Who are you? [FINIT]

« Kuroi, Lullaby as Lully »

'xxxxxIdentité.

• Âge : 17 ans, le 30 aout. • Classe : 1.B • Lieu de Naissance : Londres. • Statut : Etudiante et serveuse dans le restaurant familiale.

'xxxxxDescription du personnage.

• Description caractérielle :
Comment me décrire...? Pour commencer, je suis une fille active et prête à tout! Ou hyperactive même... Etant serveuse dans un petit restaurant populaire à Nagoya, souvent bondé le week-end, je n'ai que la nuit pour me reposer. Il faut dire que je suis forte de caractère. Je ne me laisse pas abattre aussi facilement et je me relève toujours, même dans les moments les plus difficiles. Courageuse et persévérante, voilà deux bien grands mots que me disent souvent mes parents adoptifs. A chaque fois je hausse mes épaules et je les remercie accompagné d'un petit sourire. J'y peux rien si je veux pas qu'ils soient dans la m*rde quand ils ont besoin d'un bras droit! Ah et aussi, je souris pratiquement toujours... Ben ouais, c'est pas beau les gens qui affichent pas de sourire. [é_è] Bouh les gentils se font n*quer? Eh ben moi, nan [=D]. Et comme vous pouvez le remarquer, je ne suis, mais alors pas du tout, réservée. J'ai du mal à rester toute seule ou parler à personne de ce fait je suis quelqu'un de bien entourée. Il faut dire que moi et les relations amicales, ça me connait! Peu de personnes ne me connaissent pas, que ça soit les plus âgés et les plus jeunes, je suis plus ou moins populaire. Je n'ai pas de quoi m'en vanter, je suis pas ce genre de petite reine qui a sa cour et qui fout la merde en blâmant les petits. Bien au contraire, je suis polie, je pense d'abord aux autres avant moi-même et je respecte les personnes de toutes âges. Je ne suis pas narcissique, je suis simplement réaliste. Je ne suis pas Mademoiselle-je-me-vante-de-mes-qualités. Oui bon j'ai des défauts, l'humain n'est pas parfait... Je suis de nature très gourmande mais très boudeuse. Il m'arrive de bouder parfois... Mon entourage n'aime pas me voir en mode boudeuse, ce qui fait que c'est mon plus gros défaut.
Jamais triste me poseriez-vous la question? Ben malgré ce que vous croyez, il m'arrivait, mais très très rarement, de faire une petite dépression. La cause? Dépression amoureuse. Combien ai-je d'amourettes? Que sais-je... Ce que je sais, c'est qu'à cause du travail je ne pouvais pas passer du temps avec mes amoureux, sauf en cours. Enfin bon, moi qui vais en cours que le soir... Ah ah, que c'est drôle.

• Description physique et vestimentaire:
Etant fille adoptive, je ne ressemble pas à mes parents adoptifs.
Le problème c'est que j'ai acquis certaines parties physiques de mon père, la personne que je hais le plus à mes yeux. Mes cheveux, long environs jusqu'au bas du dos, sont noirs comme les ovipares aux ailes couramment appelé "oiseau" mais qui est précisément un corbeau. Généralement ils sont ondulés mais je les lisses. Je ne les boucles jamais, ils ne sont pas beaux. J'ai jamais aimé mes tifs, mais vu que le noir était la couleur de référence chez les asiatiques... J'aurais voulu faire une coloration, mais vu que ça abîme les cheveux je préfère les brûler au fer à lisser. Mes yeux sont verts, comme ceux de mon père. Je hais mes yeux... Pour cela, je mets des circles lens de couleur noir assortis à mes cheveux. Ma taille? Quelle chance j'ai! Je ne mesure que un mètre soixante trois, a peu près la taille de ma chère mère. Ayant dix-sept ans, je suis plutôt fine. Mes hanches sont formés, mon visage bien ovale, une silhouette svelte... Que demander de plus? Ah oui! De la féminité. Je m'habille très féminin, vous savez? Par exemple, je porte souvent des tailleurs de chez Chanel. Pourtant, cela ne m'empêche pas de m'habiller comme une adolescente banale. Par exemple? Un slim, des chaussures à talons style deux centimètres et un débardeur long genre H&M.
Sinon, j'ai une voix plutôt aigu mais mûre, une forme physique excellente... Bon d'accord, il m'arrive de boire de l'alcool mais occasionnellement, ne? J'ai pas le droit? O_O

