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 Debbie Maxwell.

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MessageSujet: Debbie Maxwell.    Debbie Maxwell.  Icon_minitimeMer 11 Mai - 23:13

Hello, I'm Debbie Maxwell.

→ Âge : 16 ans.
→ Classe : 2.A ?
→ Lieu de naissance : New York ; Etats-Unis.
→ Statut : Etudiante.



Caractère




Debbie est une personne très complexe et paradoxale, il arrive fréquemment que même elle ne comprenne pas la raison de ses actes, ou de son humeur.
Elle est folle.
Oh non, pas le genre « brin de folie », mignonne, amusante et distrayante, une véritable folie dévastatrice, dangereuse, destructrice. En tout cas, elle en est convaincue.
Elle est très lunatique, peut rapidement passer du rire aux larmes sans raison apparentes.
C’est une fille contradictoire, froide et chaleureuse, dure et douce, incompréhensible et incohérente.
Elle peut incarner un ange comme un démon, débordante d’amour comme de haine.
Ses pensées n’ont pas toujours de sens, elle perd le fil, sa pensée commence à un oiseau et se finit dans l’océan.
Il lui arrive souvent d’avoir des pulsions. Des envies qui la tourmentent jusqu’à ce qu’elle les réalise, qui lui reviennent sans arrêt, qui peuvent-être banale comme inavouables.
Elle est souvent pensive, regarde par la fenêtre en cours, ou les nuages quand on lui parle. Les gens captent difficilement son attention, peu de choses l’intéressent réellement.
Elle a un tic, un léger mouvement dont elle a à peine conscience et que personne ne remarque, qu’elle fait presque toujours, qu’elle soit stressée, effrayée, triste, nostalgique…
Elle se frotte le cou. Un geste qui lui est venu après l’accident de son petit ami. Mais nous y reviendrons plus tard.
Debbie a souvent du mal à se retenir de dire ce qu’elle pense, que ce soit frivole ou blessant, à faire ce qu’elle à envie de faire, même si c’est déraisonnable.
Sa peur la plus terrible, la plus profondément ancrée en elle est la SOLITUDE.
Un mot qui s’inscrit en capitale dans son esprit, en lettres de trois mètres de haut, qui changent de couleurs pour attirer son attention, brillent, lui barrent la route.
Quand elle est seule, dès la tombée de la nuit, son cauchemar commence.
Elle divague, sent des présences dangereuses, le vent semble lui murmurer des mots sombres et attirants, son esprit s’embrouille.
Terrassée par cette peur, elle fait de son mieux pour rester accompagnée.
Elle ne recherche jamais l’amitié.
Elle drague de nombreuses personnes dans l’espoir de ne pas passer la nuit seule.
Elle sait qu’elle est attirante, et elle en joue.
Mais ce n’est pas par amour du sexe, c’est uniquement par peur d’affronter l’obscurité.
Elle ne sait pas faire confiance.


Physique




Debbie Maxwell est un très belle jeune femme, et elle le sait.
Elle a la peau mate, mais qui reste tout de même très claire. Elle bronze facilement.
Ses courbes avantageuses ont fait craquer plus d’un homme : sa poitrine généreuse, son ventre plat, ses hanches bien dessinées et ses jambes infiniment longues sont des atouts dont elle a parfaitement conscience.
Mais ce qui attire le plus l’œil chez Debbie, ce n’est pas son corps, mais son visage fin, entouré de ses cheveux rouges.
A l’origine, elle est brune foncée, et a les cheveux longs qui tombent sous ses seins, mais une nuit, décidant de changer pour fuir les monstres des ténèbres, elle a attrapé les ciseaux, la teinture la plus voyante qu’elle avait, et s’est mise au travail.
Elle a un petit nez, et des lèvres pulpeuses qui ont connues beaucoup de monde.
On peut voir dans ses grands yeux gris le regard désillusionné de sa génération plongée dans l’alcool et la drogue.
« Les yeux sont les fenêtres de l’âme. » est une citation qui s’applique parfaitement à elle, car s’il y a une chose qui peut trahir ses expressions, ce sont ses yeux.
Debbie est toujours très maquillée, elle met beaucoup de fard à paupières noir, de crayon, de mascara, et parfois un peu de rouge à lèvres.
Sans maquillage, elle est moins assurée, comme si elle se retrouvait nue au milieu de la foule, ses pires secrets peints sur le corps.
Elle a deux tatouages :
- une petite étoile noire sur le cou, l’endroit exact où Lucas à poser ses lèvres pour la première fois.
- un croissant de lune sur la hanche gauche, fruit d’une de ses pulsions.
Pour le côté vestimentaire, Debbie ne se complique pas vraiment la vie : un slim, un tee-shirt et une veste ou un gilet font en général très bien l’affaire. Mais il lui arrive aussi régulièrement de porter des tenues très sexy, des mini-jupes ou des bustiers, mettant en valeur ses formes généreuses.
Mais quoi qu’elle fasse, il y a un élément que Debbie n’enlève jamais.
C’est la gourmette en or blanc que Lucas avait mise à son poignet lors de leurs vacances à la plage.


