d'entendre d'ou provenait les gémissement. mais ce n'est pas facild e trouver quand vous ne voyez rien, quand tout est noir...

« Aï... Désolé... »

Kohana se retournat et touchat autour d'elle pour savoir d'ou venait le son, elle se rendit alors compte qu'un étudiant avait cogner dnas la porte de son casier, elle le refermat et se tournat vers le jeune homme.

« Désolé j'pas fais gaffe... »
-C'est plutôt moi, qui devrait m'excusez, c'est a cause de moi que vous vous êtes cogner...je vous prie de bien vouloir accepter mes plus plate excuse !

Kohana sourit, enfin elle fit le mouvement pour sourire, après, ce qui en ressortait, elle n'en avait aucune idée...Puis, jugeant que tout était réglé, elle saisit sa canne et prit le chemin de l'escalier, elle entendait les gesn autours, discuter, par exemple, un groupe de fille discutait d'un garçon et un autre se moquer du jeune homme qui venait de se prendre la porte de son casier, Kohana eut honte, honte d'avoir causé du souci a se jeune homme, l'année commençait bien...Kohana n'avait à peine fait que quelques pas, 4 tout au plus qu'elle sentit quelque chose choquer contre ses pieds, elle perdit l'équilibre et sentit son corp percuter le sol de plein fouet, tout autour elle entendait les lycéens peu à peu commençait à éclater de rire.
Puis elle entendit quelqu'un dire:

-Et ben alors, l'aveuglette, on sait même plus ou mettre ses petits pieds ? Ta canne elle te sert à quoi ?!

Kohana comprit alors que le jeune homme qui venait de dire ces phrase lui avait fait volontairement un croche-pied, mais que pensait-elle ? Que tout allait changer en changeant de lycée ? Qu'espèrait-elle ? Qu'on la traite normalement ? Quelle piètre espoir pour une aveugle. Kohana sentit alors des larmes lui piquer la gorge, des larmes qu'elle avait retenu pendant 5 longues années, elle sentit alors les larmes frolaient ses yeux inertes et couler sur ses joues. La jeune aveugle ne bougeat pas, elle était épuisé, blessé, elle n'avait à proprement aucune blessure physique mais moralement, elle venait de s'en prendre un grand coup.

Vous ? Vouuuus ??? Elle venait de le vouvoyer ? Pour le coup il faillit éclaté de rire, c'était bien la première fois que quelqu'un de son âge le vouvoyer... Il esquissa un sourire amusé et entendit sans trop le vouloir un groupe de personne se moqué de lui, mais croyez moi, ce n'est pas ça qui le choquera... Pour toute réponse à ses moqueries il leur tira une langue percé suivit d'un « fuck » discret. Mais alors qu'il voulut repartir, il entendit un grand choque et se retourna violemment pour voir la jeune aveugle le cu à terre complètement désemparé. Il s'apprêta à l'aider lorsqu'il entendit cet voie si acerbe et ses paroles si blessante prononcé par un jeune homme qui faisait presque 1 tête et demi de moins que lui. Chimic ne put pas se retenir, et après tous c'est dans sa nature, et poussa violemment le jeune idiot contre le mur, si violemment que le placo en trembla. Il l'agrippa par le col, fixant un regard agressif sur lui.

« Je préfère encore être aveugle qu'avoir des neurones en moins comme toi sombre crétin... Ne t'avise plus jamais de faire se genre de chose ou je peux te jurer que je te castre illico sale gamin... »

Plus un seul bruit ne se fit entendre dans les couloirs et le jeune garçon, sans doute tétanisé, n'osa même plus dire un mot. Chimic le lâcha et les chuchotements reprirent doucement, des chuchotements le concernant mais dont il se fichait éperdument. Des rumeurs allaient certainement bientôt circulait sur lui, ça il en été sûre. Des rumeurs comme quoi il était violent et qu'il fallait pas s'approcher de lui, mais d'un coté, ses rumeurs l'arrangeait un peu. Au moins on ne l'embêtait pas... Il se retourna vers la jeune fille dont le visage était baigné de larme et Chim se dirigea vers elle, subitement radoucit. Il la prit gentiment sous les bras et la releva sans vraiment lui demandé son avis. Mais d'un coté, si elle voulait pleuré, autant que ce ne soit pas devant tous le monde.

