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 Ayame Chihiro // Prise 3 [TERMINÉE!]

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MessageSujet: Ayame Chihiro // Prise 3 [TERMINÉE!]   Ayame Chihiro // Prise 3 [TERMINÉE!] Icon_minitimeJeu 10 Juin - 14:17

« Chihiro, Ayame »

'xxxxxIdentité.

Ayame Chihiro // Prise 3 [TERMINÉE!] Iconayame
    Âge : 20 ans
    Classe : //
    Lieu de Naissance : Nagoya
    Statut : Civile, Étudiante à l'Université, Travaille à temps partiel au refuge animalier.

'xxxxxDescription du personnage.


Description caractérielle :
Au niveau du caractère, Ayame est loin d’être la personne la plus banale qui soit.
Non, Ayame n’est pas folle. Elle n’est pas psychotique, elle n’est pas mythomane, elle n’a aucun problème de maladie mentale quelconque. Elle est tout à fait normale et c’est peut-être ce qui fait son charme.

Ayame est une personne qui apprécie la vie. Peu importe si elle est dure, si elle est moche, elle s’en fout. Elle trouve la vie intéressante, et pour elle, c’est tout ce qui compte. En fait, ce qui l’intéresse le plus dans la vie, c’est tout ce qui ne la concerne pas, elle. Elle aime la nature, les animaux, les gens, les insectes. Elle trouve que tout est intéressant, sauf sa propre personne. C’est selon elle la raison pour laquelle elle est la personne qui tient l’appareil photo et non pas celle qui pose devant. En effet, notre jeune amie est une grande admiratrice de tout ce qui se rapporte à la photo. Elle est du genre à trainer son appareil photo partout où elle va, croyant dur comme fer que les souvenirs sont faits pour êtres conservés, et elle a absolument besoin d’une preuve matérielle. Par contre, et ça elle en est fière, elle est une des rares photographes à ne pas adopter un caractère de paparazzi. En fait elle préfère laisser leurs petits vices cachés aux autres et s’occuper de ses propres défauts. Comme dit plus haut, Ayame est aux prises avec une très basse estime d’elle-même. Comme quoi même si elle avait toutes les qualités du monde, elle serait incapable de les reconnaître. Lorsqu’on lui fait des compliments elle se contente d’un petit « Merci » en rougissant. Parce qu’au fond, elle ne sait pas prendre les compliments comme de la gentillesse plus que pour de la pitié. Elle est dotée d’un trait de caractère que tout le monde ou presque possède, l’orgueil. En effet, Ayame ne veut pas qu’une personne soit gentille avec elle simplement par pitié et par dégoût. Pourtant, autant elle est capable de détester la pitié, autant elle est incapable de supporter les commentaires négatifs. Rassurez-vous, pourtant, il n’y a pas que des mauvais côtés chez elle. Ayame est une personne qui, vu sa vision du monde qui l’entoure, est très ouverte d’esprit. Le fait qu’une personne ait un point de vue différent ou une manière d’être qui n’est pas comme la sienne ne la dérange pas le moins du monde. Même qu’elle est du genre à en demander plus, à comprendre ce qui pousse certaines personnes à penser différemment. D’un naturel très conservatrice, elle aime beaucoup le monde –son monde, en fait – comme il est et ne teint pas nécessairement à ce qu’il change. Quoi qu’elle n’est pas contre un petit changement de routine de temps en temps. Une autre de ses qualités est qu’elle sait être très honnête, mais qu’elle connait ses limites. Ce qui veut dire qu’elle sait tenir sa langue lorsqu’on ne lui demande pas son avis. N’étant pas une menteuse de nature, elle se contente d’y aller avec tact et délicatesse. Plutôt gentille et généreuse, elle tient à ce que tout le monde ait droit au bonheur.

