Hizumi avait redut son baiser à Angela. Il la suivit jusqu'au canapé ou il enfila vêtement sur vêtement, les siens. Rapidement, l'apollon nu laissait place à un garçon charmant habillé. Evidment, dans cette tenue, peu était en mesure d'imaginé ce que cachait le bellâtre; un esprit tordu avide de sensation et de contact.
Il leva les yeux vers les fenêtres et constata qu'il ne s'était pas trompé sur l'heure qu'il devait être. Le ciel commençait à s'éclaircit, pret à recevoir els premiers rayons du soleil...Hizumi jeta un oeil à Angela regardant sa peau qui se reconvrait aussi de tissus qu'il avait vu nue. Hizumi ramassa le livre philosophique d'Angela et le lui tendit. Sur son visage, une moue rieuse et mystérieuse régnait toujours. Sa voix qui peu avant gémissait lui dit:
Je crois que ta lecture va te sembler bien dérisoire à présent...
Hizumi sourit visiblement content d'avoir réussit à tirer une joueuse d'une fille qui aimait la lecture. Il déposa le livre sur le canapé qui avait été lieu de leurs ébats. Le garçon adressa un dernier sourire à Angela et avança d'un pas. Ses yeux se posèrent sur la jeune femme dont il embrassa la joue rougie au passage. Sa voix lui chuchota à l'oreille:
Ce fut un plaisir...
Le bellâtre avançait encore ers la sortie, il fit un clin d'oeil à la jeune femme, compagne de cette nuit. le rêve d'une nuit venait de s'achever, laissant le retour à la réalité se faire, doucement. Hizumi ouvrit la porte de la bibliothèque, jeta un dernier regard à ce lieu qu'il connaissait maintenant sous un autre angle bien plus plaisait puis regarda dans le couloirs si il avait quelqu'un. Heureusement, personne. Hizumi sortit donc en refermant la porte délicatement sans faire de bruit. Dans le couloir, la lumière du soliel était déjà rentrée par les fenêtres ainsi, il ne fallut pas allumer les lumières pour se repérer. Il se dirigea silencieusement vers son dortoir. Il gardait un sourire pervers au coin des lèvres en pensant à cette nuit délicieuse qu'il venait de passer avec un fille dont il ne connaissait finalement que le nom. Il passa une main dans ses cheveux noirs puis poursuivit son chemin et disparut au coin du couloir comme si ce ne fut en fait qu'une illusion passagère, éphèmere mais notable...