« Suis moi, fait moi confiance. »

Ce n'était peut être pas des mots très intéressant, mais il ne pouvait pas la laissait seule en plein milieu du couloir, même si elle lui avait littéralement jeté son casier en pleine figure !!! Il prit doucement son bras et l'emmena plus à l'écart. Ils arrivèrent vers un escalier quasiment vide, seul deux ou trois professeurs passaient, les regardant bizarrement.

« Il y a un escalier juste en face où tu peux t'asseoir, de toute manière je ne pense pas que se soit une bonne idée pour toi d'aller en cour maintenant... »

Il ne lui proposa pas son aide, connaissant la fierté qu'avait les aveugles à tous vouloir faire tous seul. Chim attendit juste qu'elle soit assise pour pouvoir s'asseoir à ses cotés.

« Tu sais, ses mecs là ne valent pas la peine d'avoir ton attention, ils ne valent même pas de vivre si tu veux mon avis... »

Si il y avait bien quelque chose que Chimic détesté, c'était bien le fait de voir pleurer des gens à cause d'idiotie d'autre personne. Si la menace de son changement de famille d'accueil n'avait pas était là, ce crétin n'aurait certainement pas fait long feu... Chim ne connaissant que trop bien se genre de situation, lorsqu'on t'insulte pour des choses que tu n'a pas le pouvoir de changé, lorsqu'on se moque de toi pour des idioties, il détestait que quelqu'un le subisse et en pleure par la suite...

Kohana était assise au sol, ele n'avait aps vraiment conscience de sa position, tout ce qu'elle savait c'est que ses jambes étaient allongés et que ses mains la retenait de s'allonger totalement au sol. Puis tandis que les rires perpétuaient et que les larmes continuaient de coulées, Kohana entendit soudain un gradnf racas, elle sursauta et tournat la tête de tout les côté, tentative inutil vu qu'elle ne voyait rien et que d'un seul cou, il n'y es plus aucun bruit.

« Je préfère encore être aveugle qu'avoir des neurones en moins comme toi sombre crétin... Ne t'avise plus jamais de faire se genre de chose ou je peux te jurer que je te castre illico sale gamin... »

Kohana reconnut illico la voix, c'était celle du jeune homme qu'elle avait blessée avec sa porte de casier, bien sur, elle était différente, il ne se bouchait plus le nez, alors bien sur Kohana peut éxaminer les pigmentation de la voix, puis elle fut comme réchauffait infinement grace aux paroles du jeune homme. Elle avait encore plus honte d'avoir enfonçé sa porte de casier dans la figure du jeune étudiant. Puis, toujours en silence, j'entendis de léger gémissement, de peur...les chuchotements recommencèrent et Kohana entendit quelqu'un s'approcher d'elle. Puis, tout à coup elle sentit quelqu'un la relevé, elle n'eut pas la force de lutter, a bas sa fierté, elle était fatigué, fatigué de cacher qu'elle était malheureuse, fatigué de cacher qu'elle souffrait de son manque visuel, fatigué...alors elle se laissat entrainé vers un endroit totalement inconnue de la jeune fille, étant donne qu'elle était totalement déboussolé, elle aurait pu se perdre dans le hall...

