Suzu Kisumi ~ [FINI] *Enfin* T.T

« Kisumi, Suzu »

Suzu, sponsorisé par la vidéo : My Boobs Are Okay.

'xxxxxIdentité.

• Âge : 17 ans. • Classe : 1.B • Lieu de Naissance : Tokyo. • Statut : Etudiante.

'xxxxxDescription du personnage.

• Description caractérielle : Oula, quel dur travail pour moi de décrire la ravissante,tendre, violente et arroguante petite Suzu. La difficulté de sa description tient au fait qu'elle change du tout au tout suivant la situation dans laquelle elle se trouve. C'est pas un simple " je pleure quand je suis triste et je souris quand je suis contente" Non, là c'est beaucoup plus vicieu et compliqué. Je vais donc tenter de vous faire comprendre la subtilité du caractère et du comportement de la jeune femme aux cheveux rougeâtre par plusieurs mise en situation.

Examinons Suzu lorsque celle-ci se retrouve tout simplement heureuse, satisfaite et épanouie, sans aucun soucis; elle arbore alors un sourire radieux, qu'elle garde constamment sur son fin visage au teint pâle. Elle est alors souvent éprise d'un rire dont la cause est souvent indéfinie. "Mayonnaise" dit rien qu'en la regardant et elle éclate de rire pendant une bonne dizaine de minutes. Dans ce genre de moment là elle est adorable et peu se montrer très prévenante, elle qui ne pense quasiment qu'à elle tout le temps. C'est souvent dans cette période là de contentement maximal qu'elle est prise d'une irrépressible envie de sucre. Gâteau, chocolat, sucreries, tout y passe.

Autre cas de figure, autre comportement. Prenons à présent l'inverse de ce qu'il fut énoncé plus haut. Suzu est désormais dans un de ses mauvais jours, quelque chose l'a fortement énervé, profondément irrité et quelque chose ne va pas comme elle l'a désiré. Finit alors la petite poupée aux cheveux rouges, maintenant c'est la diablesse aux cheveux de sang. Arrogante et cynique, il ne vaut mieux pas lui parler, ou elle vous fera peut être regretter de vous être levé ce matin. Activité préférée de la petite peste dans ce genre de cas ? Trouvez des gens et voir en combien de temps elle peut les pousser à leur limite, en combien de minutes arrive t'elle a les mettre hors d'eux. Son regard se fait plus perçant et son sourire beaucoup plus ressemblant a un rictus qu'a un smile.

Poursuivons la description avec désormais le côté triste et mélancolique de notre petite amie. Il faut dire qu'une seule personne encore vivante l'a vu dans cet état là, car il est très rare qu'elle se laisse aller ainsi devant quelqu'un, et cette personne fut Jyou, sa meilleure amie. Dans ce genre de moment, elle se laisse complètement aller, restant dans son coin en s'oubliant souvent, c'est à dire sans manger ni boire, sans avoir aucun contact avec qui que ce soit. Il lui arrive alors de penser a l'irréparable, mais dieu merci jamais elle n'eut le courage de faire ces bêtises, en grande partie grâce a Jyou.

Jyou, Jyou ... Sa meilleure amie est bien plus que cela pour elle, comme une sœur, une amante parfois. C'est pour cela que j'ouvre un nouveau paragraphe sur ses attitudes, car en la compagnie de son amie, Suzu n'est plus véritablement la même. Elle se dévoile uniquement avec elle, ses sentiments, se qu'elle pense réellement. Suzu devient également très tactile, voulant toujours au moins la toucher, ne serait-ce que par lui tenir la main ou la manche, l'embrasser sur la joue ou dans le cou, passer ses doigts dans ses cheveux ou dans le bas de ses reins. La jeune femme est également très sensible et attentive à elle, prête à tout pour la voir sourire encore et encore.

Et le meilleur pour la fin, son comportement vis à vis des inconnus ou des gens dont elle ne connait à peu près que le nom. Suzu dévoile alors ses charmes et ses atouts pour se servir des personnes, s'amusant a les faire tourner en bourrique quelques fois rien que pour son bon plaisir. C'est vrai qu'il faut reconnaître qu'elle sait particulièrement bien jouer à ce petit jeu là. Elle devient alors davantage sure d'elle, sensuelle et parle avec langueur. Toutes ses mimiques la rende plus attirante malgré son jeune âge. Suzu est une personne bien compliquée qui ne donnera pas facilement sa confiance, et qui sera très dur a connaître de par son caractère qui en éloigne plus d'un.