En public, Ayame n’est pas la personne qui se démarque le plus, ni celle qui attire le plus d’attention, mais elle évoque chez les gens un mystérieux intérêt qui les poussent à venir lui parler. Comme si son attitude un peu gamine lui donnait un peu de charme. Par contre, elle aime bien mettre son grain de sel un peu partout et même si elle ne parle pas beaucoup, elle sait se faire persuasive. Très douce, très chaleureuse, ce n’est pas la personne qui va s’énerver pour un rien. Par contre, connaissant son caractère, il faut faire attention aux sujets abordés car, comme une brindille, elle peut s’enflammer. Pourtant, la plupart du temps, elle préfère regarder les gens faire leurs prouesses – ou leurs flops, tout dépendant – sans intervenir.

En solitaire, l’activité préférée d’Ayame et de faire de la photo, bien sûr. Pourtant, elle est aussi une adepte de la nourriture et adore faire à manger. À ses heures perdues, elle prend même des cours de cuisine, même si c’est un peu dur avec le lycée et tout. De plus, elle pourrait passer des heures à fixer le plafond, à réfléchir, si elle le voulait. Parce que réfléchir est une autre activité qu’elle aime tout particulièrement. Sur le canapé du salon, dans les escaliers, dans son lit avec la chaîne stéréo qui crache de la musique, sur la terrasse en face de son jardin…Il y a des tonnes de possibilités.

Côté cœur, Ayame est malheureusement un peu malchanceuse. L’intérêt tout particulier qu’elle leur porte ne semble pas être réciproque et en plus, son air naïf n’arrange pas son cas. Souvent, les hommes avec qui elle croit avoir des affinités se retrouvent effrayés par ses ambitions, ses opinions, sa manière de pensez. Les nombreux refus qu’elle a essuyés l’ont donc poussé, en désespoir de cause, à jouer la « désirable ». En gros, sois belle et tais-toi, ça t’évitera d’avoir mal. Elle n’a jamais eu de relation vraiment sérieuse avec un homme et, personnellement, elle ne sait pas si elle tiendrait le coup. Ou si son homme tiendrait le coup. Elle trouve l’amour compliqué, difficile à interpréter et préfère ne pas se prendre la tête. Elle prend ce qui passe, quoi.

Finalement, côté goûts, elle est quelqu’un avec une large palette de goûts, ce qui rend difficile pour les gens de savoir ce qu’elle n’aime pas. Il y a pourtant des trucs qui passent dans sa liste noire. Des choses qu’elle déteste au plus haut point. On retrouve notamment dans la liste les concombres, le poisson, la musique rap, les romans à l’eau de rose, les films de comédie trop vulgaires et les vêtements qui font mal aux yeux. Mis à part ces quelques petits détails, elle est ouverte à tout.

Et voilà, vous avez un portrait bien détaillé d’Ayame!

Description physique et vestimentaire :
Le physique joue un rôle assez important dans les relations interpersonnelles.
Ça, Ayame n’est pas passé à côté.

On pourrait qualifier le physique d’Ayame comme celui d’une beauté subtile. En effet, elle ne ressort pas vraiment du lot avec ses traits de physique, sauf que tous ses mouvements, son attitude, sa manière de se tenir et de marcher lui donnent un air tout autre.