« Il y a un escalier juste en face où tu peux t'asseoir, de toute manière je ne pense pas que se soit une bonne idée pour toi d'aller en cour maintenant... »

Peut-être était-ce vrai, peut-être que je pouvais lui faire confiance, mais qui sait ? Tout les humains ne se ressemblaient-il pas ? N'étaient-ils pas tous des hypocrites et des égoistes ? Peut-être bien que non, peut-être que sur Terre, des gens pouvaient être gentils et avoir de la compassion...surement que oui, car Kohana venait d'en rencontrer une. Elle sentit son corp s'affalait sur les marches, d'une froideur inssoutenable, mais Kohana allait mettre son mal en patience, au moins, elle n'était plus là-bas, au milieu de ce hall, sous les rires de ces imbéciles sans cervelle, aveugle de ce que peut-être la douleur mental, eux...ils étaient aveugles...

« Tu sais, ses mecs là ne valent pas la peine d'avoir ton attention, ils ne valent même pas de vivre si tu veux mon avis...>>

Kohana restait silencieuse, il parraissait gentil, Kohana savait qu'elle attachait sa confiance trop vite aux gens mais elle avait envie de faire confiance à son "sauveur". Elle se tournat alors vers la direction d'ou émaner la voix et dit:

-Je vous remercie d'avoir pris ma défence, je ne sais pas comment je m'en serais sortie si vous n'auriez pas était là...je sais que c'est un peu déplacé mais puis-je ?

Kohana levait ses mains pour touché le visage du jeune homme, savoir qu'elle était son visage, pouvoir au moins ce le représenter. Kohana n'attendit pas vraiment la réponse et avança ses doigts fins et agiles sur le visage du jeune homme, elle parcourait lentement le visage, passant par son nez, ses yeux, ses sourcils, sa bouche et pour finir, ses cheveux. Au toucher, ils étaient plutôt doux, ils avaient la texture du roux, roux foncé, ou clair, concernant ca, elle n'en avait aucune idée. Puis elle retira doucement ses mains de la peau douce qui recouvrait le visage du jeune homme, puis elle tenta de se représentait le jeune homme, elle y parvint quelque peux.

-Désolée...je ne t'es pas vraiment laissé le choix...j'ai juste une denrière question, comment je suis ? Ma mère m'a souvent que j'étais mignonne mais ca, toute les mères le disent...

Kohana savait que demander autant de choses était risqué et que si sa se trouve, son "sauveur" était comme les autres, idiot, egoiste et totalement dénoué de cerveau mais il pouvait également être tout le contraire.

[ Gomen, pas trop d'inspi chui trop naz ^^ ]

-Je vous remercie d'avoir pris madéfense, je ne sais pas comment je m'en serais sortie si vous n'auriez pas était là...je sais que c'est un peu déplacé mais puis-je ?

Encore « vous » ? Décidément soit elle était extrêmement bien élevé soit elle était riche... Et personnellement, Chimic préférait la première idée... Un peux déplacé ? Mais de quoi ? Ce ne fut que lorsqu'il vit ses mains s'approcher de lui qu'il comprit que c'était pour elle, le moyen de s'imaginait les gens. Ce geste lui arracha un sourire amusé, malgré les 3 aveugles qu'il avait connu au squat, aucun d'entre eux ne le faisaient. Sans doute parce qu'il n'en ressentait pas le besoin. Se fut donc avec amusement que Chim se prêta à ce petit jeux qu'il trouvait unique en son genre.

-Désolée...je ne t'es pas vraiment laissé le choix...j'ai juste une dernière question, comment je suis ? Ma mère m'a souvent dit que j'étais mignonne mais ça, toute les mères le disent..

Toutes les mères disent ça ? Ah bon ? C'est possible, il n'en avait aucune conception. Bah d'un coté Noriko, celle qui l'avait élevé et chéri pendant toute ses années lui avait toujours dit qu'elle le
trouvait aussi mignon qu'un petit chaton, c'était peut être ça ce que l'on appel l'amour maternelle. Que Kohana ne s'inquiète pas, ce n'est pas ses questions ou ses gestes qui allait le déranger. Et puis, au final, Chim était difficilement irritable quand on le connaissait bien alors ce n'est pas des questions, qui de plus était légitime, qui allait le gêner. Le rouquin esquissa un sourire amusé avant de continuer.