• Description physique et vestimentaire : Enfin une partie plus facile à écrire sur cette petite Suzu. Commençons par décrire son physique avant de passer à son look. Évidement ce que l'on remarque en premier chez elle, ce sont ces ...cheveux rouges, pour sur. Bien sur qu'ils ne sont pas naturels, sous cette couche de teinture rouge elle a des cheveux tirants plus vers le noir que le brun. Pourquoi avoir choisis cette teinte ? Tout simplement parce qu'elle sait que cette couleur est l'une des préférées de sa Jyou, alors elle a tenté et apprécié, se trouvant plutôt attirante ainsi. Ses cheveux ondulent gracieusement jusqu'à la naissance de sa nuque, quelques mèches sur son visage. Un visage typique des asiatiques, le visage fin et la peau pâle, petite poupée de porcelaine, avec ses yeux plus noir que noisette. Des lèvres d'un rose pâle naturel qu'elle aime recouvrir d'un rouge intense ressemblant à ses cheveux.

Descendons un peu je vous prie, et nous tombons alors sur ses ...Bah oui, ses seins. 85D pour une jeune femme de 17 ans c'est pas habituel. Surtout que la miss a une taille de guêpe, donc c'est ce qu'on remarque très rapidement chez elle, après avoir cessé de bloquer sur ses cheveux. Mais attention, ses seins ne sont pas difformes et tombants, non, cette jeune femme à de beaux seins et de petits boutons de chair roses. Je parlais de taille de guêpe, Suzu mesure un peu moins de 1m74 pour 53 kilos, ce qui est loin d'être le poids d'une anorexique. Suzu a une taille de guêpe, des fesses et des beaux seins. C'est pas comme les mannequins que l'ont voit en ce moment et Suzu sait parfaitement que son corps fait des émules.

Niveau vêtement, c'est suivant son humeur. Disons qu'elle aime particulièrement être en robe courte ou mini jupe avec un débardeur, mais il n'est pas rare de la voir avec un pantalon ou un short, avec une chemise ou un t-shirt. Son style est plus punk que rock, plus excentrique que décalé. Ses vêtements sont souvent dans trois couleurs, le rouge, comme de par hasard, le noir et le blanc. Niveau lingerie elle aime beaucoup plus les portes-jarretelles que les simples culottes.
Suzu n'est pas très bijoux et toutes les babioles du genre, la seule chose qu'elle garde et qui pourrait être considéré comme des bijoux sont ses piercings. Un à la langue, un tragus et un au nombril. Ah oui, et ce petit collier qui ressemble à ces colliers dans les hentai avec des maids, petit cadeau de sa Jyou, qu'elle garde en toutes circonstances.

• Histoire : C'était le 14 février. Une soirée pourrie, un temps de chiottes, et l'autre qui braie d'puis 4 heures parce que Mâaadame à mal au ventre. C'est pas vrai, hurler comme çà juste parce que t'as un truc de 35 centimètres de diamètre qui te sors du vagin, c'est bon quoi. Enfin bref, la sorte de boule informe qui sort de son antre, c'est moi, Suzu. Après les cris, v'là qu'elle s'est mise à pleurer cette conne. C'était un jour merveilleux pour eux, après tout j'étais comme un petit miracle pour eux. Mon père avait pas des spermatozoïdes dopés si vous voyez ce que je veu dire, et ma mère à fait plusieurs fausses couches. Les larmes de mes parents étaient donc justifiées, pensant que j'étais leur petit ange. S'il savaient ce qui les attendaient plus tard, ils auraient voulu une autre fausse couche.

Les 3 premières années furent très agréable pour ma petite famille, forcément, je savais pas encore parler et je faisais que dormir. C'est après que ca commença à se gâter. Non pas par ma faute, mais par celle de ma mère. Sur-protectrice, elle m'empêchait totalement de sortir ne serait-ce que de la maison. Je n'allais pas à l'école parce qu'elle avait peur qu'il m'arrive quelque chose alors qu'elle serait loin de moi. J'avais une maîtresse à la maison rien qu'à moi.Et c'était une connaissance de ma mère, qui était devenue carrément parano. Elle avait même arrêté de travailler pour pouvoir me couver toute la journée comme la bonne grosse dinde qu'elle était. Mariko qu'elle s'appelait. C'est vrai qu'elle était jolie, mais j'ai pas hérité de sa beauté, j'suis vachement plus belle qu'elle à son âge.

Enfin bref, voilà qu'a 6 ans j'me retrouve enfin dans une école. Ouais bah pas grâce a l'autre bouffonne mais plutôt grâce a son amie, qui a réussit à la convaincre que pour mon bien il fallait que je suive une scolarité normale et que je me sociabilise. Parce que les seuls autres gamins de mon âge que j'avais vu à cette époque c'était à la télévision. Donc ouais, niveau sociabilité j'étais moyen. Mais v'là qu'on me perturbe encore, j'voyais tout le monde pleurer dans ma famille de pecnots, sauf mon père, qui sautait de joie pour un rien ce moment. Je le savais pas encore ce que ca signifiait un "héritage", héritage recut a cause de la mort de mon grand père. Du coup le petit fonctionnaire de police s'était retrouvé avec un beau pactole d'environ 23 millions de yen, ce qui vaut environ 2 millions d'euros. Ouais parce que mon grand père était un intelligent promoteur immobilier, égoïste et rapiat au possible, alors a sa mort, son fils unique était le digne héritier.