Commençons par le début, si vous le voulez bien. Cela fait des années que la jeune femme ne s’est pas mesurée, ni même pesée. Elle n’a pas besoin de chiffres pour voir qu’elle est en santé. N’empêche qu’elle est de taille moyenne, compte tenu qu’elle n’est pas quelqu’un qui se tape la tête contre les cadres de porte, ni quelqu’un qui doit se tordre le cou pour parler aux gens. Côté poids, elle fait de l’exercice alors ne cherchez pas de rondeur ni de surplus de poids – et n’allez surtout pas lui dire qu’elle en a un sinon je ne donne pas cher de votre peau. Lorsqu’on parle de stature et de musculature, on parle aussi d’un complexe pour notre amie. En effet, Ayame est loin d’être la femme la plus endurante et la plus costaude. Ses épaules ne sont pas larges et elle n’est pas très douée pour soulever des trucs, malgré le fait qu’elle ait un bon métabolisme et qu’elle fasse de l’exercice. En effet, tout le sport qu’elle fait ne semble être bénéfique que pour ses jambes. Mais soulever des sacs d’épicerie avec ses pieds, c’est un peu mal vu. Certains pourraient la qualifier de frêle, de fluette, mais elle se contente de dire que ce n’est pas dans sa description de tâche d’être forte et puissante. Quand je dis qu’Ayame ne sort pas vraiment du lot avec son physique entant que tel, c’est bien parce qu’en effet, elle ressemble à tout japonais qui se respecte. Ses cheveux sont noirs coupés droits, sa peau est plutôt pâle et ses yeux, quant à eux, sont d’un gris foncé tirant vers le noir. Pourtant, lorsque les jeux de lumière décident de se mêler de la partie, c’est tout autre chose que l’on voit chez elle. En effet, ses cheveux se teintent alors de reflets brunâtres et ses yeux scintillent, piqués de reflets argentés. C’est le mystérieux pouvoir de la beauté subtile. Bon d’accord. Ça manque d’humilité, tout ça, mais c’est vrai, quoi. Elle a l’air tout à fait banale jusqu’à ce qu’un tout petit détail, l’angle dans lequel on la regarde, le niveau de lumière de l’endroit où elle se trouve, se modifie.

Du côté de la morphologie du visage, rien de déplacé, rien d’étrange, rien d’à côté de la plaque. Elle a un visage allongé et un menton triangulaire, ainsi qu’un tout petit front caché sous un tumulte de cheveux noirs. On voit à peine ses sourcils passer sous sa tignasse sombre et elle fait des efforts considérables pour couper celle-ci afin que sa frange ne lui obstrue pas la vue. Un sourire est presque toujours affiché sur ses lèvres minces, une expression sereine animant son visage en quasi permanence. Parlons maintenant de l’attitude physique d’Ayame. Immobile, on dirait une délicate statue, sans faux pli. Elle porte généralement son poids sur la jambe droite, ce qui lui donne une pose naturelle plutôt décontractée, mais très gracieuse. Sa démarche quant à elle est plutôt singulière. Pas léger, comme si elle flottait. Dans ses mouvements, l’adverbe qui la qualifierait le mieux serait « doucement ». Comme si chacun de ses gestes était léger, frivole. C’est cette attitude qui lui donne une toute autre allure. C’est aussi une des raisons pour lesquelles elle déteste se faire prendre en photo. Elle a souvent peur qu’une personne normale ne voit en elle qu’une coquille vide et banale alors qu’en vrai, elle est tout simplement fascinante.

Pour terminer cette description en beauté, voici une brève description de son style vestimentaire. Le look d’Ayame est un peu sobre. Il faut dire qu’elle ne cherche pas à s’embellir avec des tonnes de vêtements colorés et de bijoux. Elle préfère de loin le naturel. Lorsqu’elle ne doit pas revêtir l’uniforme de Shimizu, elle a un look un peu rockeur, adoptant le jeans et le t-shirt ou alors la chemise, tout simplement. Elle n’est pas vraiment du genre à porter des robes, quoi qu’elle sache faire des efforts lors des soirées où elle doit avoir l’air plus chic. Pourtant, elle aime bien garder une touche d’originalité en ajoutant un accessoire comme un collier discret ou un bracelet. Un peu plus et elle tient une guitare à la main, mais malheureusement, la musique est un talent qu’elle n’a pas. Au moins, elle peut se contenter du look de la musicienne.

Il est donc possible que vous croisiez Ayame dans la rue. Peu tournent le regard pour la regarder passer mais ceux et celles qui le font ne sont pas déçus.