« Je veux bien te le dire mais à une seule condition... Par pitié ne me vouvoie pas !!! On doit avoir le même âge tous les deux, si ce n'est que je suis peut être d'un an ou deux plus vieux que toi et encore s'pas vraiment sûre... »

Ben oui un petit chantage de temps à autres comme celui si, ça ne pouvait faire de mal à personne... Sans attendre de réponse, qu'il espérait grandement positive d'ailleurs, il poursuivit.

« Et bien perso, je te trouve très jolie, tu as un teint assez claire, tes yeux sont peut être inactif mais ils sont magnifiques ! Ils sont très pâles mais moi ils me font pensé à deux opales ! Quand à tes cheveux blond ils ont un beau volume et ta coupe est vachement bien maitrisé, c'est pas comme la mienne qui part vraiment en cacahouète... Je trouve que tu as un visage de poupée et tous le monde adore les visages de poupées alors je doute sérieusement que quelqu'un puisse se foutre de toi du point de vu de ton physique ! Après le reste, tu as déjà dut t'en rendre compte par toi même, bref globalement je te trouve très jolies et tu n'a rien à envier aux autres filles. Hum... »

Hum ? Tien, mais c'est vrais il ne connaissait pas son prénom ! C'était bien beau de vouloir la consolé mais si ne savait même pas comment elle s'appelait il n'irait pas bien loin...

« Hum... Au faite tu t'appelle ? Parc'qu'on parle on parle mais j'ai même pas pensé à te le demander ! Moi j'ai un nom bizarre je te préviens tous de suite appel moi Chim se sera suffisant ! »

[Sorry, j'ai eu un bug, sa à tout effacer, alors démoraliser TwT]


« Je veux bien te le dire mais à une seule condition... Par pitié ne me vouvoie pas !!! On doit avoir le même âge tous les deux, si ce n'est que je suis peut être d'un an ou deux plus vieux que toi et encore s'pas vraiment sûre... »

Le tutoyer ? C'est sa qu'il voulait ? Et bien si c'était la seule chose qu'il voulait,a lors, Kohana le tutoirais, puisque, désormais, elle le considérait comme un ami, le seul, depuis longtemps, il...il n'était pas du tout comme les autres, bon, bien sur, dans son ancien lycée, des garçons prenaient sa défenses mais pour par la suite, tenter des choses obsenes, de l'embrassait...des choses pour laquel, Kohana se s'en remettrat pas, plus jamais...elle ne faisait pas confiance ouvertement aux autres et se cacher donc derrière ce masque de fille bien élevé, autaine, silencieuse et qui ne s emélange pas à la foule, mais derrière le masque, que se trouvait-il pendant tout ce temps ? Il s'y trouvait une jeune fille tout àfait désemparé, déprimé qui chaque soir faisait des insomnies, insomnies consacrées à pleurer, laisser couler les larmes qu'elle retenait la journée...C'était la seule solution, du moins, qu'elle est trouvée. Donc dès à prouver, elle tutoyrais ce jeune homme, dont elle ne connaissait pas le prénom...

-Bon d'accord ! Je veux bien te tutoyer ! Mais sache une chose, c'est pas parce que tu m'a "sauver" des autres que tu a ma confiance et que je te crorais aveuglement, dans tout les sens du terme.

Et oui, Kohana ne lui faisait toujours pas assez confiance pour croire tout ce qu'il disait, même si au fond, elle le désirait plus que tout au monde, pouvoir faire confiance à quelqu'un, de plus, un jeune homme qui l'aurait aidé et pris sa défense contre l'aveuglement d'autres élèves.
Mais il n'allait pas tarder à répondre à la question de Kohana, pour une fois, dans toute sa vie, elle allait peut être avoir une réponse franche, ce n'était pas trop tôt...