Après 2 ans de bordel administratif pour l'héritage, nous voilà dans une nouvelle maison magnifique, voisine de l'une des plus chères de la ville. J'avais 8 ans quand j'étais arrivé dans cette ville de paumés qui savent plus comment dépenser leur argent. Évidement que ma mère me cachait sous une montagne de peluche, de cadeau avec tout l'argent qu'ils avaient reçut grâce au testament du grand père. J'avais une garde robe plus importante que celle de la Reine d'Angleterre, il m'arrivait de changer 3 fois de vêtements dans une journée et de ne pas porter la même deux fois. Mais vous savez quoi, j'étais la plus gâtée au monde et la plus malheureuse surement. Je regardais les enfants jouer devant chez moi, dans le petit parc, alors que j'étais enfermée chez moi. J'étais sans vie, jamais enthousiaste.

C'est alors que je connue la plus magnifique des jeunes filles, la plus ravissante de toutes; une petite fille, ma voisine, qui avait de longs cheveux d'ébènes comme les miens, et qui souriait et rigolait à chaque fois que Suzu avait l'occasion de la voir de sa fenêtre. Elle avait l'air si gentille, si seulement je pouvais aller jouer avec elle... Il a fallut que je reste assis à ma fenêtre pendant des semaines en regardant cette petite fille pour que ma mère décide enfin qu'il est temps pour moi de me faire une amie, et de sortir un peu. J'crois que c'est la seule chose intelligente qu'elle ai réussit à faire pour moi celle là. J'étais alors sortie, toute timide, me cachant derrière une des statues de son jardin pour la regarder. J'me rappelle de tout, j'avais les joues rouges, j'avais le cœur qui battait la chamade. Et puis elle est venue vers moi, et m'a tendue la main en souriant. Jyou.

D'puis c'jour là ont étaient inséparables. On se voyait tous les jours sans exception et ont partageaient tout. C'était une véritable tragédie pour ma mère. A la maison j'étais comme une poupée, je fixais la maison de ma chambre, je ne parlais plus, j'espérais juste que la nuit ou la journée se passe vite, que je puisse allez jouer avec ma Jyou. Et ma mère me voyait heureuse et épanouie quand j'étais loin d'elle. J'sais pas si c'est çà qui l'a rendu folle ou pas, mais ce qui est sur c'est qu'au fond elle allait déjà pas bien dans sa tête. Chose que je ne savais pas quand j'étais petite, c'est qu'elle se faisait déjà du mal, prenant médocs sur médocs pour calmer ses inquiétudes, son stress et ses insomnies. Comme si une gamine de 8 ans pouvait comprendre çà ... A croire qu'elle m'en voulait personnellement pour ca.

En faite j'ai grandis dans cette atmosphère pourrie. J'avais le droit à des gifles de celle qui m'a pondues assez souvent, et sans raisons parfois. Une p'tite mandale juste parce qu'elle comprenait que j'étais pas ce petit ange blanc qu'elle attendait. Ah oui, et aussi parce qu'elle avait besoin de se défouler un p'tit coup, ouais parce que trouver un string rose a paillettes pas à elle dans le manteau de mon père a l'époque çà devait la titiller un peu. Tout son petit rêve de famille unie et parfaite était totalement tombé à l'eau. Quelle abrutie quand même. Il fallait tout de même pas être stupide pour comprendre que mon père m'emmenait chez Jyou pendant des heures pour pas prendre que du thé avec la mère a ma chérie ! Mais c'est vrai que c'est maintenant que j'me rend compte qu'elle était vraiment attardée.

Après c'était toujours la même chose, j'allais en cours le matin accompagné par ma Jyou adorée, je rentrais, me prenait une mandale, l'autre qui gueulait, et moi qui m'isolais. J'passais des heures à me faire engueuler pour je ne sais quoi juste parce qu'elle avait encore oublié ses pilules. C'était quand j'avais 13 ans. V'là qu'elle nous à fait l'une des plus grosses crises jamais égalée jusque là. Vas-y que j'te frappe, que j'te jette contre le mur en hurlant comme la meuf dans l'exorciste, avec la bave qui coulait. On aurait dis un pitbull. Tu m'étonnes que j'me rappelle pas des bons souvenirs avec c'te folle. J'me rappelle qu'elle avait réussit à bien me blesser, j'avais la tempe ensanglantée, plusieurs blessures aux avants bras en tentant de me protéger. Mon père pour une fois dans sa vie avait pris position et m'avait protégée, emmenant Mariko à l'hopital. Moi j'étais partie chez Jyou, essayant de trouver un peu de réconfort et de quoi me soigner.