Histoire :
Il était une fois, dans une contrée lointaine, un roi et une reine qui s’aimaient d’un amour passionné, flamboyant. Le roi récemment couronné, Kaname Chihiro, était un jeune homme ambitieux, plein de courage, puissant et surtout, riche. La reine, Natsuki Chihiro, quant à elle, était une jeune femme provenant d’une famille plus modeste et avait le caractère plus fragile, mais possédait la même ambition que son mari. Ensembles, ils voulaient créer un royaume clément, qui vivait dans la paix et la sérénité, dans les liens solides et le bonheur resplendissant, tout comme leur union. Justement, parlons-en, de leur union, puisque comme dit plus haut, ils s’aimaient d’un tendre amour, et lorsqu’un homme aime une femme très fort, ils… Enfin. Passons. Le fait était que le roi et la reine voulaient montrer la puissance des liens qui les unissaient en ayant un enfant. Après neufs longs mois d’espérance, leur vœu se réalisa enfin. En effet, une jolie petite fille vit le jour par un beau matin ensoleillé et, d’un commun accord, les parents de la princesse décidèrent de la prénommer Ayame.

Dès lors commença une période de prospérité dans la famille royale. Amour et joie se faisait ressentir dans la demeure familiale. La fillette ne s’en plaignait surtout pas. Elle avait la vie rêvée. Un immense château en guise de maison, des parents qui l’aimaient et la chouchoutaient, deux chats, des amis, de bonnes notes dans ses études, et même beaucoup de cadeaux, bref, tout ce qu’une petite fille de bonne famille peut rêver.

Pourtant, la vie n’a rien d’un conte de fée. Ça, Ayame s’en est bien vite rendu compte. Parce que même si, tout long de son enfance, elle a vécu sur un petit arc-en-ciel à danser avec les farfadets, elle est durement retombée au sol à au début de son adolescence. Adolescence, deuxième naissance selon beaucoup de psychologues. Au fil des ans, la situation entre ses parents s’était gâtée. Si au départ elle avait été assez naïve pour croire que l’amour et le bonheur durent toute la vie, elle ne pouvait plus se laisser duper en voyant ses parents se quereller, se crier dessus jusqu’à se lancer des assiettes à la figure et à se planter des fourchettes dans les mains, à table. Situation insoutenable. Au début, Kaname essayait de rassurer sa fille en lui disant que tout allait s’arranger. Que Natsuki et lui étaient simplement dans une « mauvaise passe » et que tout allait rentrer dans l’ordre. Pourtant, Ayame n’était pas dupe. Elle pouvait bien voir qu’ils ne s’aimaient plus comme autrefois et que, peu importe la raison, le vase brisé ne pouvait plus se recoller. Si bien qu’un jour, en se levant, la jeune fille ne trouva plus son père attablé à la cuisine, déjà en train de lire son journal et de boire son café. À la place, elle ne trouva qu’une chaise vide et le manque cruel d’une présence rassurante. Il était parti et le calvaire allait commencer. Natsuki Chihiro, autrefois une mère si heureuse et attentionnée, devint aigrie et distante par rapport à sa fille, aboyant des ordres et devant très désagréable à son égard. Mets la table, range ta chambre, va répondre à la porte, fais la cuisine, fais le ménage. Ayame détestait ces paroles sèches et sévères, surtout provenant de sa mère.

« Petite idiote! Je t’avais pourtant dit de fermer le feu!
- Pardon, maman.
- Qu’aurais-tu fais si la maison avais pris en feu? Les excuses n’auraient servit à rien!
- Ça ne se reproduira plus, je te le promets.
- J’espère pour toi, parce que la prochaine fois, je te fous à la porte, c’est compris?
»

Ça se passait toujours comme ça, et toujours, Ayame sentait les larmes de colère lui piquer les yeux, les paroles haineuses lui brûler les lèvres. Cette situation amena la jeune fille à détester sa mère et, par le fait même, à se retrouver frustrée contre son père pour les avoir abandonnés et pour être parti sans qu’il se soit justifié. Cette situation tendue avec sa mère, elle se contenta de la subir, se disant que rien ne pouvait être pire, que tout allait s’arranger. Pourtant, la vie n’avait pas fini de s’acharner sur elle. Après quelques années, le père d’Ayame décida enfin de donner signe de vie, mais pas de la manière dont elle s’y attendait.