« Et bien perso, je te trouve très jolie, tu as un teint assez claire, tes yeux sont peut être inactif mais ils sont magnifiques ! Ils sont très pâles mais moi ils me font pensé à deux opales ! Quand à tes cheveux blond ils ont un beau volume et ta coupe est vachement bien maitrisé, c'est pas comme la mienne qui part vraiment en cacahouète... Je trouve que tu as un visage de poupée et tous le monde adore les visages de poupées alors je doute sérieusement que quelqu'un puisse se foutre de toi du point de vu de ton physique ! Après le reste, tu as déjà dut t'en rendre compte par toi même, bref globalement je te trouve très jolies et tu n'a rien à envier aux autres filles. Hum... »

COMMENT SA RIEN A ENVIER ?! Kohana sentait une sorte de colère montait en elle, bien sur,c e que le jeune homme avait dit a son sujet était très gentil et Kohana lui était reconnaissant de sa franchie mais là...Kohana se levat d'un bon et criat, bien que seul eux pouvait l'entendre, elle ne parlais pas mais bien crier.

-COMMENT SA RIEN A ENVIER ?? MOI JE VOIS BIEN QUELQUE CHOSE, ELLES, ELLES VOIENTS !!! ELLES PEUVENT SAVOIR A QUOI RESSEMBLE LEUR CHAMBRE, S'IL FAIT BEAU OU MOCHE ! ET TANT D'AUTRES CHOSES QU'ELLES PEUVENT FAIRENT PARCE QU'ELLES VOIENT !!!

Kohana était vraiment énervée ! Elle restait immobile, là, planté, incrusté sur le sol, elle ne bouger plus "regardant" droit devant elle. Sa respiration était rapide, il fallait qu'elle se calme, mais elle était dnas un tel état, de confusion, de colère, de...de quelque chose d'autres, mais quoi ?
Puis elle entendit la voix du jeune homme, juste à côté d'elle, il s'était donc levé, pour al rejoindre...

« Hum... Au faite tu t'appelle ? Parc'qu'on parle on parle mais j'ai même pas pensé à te le demander ! Moi j'ai un nom bizarre je te préviens tous de suite appel moi Chim se sera suffisant ! »

Chim ? Chimère ? nan, ca ne pouvait pas être sa, chimiuzaki ? peut être, peut être pas.
Et tandis que Kohana réfléchissait à l'éventuel prénom de Chim, elle lança:

-Moi, c'est Kohana, Chim...

Kohana réfléchissait puis, sursauta et tandis que la cloche rententait dans tout l'établissement, les classes sortaient à une vitesse folle des salles, emprintant l'escaliers ou Kohana était posté, elle eu à peine le temps de tourner la tête qu'elle fut bouscluer et projetait violement au sol, sa canne voltigeant plusisurs métres plus loin, se fracasant au sol, en deux morceaux. Puis, Kohana, allongée à terre, sentait les coups de pieds que lui doner involonterement mais ele était persuadé que certains l'avaient vu et frappant plus fort juste pour s'auser, Kohana tentait de se relevait mais impossible, ou était Chim ? Que faisait-il ? Etait-il comme ces autres gars, des hypocrites ?
Alors, tandis qu'elle crut que des éléphants lui marchaient dessus, elle tentat de l'appeller:

-CHIM !! CHIM !!! OU est-ce que tu est ?

Des coups de pied, puis d'autres, et encore d'autres, plus qu'un et tout cessat, elle quittat le sol, tandis qu'elle sentait un filet de sang coulait le long de son front, elle était presque en apesanteur ? Nan, elle sentait le corp de quelqu'un qui la portait, est-ce que c'était lui ?

[Je suis désolée désolée, je sais c'est merdique mais je suis totalement dégoutée ! maudit ordi !]