• Histoire :
Mon enfance commence par un traumatisme...
Mon père avait empoigné ma mère par les cheveux, l'avait plaqué contre le mur avant de la déshabiller en déchirant ses vêtements et il...

"AAAAAAAAAAAAAAAAH" (criai-je.)

... la violait. J'étais terrifiée, cachant mes petits yeux dans ma crinière noire. Enfaite, je ne fais que décrire ce traumatisme, ce n'est bien plus tard que je connus la notion de "viol". Maman tentait de se débattre. Sa voix était si douce, agréable et sensible qu'elle n'osait crier. Papa lui faisait boire un liquide blanc qu'il rejetait, quitte à le lui faire vomir. Elle était pire qu'un objet... Je ne pouvais rien faire, j'étais si petite, et j'étais si choquée... Je me souvins parfaitement des détails: papa la tirait de partout, mordait sa peau si blanche pour y laisser apparaitre des traces de morsures de couleur rouge, et parfois il la giflait pour qu'elle se calme. Elle souffrait terriblement... Je ne savais pas ce qu'il faisait, j'étais si petite, mais ce qui était sûre c'est qu'il lui faisait du mal.

Mais que faisais-je dans cette famille de fou?
A cette époque là, je m'appelais Lullaby G. Hellgrey. Lullaby Grace, en gros. Pourtant, j'ai beau être une femme, je ne suis pas la grâce incarnée. Je suis née d'un père nommé Josh, le monstre incarné, et de Serenity, la pureté incarnée. Ma mère portait bien son nom... Toujours calme, toujours souriante, même dans les moments les plus difficiles.
Je fus la petite dernière de cette famille. J'ai deux soeurs ainées: Rose et Mary. Rosy, comme je l'aime bien appeler de cette manière, a 3 ans de plus que moi et Mary en a 2 ans de plus. Qui dit dernière dit la plus gâtée? Maman m'aimait plus que tout, voire trop... Quand Rosy et Mary partait à l'école, elle s'occupait de moi et passait pratiquement tout son temps libre pour moi. Les calins, la sieste, les jeux... Pratiquement tout. Du moins, jusqu'à ce que papa rentre du travail aussi. Il suffisait que je dise un mot pour qu'il me gifle et me renvoie dans ma chambre.

C'est en voyant papa violer maman que je ne suis pas allée plus loin qu'une balade main dans la main et des calins lorsque je sors avec quelqu'un. Pour moi, faire l'amour c'est quelque chose mais j'ai toujours l'impression que chez les hommes "faire l'amour" ne veut rien dire car pour eux c'est tout simplement "baiser". Quand un homme me caresse la cuisse, je ne peux m'empêcher de tout briser. Papa a fait un gros blocage dans ma vie... Un traumatisme d'enfance, ça ne part pas comme ça. Quel homme pourra faire attention à mon traumatisme? Qui volera la fleur en moi par amour et non pour frimer?

Mais pourquoi suis-je au Japon? Et plus précisément à Nagoya?
Je ne l'avais pas dit plus tôt, mais mon père désirait plus que tout un petit garçon. Mais je suis née. C'est aussi pour ça que papa me battait plus que les autres.
Tout a commencé un soir... Il rentrait à la maison et se dirigea vers ma chambre, là où il fit mes valises. Etant sur mon lit, je demandai:

-Papa! Pourquoi tu fais mes valises?