Un jour, alors qu’elle faisait le ménage, l’adolescente entendit des voix provenant de l’extérieur. Sur le qui-vive, elle s’arrêta d’épousseter et jeta le plumeau sur le divan en même temps que son tablier. Retentit alors la sonnette d’entrée. Qui pouvait bien vouloir les visiter? Des vendeurs de balayeuse? Des scouts? Quelle ne fut pas sa surprise en ouvrant la porte de découvrir deux officiers de police, un homme et une femme, apparemment pas trop contents de faire ce qu’ils avaient à faire. Sans lui laisser le temps de rien prononcer, ils lui demandèrent s’ils étaient bien chez les Chihiro. Natsuki, entendant qu’il y avait des gens à la porte, décida enfin de faire acte de présence, les traits durs, l’air sévère, prête à réprimander sa fille pour avoir invité des amis sans qu’elle ne lui ait demandé la permission. Lorsqu’elle vit la police, elle se figea. Après un hochement de tête approbateur de la part d’Ayame, la femme prit un ton calme et déclara :

« Nous avons une mauvaise nouvelle à vous annoncer. Vous connaissez un certain Kaname?
- C’était mon mari,
rétorqua la mère d’un air perplexe.
- Nous avons retrouvé son corps sous un train, ce matin.
- Vous voulez rire?
Fit Ayame, les yeux écarquillés, n’en croyant pas ses oreilles.
- Pensez-vous vraiment que nous sommes ici pour vous faire marcher? Demanda le policier. Non. Il est vraiment…mort. »

Pendant que les adultes continuaient de discuter, évoquant les détails sordides avec un air grave, Ayame, elle, ne les écoutait déjà plus. Son père les avaient encore plus lâchement abandonné qu’elle le croyait. Ses yeux s’emplirent alors de larmes. La femme, qui l’entendit hoqueter, s’approcha d’elle et sortit une enveloppe de son blouson. Elle la lui tendit en disant que cette lettre lui était adressée. Elle ajouta qu’elle se serait sentie mal de la laisser dans le bureau des pièces à conviction. Ayame, manipulant la lettre du bout des doigts, hocha la tête. Après un merci précipité, elle couru vers le jardin pour s’asseoir sous le plus grand des chênes. Puis, elle décacheta l’enveloppe. Une clé tomba sur ses genoux et elle la regarda un instant hébétée, mais tout ce qu’elle voulait, c’était lire le message.

« Ayame, ma chérie.
Je crois que tu es assez vieille pour comprendre que je ne reviendrai plus à la maison. Tu dois l’avoir compris dès l’instant où je suis parti, en fait. Si je devais t’expliquer brièvement ce qui m’est passé par la tête à ce moment là, je ne pourrai dire qu’un seul mot. L’idiotie. J’ai agit comme un idiot en pensant que j’avais gâché ma vie en épousant ta mère et en te laissant naître. J’ai pensé à cet instant que je venais de perdre tout ce qui me restait de liberté. Du coup, j’ai paniqué, j’ai tout plaqué et je suis parti ailleurs. J’ai cru pouvoir jouer au plus fin avec la vie, mais je me suis trompé. Tu dois t’en douter. Je me suis trouvé un nouvel emploi, je me suis fais beaucoup d’argent et soudain, j’ai compris. J’ai compris, lorsque ma secrétaire s’est mise à me faire des avances, que j’avais fais la plus énorme bêtise de toute ma vie. Je vous avais laissées tomber, ta mère et toi, pour ça? J’ai essayé de revenir à la maison, mais ta mère ne m’aurait jamais laissé entrer. J’ai donc cru que la meilleure chose à faire était de disparaître pour de bon. Pour ne plus vous faire souffrir. J’ai donc flambé tout mon argent dans une maison. Une maison qui te revient à toi, comme part de l’héritage. Tu ne pourras t’y installer qu’à tes 20 ans, mais j’ai prévus le coup. Je t’ai inscrite dans un pensionnat. Le lycée Shimizu. Là-bas, tu pourras fuir ta mère et son courroux en attendant d’avoir l’âge pour emménager dans ta nouvelle demeure. Ne t’inquiète pas pour Natsuki. Elle se repentira vite de ses erreurs lorsqu’elle se retrouvera toute seule. Je suis désolé pour tout ce que tu as subis par ma faute, mais je tente au moins une dernière fois de corriger le tir.

