L'inspiration [PV Nero]

L'air rêveur, Nero marchait tranquillement dans le parc. Il y avait beaucoup de vent pour le printemps mais additionnez quelques feuilles de cerisiers et vous obtenez un savant mélange de magie et d'irréalisme. Effectivement, les cerisiers avaient perdu leurs couleurs ternes pour être remplacer par de merveilleuses couleurs roses qui donnait aux jardins de Shimizu un très beau paysage que l'on pourrait voir sur une carte postale.

Il avait décidé de se dégourdir un peu les jambes après ces quelques heures d'études quotidiennes. Il marcha tranquillement, regardant les autres élèves plaisanter, se bécoter ou encore manger en groupe lorsque soudain il reçu un projectile sur sa tête, le sortant de ses rêveries.

Il se tourna dans la direction du projectile, qui n'était en faite qu'un simple bout de papier froissé avec de la peinture dessus, là il vit une jeune fille avec un trépied et un grand bloc de feuilles. Elle était très certainement en train de peintre, Nero en fut certain lorsqu'il vit un tas d'autres papiers juste a côté de la jeune fille.

-"Pardonnez-moi, je ne l'ai pas fait expres, je ne voulais pas vous visé."

"Ce n'est pas grave, ça arrive a tout le monde de s'énerver."

Après une petite pause Nero enchaîna;

"Vous étiez en train de peindre quoi?"

Tant qu'il y était autant faire un peu connaissance, il n'avait rien d'autre a faire.

Le garçon malencontreusement visé ne semblait pas en colère et cela permit a Saya de soufler un peu. Au moins elle ne se ferait pas un ennemie bêtement!
Elle se leva lestement, fit qu'elle que pas et ramassa le projectile. Se relevent elle remit celui-ci avec ses congenères quand le jeune homme lui posa une question:

"Vous étiez en train de peindre quoi?"

Se tournent vers celui-ci, elle le regarda dans les yeux puis sourit. Cela mettait toujours la jeune fille de bonne humeur qu'on s'interresse a sa peinture.

-"Et bien je peignais, ou plutôt j'essayais de peindre, le paysage du parc. Il est vraiment magnifique et me fait penser à celui des temples de Osaka. Là-bas, les cerisiers sont énormes et vraiment splendide."

Se rasseyant sur le banc, elle reprit une feuille et retenta l'experiences, l'air plus concentrer que jamais. Cela ne lui empêcha pas de demander:

-"Et vous, que fesiez vous dans le parc ?"

Nero regarda la jeune fille reprendre le papier chiffonné et le remettre avec ses petits congénères qui s'entassaient en formant une sorte de petite colline, ce qui fit sourire Nero qui s'imaginait la jeune fille en train de s'énerver devant un papier.

-"Et bien je peignais, ou plutôt j'essayais de peindre, le paysage du parc. Il est vraiment magnifique et me fait penser à celui des temples de Osaka. Là-bas, les cerisiers sont énormes et vraiment splendide."

Nero réfléchit un moment sur la localisation des temples de Osaka mais cela l'échappa, il y avait été une fois et c'est vrai que les cerisiers étaient vraiment magnifique lors de leurs fleurésons. C'est vrai que les jardins de Shimizu y ressemblait, mais pas aussi magnifique. Il regarda la jeune fille se concentrer sur sa feuille vierge, Nero allait partir lorsqu'elle l'interpella.

-"Et vous, que fesiez vous dans le parc ?"

Il se retourna vers elle tout sourire que l'on s'interesse a se qu'il faisait même si c'était pas vraiment obligé de sourire ainsi mais bon.

"Hé bien je me promenait tout simplement, pour me dégourdir les jambes et prendre l'air."

"Hé bien je me promenait tout simplement, pour me dégourdir les jambes et prendre l'air."

Saya vit un sourire sur les lévres du jeune homme et se demanda se qui il y avait de drôle dans sa question. Décident d'ignorer se détail, elle se retourna vers son dessin et vit qu'elle avait, inconsciament inclu l'homme sur son dessin. Rougissent cette fois jusqu'au oreilles, elle se tapa le front mais reprit le dessin. Il était mieux réussit que les autres, autant continuer. Ajoutent quelque touche de couleurs par-ci par-là, elle reproduissit la couleur blanc de ses cheveux et de ses yeux, celle de sa peau pale sans pour autant le rendre transparent et sans volume. S'attaquent a ses vêtements, elle lançait de temps a autre un regard a son modèle, souhaitent entre le plus précis possible. Puis, reposent son pinceaux, elle se recula, admira son travail et cria, en sautent sur place:

-"YATAAA j'y suis enfin arrivé!"

Elle s'avança vers le jeune homme et se pencha vers le jeune homme.

-"Merci beaucoup."

La jeune fille n'avait pas répondu a Nero et continuait a peindre sa jolie toile, il la vit soudain rougir en regardant attentivement son oeuvre il se demanda pourquoi et allait se pencher lorsqu'il se résigna. Un artiste se devait de garder son oeuvre au secret tant que celui-ci n'était pas achevé, il allait laisser la jeune fille décider si oui ou non il pouvait regarder la peinture.

Il resta donc là a observer la jeune fille en train de peindre, il observa un peu les autres personnes qui depuis la dernière fois n'avaient pas beaucoup changé leurs atitudes lorsque soudain la jeune fille derrière lui cria.

-"YATAAA j'y suis enfin arrivé!"

-"Merci beaucoup."

Nero la regarda se pencher devant lui en signe de remerciement. Nero s'avança vers sa peinture et haussa les sourcils de surprise. La peinture était effectivement très belle mais se qui surprit le plus Nero se fut son propre portrait sur celle-ci, avec ses cheveux blanc et ses yeux de même couleur ainsi que les vêtements qu'il portait pour le moment.

"Tu es vraiment une grande artiste, félicitation."

Rougisant devant le compliment, Elle sourit, rengea son materiel a peinture, elle remit les pinceaux en ordre d'épaisseur, les couleurs dans la sacoche et démonta son chevalet qu'elle rangea dans son étui. Le vent commença a se levé et elle se depecha de jeter dans la poubelle la plus proche les esquisses ratées. Placent ses affaires au pied de l'arbre, elle se retourna vers le jeune homme qui n'avait pas bouger de sa place. S'asseyent a coté de lui elle se tu quelque instant avant de se rappeller quelque chose:

-"Oh faite, je ne me suis pas présenter. Je m'appelle Saya Fujiyoka, j'ai 17 ans et je suis artiste, souria t'elle. Et toi ?

Replacent un méche derrière son oreille, elle cala ses mains sous ses cuisses et se tourna vers lui dans l'attente d'une réponse.