J'étais totalement s'couée c'jour là. En même temps s'faire traiter comme çà par sa propre mère, y'a de quoi se poser des questions sur soi-même. On s'sent coupable, on s'demande où est-ce qu'on a fauté. J'étais dans un état déplorable, ma chère Jyou âgée également de 13 ans à cette époque était la témoin de mon malheur. Et comme pour essayer de me réconforter, après m'avoir soigné, elle avait séché mes larmes, et m'avait embrasser. C'était ...beau. J'me rappelle que j'ai arrêté le baiser pour la regarder dans les yeux, et voir si elle était vraiment sincère ou si c'était juste pour m'empêcher de parler et de dire toutes les atrocités que je pensais. Et j'l'avais ré embrasser ... Jusqu'à nos 15 ans, c'était comme çà, un baiser par ci par là, des câlins plus ou moins intimes, des caresses plus ou moins prononcées, mais jamais nous n'avions passez le pas.

Ce pas nous l'avons passé un soir, quand ma débile de mère et mon père laxiste étaient partis pour des examens plus poussés à l'hôpital pour elle. J'étais donc seule à la maison, et j'ai téléphoné a Jyou pour qu'elle vienne passer la soirée avec moi. Nous avions regarder la télévision, dans le canapé. J'étais assise et je l'avais dans mes bras, j'passais mes doigts dans ses cheveux, plus concentrée par l'odeur de son parfum et du moindre de ses gestes que par la télévision. Et puis j'sais pas pourquoi, elle a relevé la tête en me regardant en me caressant la cuisse, et je l'ai embrassé.Nous avons fais l'amour, c'était ma première fois, et c'était merveilleux.

Après çà, j'ai vu que ma Jyou était perturbée, surement a cause de sa bisexualité ou son homosexualité révélée. Elle était devenue froide et distante avec tout le monde sauf avec moi. J'sais pas, moi j'le vivais super bien. J'étais devenue une peste après çà. J'avais de quoi faire chier ma mère, parce que j'suis rentrée dans l'âge con précoce. V'la que j'arrive avec mes cheveux colorés, mes piercings, et mon attitude salope sur les bords. De quoi faire péter un câble sévère à l'autre conne. Elle a prit une sur-dose de médicaments, un soir ou j'ai oser lui dire que j'avais déjà fais l'amour avec une fille, sans dire évidement que c'était avec ma Jyou. Tout ca a cause de "ca" vous m'direz, mais une annonce comme ca à une malade, fallait s'y attendre. Peut être que je l'ai fais exprès, qui sait ...Enfin pour moi, elle est morte, c'plus qu'un légume dans un lit que mon père se refuse de débrancher.

J'étais heureuse, tellement heureuse. C'dur pour les autres de ma famille de me voir autant épanouie depuis la mort de ma mère. Ils m'ont pris pour folle moi aussi pendant un moment, avant de se rendre compte que j'étais juste une vraie peste, qui se moquait éperdument de sa mère. J'étais rejetée de toute ma famille, mais je m'en fou pas mal encore aujourd'hui. J'ai toujours réussis a vivre sans eux, et j'continuerai. Tout ce qui m'importe maintenant c'est ma Jyou, et ses connards de parents l'ont compris, ils ont tout compris. Ils ont décidés de l'éloigné de moi en pensant que j'étais une mauvaise fréquentation pour leur gamine. Et voilà qu'ils m'ont séparés de la seule personne qui compte pour moi. Mais ils n'ont pas compris que j'étais prête à tout pour la revoir.

• Raison de votre arrivée à Shimizu : Ma Jyou m'avait dis qu'elle allait partir dans un lycée à Nagoya avant qu'elle parte les larmes aux yeux, comme si elle me suppliait de la retrouver. J'ai fais tous les papiers de transfert, donner l'argent de l'inscription, et trouver de quoi subvenir à mes besoins en piochant allégrement dans le porte-monnaie de mon père. Et m'voilà arrivée enfin au lycée, il m'restait plus qu'à retrouver ma Jyou pour lui faire la surprise ...

'xxxxxAutre.

• Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Depuis que j'sais me servir d'un ordinateur D:
• Comment avez-vous connu le forum ? thanks to my Darling, Jyou <3
• Avez-vous un double compte ? Nan.
• Personnage de votre avatar ? Isuzu, Tenjou Tenge.
• Quel est le code règlement ? Code OK by Aka