Katherine Pierce [Fini]

Hello, I'm Katherine Pierce

Caractère
Dix lignes minimum ♥

Je suis le genre de personne qui se cache derrière un masque, je sais me montrer très froide. Je suis un peu rebelle sur les bords, les règles ? Je m'en contre-fiche. Ce que j'aime ? Braver les interdit et faire souffrir le monde pitoyable qui m'entoure. On pourrait me prendre pour une brute, un cancre, une sans coeur. Mais au fond je suis toujours la pour les personnes que je considère comme mes ami(e)s. Je vis derrière un masque qui me sers en quelques sortes de bouclier contre la méchanceté Humaine. Je garde mes pires secrets pour moi, je ne me prononce pas trop pour éviter que l'on devine mes faiblesses. Je suis aussi une très bonne manipulatrice sur les bords, je me sers de ce « dons » pour obtenir ce que je veux vis à vis de la personne qui m'intéresse. En plus de ça, je suis une fille très bagarreuse, hors de question de tirer les cheveux, je préfère cogner avec mes poings. Pour finir, en tant que pire diablesse au monde qui a été prise pour une imbécile depuis son jeune âge je dirais : " Bienvenu(e) en enfer mes cher(e)s ami(e)s!"

Physique
Dix lignes minimum ♥

Malgré que j'aime me battre, j'aborde un physique ou une plastique assez féminine. J'aime les jupes et les beaux décolletés. D'apparence je suis fine, mais jolie ou potable devrais-je dire. Sur mon bah ventre j'ai un tatouage, un scorpion enlacé dans une rose qui signifie pour moi mon signe astrologique et qui me rappelle chaque jour que l'amour peut être douloureux comme l'épine d'une rose. J'ai de longs cheveux châtains et des yeux marron qui prennent par moment et avec la présence du soleil une couleur verte claire. Mon visage est assez fin, tout comme mon cou, et au contraire, j'ai une poitrine qui fait partie de la norme, j'ai un ventre plat comme je le disais au-dessus. Mon physique est attrayant. Mais je repousse la plupart des hommes qui rencontrent mon chemin. Ce que je veux ? Un Bad Boy. Je fais tout pour me rendre mignonne car pour moi, c'est la seule chose qui me permet de me sentir bien dans ma peau. Quand je dis mignonne c'est me soigner dans ma façon de m'habiller, me coiffer différemment chaque jour, sans oublier la couche de maquillage quotidienne.

HISTOIRE
Quinze lignes minimum ♥

Je suis née comme tout le monde avec un père et une mère. Tout allait bien, je vivais heureuse. J'ai un grand frère qui se prénomme Guillaume, idée de ma mère qui était française. Mon père, quant à lui, était Anglais mais d'origine Japonaise.

Comme je le disais tout se passais bien, on avait tout pour être heureux ensemble. Puis ma mère s'est mise à douter de la fidélité de mon père, des rumeurs courraient un peu partout dans notre petit village d'une vingtaine d'habitants. Et mon père rentrait tard le soir prétextant que c'était à cause de son travail, un cantonnier qui rentre tard à cause de son travail ? C'était absurde encore mon père aurait été un homme d'affaire, le patron de l'entreprise SAMSUNG on aurait compris. C'est pour cela que ma mère avait quitté mon père et avait ensuite demandée le divorce, ils avaient la garde partagé de leur enfant la semaine chez maman et le week-end chez papa. On avait emménagé en France, ma mère c'était fait un nouveau copain qui était d'origine Turc.

Là aussi je croyais pouvoir avoir la belle vie, maman ne portai pas encore le voile mais c'était déjà reconvertie à l'Islam, Guillaume et moi étions heureux au début car ma mère et son copain était la pour nous sachant qu'elle vivait avec lui. Elle faisait tout pour nous rendrent heureux bien que mes souvenirs soient flous, j'étais vraiment trés jeune. Puis à mes trois ans, mon frère en avait alors 6, une assistante sociale était venue nous chercher au domicile conjugale de ma mère car elle n'avait plus de quoi nous nourrir faute de travail, elle était au chômage et que son copain c'était enfui voir une autre. Et nous avions été relogés chez notre père qui avait demander à revoir le dossier rien que pour "embêter" ma mère.

L'éducation reçue par mon paternel était simple : Il s'en foutait de ce que l'on faisait, en français : Nous devions nous assumer nous-mêmes, les téléphones portables et autres objets électroniques étaient exclus de la maison et c'est lui qui décidait. Autant dire que le camp militaire à côté c'est de la rigolade. Pour moi, je n'avais plus de mère, j'avais du mal à digéré mon enfance qui était devenue difficile par la faute de ma mère.J'avais grandi enchaînant les conneries, pour tout dire j'avais réussi à me foutre enceinte avec un de mes exs qui m'avait payé un avortement qui m'avait entraîné dans une déprime où poussé à bout par la perte de l'amour de ma vie et de mon futur enfant j'avais avalé des médicaments et de l'alcool, espérant en mourir, ce qui m'avait conduit à un internement volontaire dans un hôpital psychatrique, j'avais 18 ans. La-bas, il me blindait de cachets pour éviter tout comportement dangereux. Puis une fois guérie de cette "maladie" ils m'avais laissé sortir de cet endroit de barges. Pour facilité ma réinsertion dans la vie active, ils avaient pris la peine de m'inscrire dans un lycée à quelques kilomètres de chez mon père.

Pas plus tard qu’aujourd’hui je recevais une lettre confirmant que j’y était bel et bien inscrit.