Histoire





Debbie Maxwell est née le 13 janvier 1995 à New York, aux Etats-Unis. Elle y a vécu trois ans, jusqu’à la mort de son père dans un accident de voiture, en 1998.
Elle n’avait jamais vraiment aimé son père, car la seule image qu’elle ait gardée de lui est celle d’un tyran qui avait une fois levé la main sur sa mère, sous ses yeux. Une scène restée gravée dans sa mémoire.
Elle a compris, plus tard, que sa mère n’en avait jamais voulu à son mari, elle l’aimait.
Debbie a alors commencé très tôt à se méfier des autres, des autres mais surtout de l’amour.
A ses trois ans, elle a donc déménagé en France, à Paris, avec sa mère.
Debbie a beaucoup de respect pour sa mère, qui a réussi à l’élever seule car malgré la mort de son mari, elle a travaillé dur pour faire vivre confortablement sa fille, elle est restée un modèle, forte même dévastée par le chagrin.
Elles n’ont jamais été pauvres, et Debbie était très fière de sa mère, courageuse, de confiance.
Durant tout le début de sa scolarité, et environ jusqu’à la 4è, Debbie était très peu sûre d’elle, manquait de confiance. Elle était énormément timide, et les rares fois où elle parlait, on l’entendait à peine.
Mais, du jour au lendemain, elle est devenue incroyablement sûre d’elle, peut-être même trop, et provocante.
Un déclic.
Elle s’était déjà rendue compte qu’elle était souvent seule, comparée à toutes ces camarades de classe entourés d’une bande joyeuse.
Elle commençait à ressentir ce froid, ce manque d’affection.
Ce besoin d’avoir quelqu’un près de soi, et c’est vers cet âge là que la peur du noir et de la solitude avant commencé à s’immiscer en elle. Avant cela, elle n’était pas réellement dérangée de se retrouver seule, au contraire, cela lui paraissait normal.
Mais surtout, avant ça, quand elle était seule la nuit, elle en était sûre.
Petit à petit, elle se mit à ressentir des présences inquiétantes, qui sont rapidement devenues terrifiantes. Souvent, elle a eu l’impression d’avoir la mort en personne dans le dos, prête à la torturer, puis à l’achever d’un coup de poignard.
Elle serait morte seule dans la nuit, avec le sifflement du vent, qui lui murmurait sans cesse « Je t’avais prévenue… Je t’avais prévenue… »
Non, elle ne pouvait plus passer les nuits seule. Sinon, elle entendrait le vent rire de sa mort, pathétique.
Il lui fallait une présence. Une présence humaine.
Elle a commencé à s’habiller de façon sexy, et à multiplier les conquêtes.
Elle a perdu sa virginité à 14 ans, dans les toilettes d’un vulgaire fast-food, avec un pauvre type qu’elle larguait une semaine plus tard. Cela ne la dérangeait pas outre mesure.
Elle a ensuite commencé à s’intéresser aux filles, et s’est rendue compte qu’elle était aussi bien avec elles qu’avec les hommes. De toute façon, c’était de la compagnie, et c’est tout ce qu’elle recherchait. Moins de solitude.
Pendant son temps libre, elle a aussi appris à jouer de la guitare électrique, mais il lui fallu bien huit mois pour réussir à la dompter. C’est ensuite devenu un échappatoire, jouer la nuit ne compensait pas une présence, mais était déjà mieux que rien.
Jusqu’à maintenant, hormis à sa mère, Debbie n’a fait confiance qu’à deux personnes : Preston et Lucas.

Preston est un jeune homme qu’elle a rencontré à la fin de sa dernière année de collège. Ils se sont beaucoup vus durant les vacances, et Debbie a passé de nombreuses nuits dans les bras du jeune homme. Ils n’ont jamais couché ensemble.
Preston se contentait d’être là pour elle, sans jamais rien lui demander en retour.
Sans s’en rendre compte, elle a fini par lui dévoiler ses peurs, petit à petit.
Elle se sent bien en sa présence, il est doux et réconfortant.
Elle l’aime comme on aime un frère, le genre de frère qui vous sauve un peu chaque jour.