Il resta silencieux, me lança un regard sadique et m'attrapa par les cheveux! Un cri aigu et strident sortit de ma bouche! Papa me traina, portant ma valise... Il me fit trainer au sol et dans les escaliers. Je commençais à saigner un peu partout, des bleus se formaient là où j'en avais jamais eu... Il finit par me jeter au sol. Je releva mon visage puis je vis un géant! Il avait des cicatrices sur le visage et la boule à zéro, des yeux rouges et un sourire tout aussi sadique que papa. Je vis sa main s'approcher de mon visage lorsque...

-NOOOOOOOOOOOOOOON! LULLAAAAAAAAAAAAAAAAA'!

C'était maman qui avait crié... Au moment où elle se précipita vers moi, en larme et apeurée, papa l'attrapa et la plaqua à même le sol puis cria d'une voix sadique :

-John, dépêche toi de partir!

John... Voilà comment s'appelait le géant devant moi. Celui-ci m'attrapa par l'avant-bras, avec une force surhumaine, et m'envoya à l'arrière de sa voiture, la tête la première. Un bleu se forma là où il m'avait attraper puis une bosse poussa sur mon front. J'étais apeurée! Tremblotante, fixe, les yeux écarquillés, je ne cessais de regarder la route, me demandant où j'allais...

-Ne t'en fais pas, petite, me dit John. Là où je t'emmène, tu seras plus heureuse et mieux traité.
-M...Mais... Pourquoi m'aviez-vous fait mal?
-Ton père me regardait...

Je compris à ce moment là que mon père n'était qu'un dictateur. John avait beau l'air plus fort que lui, je crois qu'au niveau oral papa était le plus fort. Qu'utilisait-il? Sûrement du chantage, du foutage de gueule, de l'humiliation...

-Enfin bref, reprit John. Ton père voulait que je te tue dans une usine désafecté. Mais un jeune couple ,vivant au Japon, avait besoin d'un ou d'une héritière pour leur petit restaurant familiale très populaire dans un quartier de la ville de Nagoya. La jeune mère ne pouvant pas avoir d'enfant, tu vas aller vivre chez eux et tu vas être traitée comme leur fille. Ne t'en fais pas, ceux sont de vieux amis d'enfance à moi... Ils sont vraiment gentils et ils te traiteront bien.

Sa voix était sereine, avec une pointe de sensibilité. Je ne pus m'empêcher de pleurer! Pourquoi? J'allais enfin vivre une véritable vie de famille et mes blessures allaient disparaitre, mais aussi je n'allais plus revoir maman, ni Rosy, ni Mary... Ma chère mère qui m'a tant chérit durant les moments les plus durs, mes grandes soeurs avec qui je m'amusais le plus souvent... J'avais beau avoir 3 ans, mes souvenirs restaient intacts. C'est fou ce que ma mémoire est bonne et puis au Japon, il faut une bonne mémoire d'éléphant!

Nous arrivâmes une heure plus tard à l'aéroport, nous étions dans les alentours de vingt trois heures. John portait ma valise d'une main, et de l'autre il tenait ma main. Nous marchâmes, jusqu'à ce que nous arrivions face à un jeune couple asiatique. La jeune femme avait un chignon qui tirait bien ses cheveux noirs en arrière, ses yeux de couleur marron foncé étaient bridés et sa peau semblait n'avoir aucun défaut. Une petite taille fine... Oui, elle semblait mesurer dans les un mètre cinquante, voire même soixante... Je ne connais pas sa taille précise. Le jeune homme, quant-à-lui, semblait mesurer une tête voire deux de plus qu'elle mais ils avaient la même couleur de cheveux et de yeux. Il avait une forte carrure, des épaules larges... John leur tendit ma valise, puis la mère s'abaissa à ma taille:

-Tu es blessée de partout... ma pauvre. Pourtant tu as une jolie frimousse... Nous allons prendre bien soin de toi! me dit-elle, d'une voix sereine et douce.