Ton père, qui t’as aimé, qui t’aime, et qui t’aimera toujours.
Kaname.

P.S. Si tu as un doute, regarde le ciel. J’y serai pour te guider.
»

Dès lors, une vie nouvelle commença pour Ayame. Une troisième naissance, si on peut dire. Fini les secondes à s’apitoyer sur son sort, fini les minutes à broyer du noir, fini les heures, les jours, les années à supporter sa mère. Commençaient alors quatre années incroyables à Shimizu. Connaitre des gens, se faire des amis, s’impliquer dans des activités, c’était ce qu’elle pouvait rêver de mieux et, même quand des choses moins plaisantes se passaient dans sa vie, déceptions amoureuses, mauvaises notes, maladies, elle avait pris comme résolution de ne plus se laisser abattre par les coups bas que lui faisait le destin. Ne pouvant résister à l’idée d’emménager dans sa nouvelle maison, elle brisa les règles en trouvant un colocataire majeur qui voudrait bien partager la maison le temps qu’elle arrive à ses 20 ans. Comble de la chance, elle tomba sur le meilleur colocataire qui soit. Il s’appelait Yuuki Ame, il était gentil, sympathique, attentionné. Un vrai grand frère. Puis, les quelques années qui la séparaient de la vingtaine s’écoulèrent et Yuuki prit finalement son envol vers les joies des auteurs qui voient leurs livres nommés « Best seller » et vers une vie plus mondaine. Ayame, elle, le regarda partir avec l’espoir qu’un jour il se souviendrait d’elle, de sa petite protégée. Suite à cette rencontre, elle est devenue une amoureuse éperdue des chats et, lorsqu'elle en voit un qui est perdu, elle ne peut s'empêcher de le ramener chez elle.

Maintenant, Ayame a 20 ans. Elle est loin de la petite Cendrillon qu’elle était auparavant. Elle est maintenant devenue une princesse guerrière, qui sait se tenir et marcher droit. Elle a compris que la vie pouvait être un conte de fée, mais seulement si elle le décidait. Pourtant, pour l’instant, elle se laisse porter. Pas qu’elle laisse la vie la mener par le bout du nez, non, mais qu’elle essaie de ne pas trop s’en faire. Elle est récemment entrée à l’Université, en photographie. De plus, elle travaille à temps partiel pour aider les animaux perdus. Elle cherche à ouvrir ses horizons au maximum. Advienne que pourra, comme on dit.

Raison de votre arrivée à Shimizu : Elle a pu entrer à Shimizu grâce à son père, qui lui offrit l'opportunité de s'enfuir, de ne plus supporter sa mère qui n'était pas correcte avec elle. Elle est donc entrée à 15 ans à Shimizu pour en ressortir avec un diplôme en main. Voilà! Le reste est mentionné dans l'histoire, quoi. Il n'y a pas grand chose à ajouter.

'xxxxxAutre.


Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Depuis assez longtemps pour vous dire qu'il y avait bel et bien un forum rp sur Neopets, avant! (5 ans à peu près)
Comment avez-vous connu le forum ? J'avais ce personnage il y a un bout de temps...Je veux le rejouer ^^
Avez-vous un double compte ? Oui, Maxence Orpheus.
Personnage de votre avatar ? Kuchiki Touko (Manga/anime: Kara no Shojo)
Quel est le code règlement ? Yep !, by Jude.
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MessageSujet: Re: Ayame Chihiro // Prise 3 [TERMINÉE!]   Ayame Chihiro // Prise 3 [TERMINÉE!] Icon_minitimeJeu 24 Juin - 1:10

C'est tout bon, ma jolie. ♥
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Ayame Chihiro // Prise 3 [TERMINÉE!]
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