Elle a rencontré Lucas plus tard, en début de lycée.
Elle ne se souvient pas précisément de leur rencontre, ils se sont vus, de plus en plus souvent, jusqu’à ce jour.
Ce jour où ils s’étaient promenés pendant des heures sur les quais de Seine, elle s’en souvient. Ils étaient sortis des cours plus tôt, grâce à un professeur absent.
Il l’avait emmené, elle l’avait suivi. Parlant de tout, de rien, peu importe, elle se sentait à l’aise avec lui. Elle savait qu’il s’était rendu compte que quelque chose clochait chez elle, mais il n’avait pas dit un mot. C’était tant mieux.
Debbie n’avait pas pour habitude de regarder de chaque côté de la route, comme le lui avait tant répété sa mère. Et ce qui devait arriver arriva.
Ce jour là, elle ne fit pas attention une fois de plus, mais cette fois là, une voiture arrivait à toute vitesse sur elle. Quand elle la vit, il était trop tard, elle le savait. Trois secondes, et la voiture lui rentrerait dedans. Deux, elle sent quelque chose qui l’agrippe. Une, quelque chose de dur la heurte de plein fouet. Elle est étourdie, et c’est le noir complet.
Mais quelques secondes plus tard, elle ouvre les yeux.
C’est ça, le paradis ?
Elle sent ses membres douloureux. Paradis de merde. Puis, elle voit.
Lucas, ce type venait juste de lui sauver la vie. Il était tout près d’elle, accroupi. Ils se relevèrent. Il s’approcha encore d’elle, glissa sa main sur son dos, et posa un baiser sur son cou. Tremblante, elle n’osa pas dire un mot. Elle se demandait si c’était ses lèvres sur sa peau, ou bien l’adrénaline d’être passée à côté d’un accident qui aurait pu lui coûter la vie.
Après ce jour, ils ont commencés à se voir presque tous les jours, pour devenir inséparable. Ils ne se sont jamais posé la question à voix haute, mais ils savent qu’ils sont en couples.
Lucas est toute la vie de Debbie.
« Chacun vit de l’amour de l’autre. »
Mais un jour, ils se sont engueulés. Violemment. Elle ne se souvient plus du motif, elle se souvient juste les mots qu’elle a prononcé, et qu’elle regrettera toute sa vie :
« Ne rêve pas, jamais je ne pourrais t’aimer. »
C’est faux. C’est faux et elle le sait.
« Chacun vit de l’amour de l’autre. »
C’était vrai. Il manquait à Lucas l’amour de Debbie.
Il avait eu un accident. Sans doute avait-il ressentit la même chose qu’elle, l’étrange sentiment à l’approche de la voiture, les secondes qui s’étirent… Mais elle n’était pas derrière lui pour le rattraper.
Elle n’avait pas été là pour le sauver.
Elle n’avait pas été là pour lui.
Il avait suffit d’un coup de téléphone, et sa vie s’était brisée.
Depuis ce jour maudit, Lucas est dans le coma. Il n’y a presque aucun espoir de le voir ouvrir de nouveau les yeux, et personne n’a réussi à dire de quoi il sera capable.
Tous les jours, pendant cinq mois, elle était allée à l’hôpital, le supplier de revenir, de lui pardonner, bien sûr qu’elle l’aime, elle l’aimerait toujours…
Combien de nuits avait-elle passée à son chevet, en voyant chaque jour ses blessures physiques guérir, mais sans jamais qu’il se réveille ?
On lui avait dit, d’essayer de l’oublier, qu’elle devait le considérer comme mort, ou du moins ne pas compter sur lui.
On lui avait dit de se détacher de lui, mais elle n’en était pas capable. Elle n’en est pas plus aujourd’hui.
Lui, avait réussi à la faire survivre, à rendre les nuits moins dures, même agréables.
A ses côtés, elle n’avait plus peur. Il la serrait contre elle, et tous les démons des ténèbres la laissaient en paix, comme effrayé par la puissance que dégageait le jeune homme. Il avait réussi à gagner sa confiance, et son amour.
Elle, avait réussi à le tuer.

C’est pour cette raison qu’elle a décidé de venir étudier au Japon.
Elle devait s’éloigner de lui, vivre, sans jamais l’oublier.
Elle va essayer de vivre pour deux.
« Prends mon corps, respire, vis, regarde comme c’est beau, vois à travers mes yeux. Tu sens le vent contre ta peau ? »
Pourquoi le Japon ? Elle n’en savait rien. Ca aurait aussi bien pu tomber sur le Mexique, l’Italie ou l’Inde, elle avait simplement posé son doigt sur le globe après l’avoir fait tourné de toutes ses forces.

Elle compte s’intégrer, apprendre de nouvelles choses, changer d’air.
Mais elle sait qu’à la moindre amélioration de l’état de Lucas, elle quittera tout pour le rejoindre, et ne plus jamais le perdre.