Ce n'était pas pour m'amadouer. Sa voix était sincère! Ce n'était pas une de ces marâtre qui allait vous traiter d'esclave, au contraire! Même mon père adoptif approuva ses paroles en me portant dans ses bras. Je fis un sourire radieux puis je dis au revoir à John en le remerciant mille fois de m'avoir sauvée, puis moi et ma nouvelle famille partîmes pour le Japon et précisément: pour Nagoya.

Les mois et les années passèrent... La langue japonaise n'eut plus aucun secret pour moi. Mais je n'abandonnais pas ma langue natale qui est l'anglais. John venait souvent me voir pour prendre de mes nouvelles. Il venait environs une ou deux fois par mois! Il me disait souvent que plus il venait me voir plus je devenais belle et qu'il avait raison de m'avoir envoyer dans une famille d'accueil au Japon, loin de mon père biologique. Ma vie avait beau être simple, j'étais heureuse. Je m'épanouissais et je vivais tel une enfant comme les autres, sans problème, avec l'amour de mes parents. Mais hélas, malgré ce surplus de bonheur, ma mère biologique et mes grandes soeurs me manquaient... Qu'étaient-elles devenus? Je n'en savais rien...

Mon adolescence se passa normalement... Le soir, j'aidais mes parents à faire tourner leur restaurant. Quand j'avais entre six et dix ans, j'aidais maman à faire la vaisselle et j'aidais à faire le réapprovisionnement, passer la serpillière... Ce n'était que de l'aide, je n'étais pas obligé de faire ces tâches mais vu que peu de personne se ruait pour prendre un poste au restaurant... Et après j'ai pu servir les clients et aider maman à la cuisine. Notre petit restaurant était populaire dans ce quartier de Nagoya! Notre spécialité? Nos ramen fait maison. On faisait pas que ça, mais c'était le plat le plus demandé surtout le soir vers 22h/23h quand je dormais vu que mes parents ne fermaient qu'à minuit mais comme j'allais à l'école, il valait mieux que je me couche tôt!

Ma vie ne s'arrête pourtant pas là! A dix-sept ans, en deuxième année de lycée, un nouvel élève arriva au Lycée Shimizu, le lycée que je fréquentai. Il se nommait Natsuki Azayaka. Etant quelqu'un de très sociable, dès son arrivé je l'accueillis. A peine nous nous étions, nous nous aimions déjà. Je l'aimais vraiment, c'était mon meilleur ami! Plus les mois passaient, plus j'étais heureuse de le retrouver. Le fait est qu'au bout de quelques mois, quand on connait vraiment une personne de sexe masculin, on ne peut s'empêcher de tomber amoureux. Mais est-ce que ses sentiments pour moi étaient réciproque aux miens? Je n'en sais rien... Ayant vécu plusieurs amourettes qui n'ont durées qu'une ou deux semaines, j'avais peur. Peur qu'il me rejette, peur de le perdre...

Malgré la routine, malgré le fait que je sois amoureuse d'un garçon, qu'en advenait-il de ma famille biologique? Qu'était-elle devenue? Je ne sais pas, je ne fais que prier chaque jour afin de les revoir un jour, sauf mon père biologique.

• Raison de votre arrivée à Shimizu : Vivant à Nagoya depuis mes 3 ans, ce fut le seul lycée où je voulais aller lorsque j'eus 15 ans.

'xxxxxAutre.

• Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Plus de 1 an
• Comment avez-vous connu le forum ? je crois que c'était par mon ami gogole x)
• Avez-vous un double compte ? anciennement Ana Ikeuchi, mais il me reste Haru Ogawa x)
• Personnage de votre avatar ? Je sais pas...
• Quel est le code règlement ? Code OK by Aka

MA SŒU-SŒUUUUR ! ♥