Secrets of the other side.

→ Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Je n’en ai jamais fais, ce sera mon premier.
→ Comment avez-vous connu le forum ? En me baladant sur internet.
→ Avez-vous un double compte ? Non.
→ Personnage de votre avatar ? Aucune idée.
→ Quel est le code règlement ?[code validé par un corbeau]




Dernière édition par Debbie Maxwell le Jeu 12 Mai - 0:20, édité 1 fois
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Raven E. Kijima

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MessageSujet: Re: Debbie Maxwell.    Debbie Maxwell.  Icon_minitimeMer 11 Mai - 23:59

Bonsoir \o/!

Alors c'est moi qui m'occupe de ta fiche! Ton personnage est intéressant, fragile et tourmenté, j'ai hâte de la voir évoluer en rp :3!

Mais avant que tu ne commences à rp il faut que tu sois validée. Honnêtement, je n'ai pas vu de fautes, la syntaxe est plus que correct, donc ce côté là ça va. En fait, j'aimerai que tu éclaircisse deux points et je te validerai.
Le premier: Debbie à peur de l'obscurité... Pourquoi? Est-ce en rapport avec l'accident de Lucas? ça n'est pas clairement évoqué...

Le second:
Citation :
Debbie était très peu sûre d’elle, manquait de confiance. Elle était énormément timide, et les rares fois où elle parlait, on l’entendait à peine.
Mais, du jour au lendemain, elle est devenue incroyablement sûre d’elle, peut-être même trop, et provocante.
Un déclic.
Elle a commencé à s’habiller de façon sexy, et à multiplier les conquêtes.

Je veux bien qu'il y ai eu un déclic moi. Mais lequel? Pourquoi du jour au lendemain la jeune Debbie introvertie c'est transformée en exubérante Debbie? Qu'est-ce qui est à l'origine de ce déclic?

Bon voilà! Après ces rajouts je te validerai!
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MessageSujet: Re: Debbie Maxwell.    Debbie Maxwell.  Icon_minitimeJeu 12 Mai - 0:22

Bonsoir,

Merci (:

J'ai corrigé tout ça, je te mets les passages que j'ai édité ici pour que tu les vois plus vite (ils sont aussi dans le premier texte, si tu veux que je les souligne pour les repérer plus vite, n'hésite pas à me le demander)

Mais, du jour au lendemain, elle est devenue incroyablement sûre d’elle, peut-être même trop, et provocante.
Un déclic.
Elle s’était déjà rendue compte qu’elle était souvent seule, comparée à toutes ces camarades de classe entourés d’une bande joyeuse.
Elle commençait à ressentir ce froid, ce manque d’affection.
Ce besoin d’avoir quelqu’un près de soi, et c’est vers cet âge là que la peur du noir et de la solitude avant commencé à s’immiscer en elle. Avant cela, elle n’était pas réellement dérangée de se retrouver seule, au contraire, cela lui paraissait normal.
Mais surtout, avant ça, quand elle était seule la nuit, elle en était sûre.
Petit à petit, elle se mit à ressentir des présences inquiétantes, qui sont rapidement devenues terrifiantes. Souvent, elle a eu l’impression d’avoir la mort en personne dans le dos, prête à la torturer, puis à l’achever d’un coup de poignard.
Elle serait morte seule dans la nuit, avec le sifflement du vent, qui lui murmurait sans cesse « Je t’avais prévenue… Je t’avais prévenue… »
Non, elle ne pouvait plus passer les nuits seule. Sinon, elle entendrait le vent rire de sa mort, pathétique.
Il lui fallait une présence. Une présence humaine.
Elle a commencé à s’habiller de façon sexy, et à multiplier les conquêtes.


On lui avait dit, d’essayer de l’oublier, qu’elle devait le considérer comme mort, ou du moins ne pas compter sur lui.
On lui avait dit de se détacher de lui, mais elle n’en était pas capable. Elle n’en est pas plus aujourd’hui.
Lui, avait réussi à la faire survivre, à rendre les nuits moins dures, même agréables.
A ses côtés, elle n’avait plus peur. Il la serrait contre elle, et tous les démons des ténèbres la laissaient en paix, comme effrayé par la puissance que dégageait le jeune homme. Il avait réussi à gagner sa confiance, et son amour.
Elle, avait réussi à le tuer.


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MessageSujet: Re: Debbie Maxwell.    Debbie Maxwell.  Icon_minitimeJeu 12 Mai - 0:34

Voilà! Merci pour les modifications que tu as apporté! Tu es validée ♥! Bon rp \o/!
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MessageSujet: Re: Debbie Maxwell.    Debbie Maxwell.  Icon_minitime

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